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"L’état-nasiste" québécois

Le rapport de la commission Mourir dans la Dignité encourageait le développement des soins palliatifs partout au Québec et l’ouverture à l’euthanasie. Avant même qu’un réseau complet de soins palliatifs soit offert partout sur le territoire, le Parti Québécois veut rapidement aller de l’avant dans l’exercice de l’euthanasie. Les priorités sont claires...
(Le titre de l'un des médiocres romans de Boris Vian pourrait s'appliquer à la philosophie utilitariste développée actuellement par certains de nos professeurs de philosophie.)
 
Ce gouvernement vient de couper 50 millions de dollars dans le service d’opération chirurgicale et affirme que cela ne viendra pas modifier le service à la clientèle, qui est déjà dans une situation inacceptable…
Probablement que le Parti Québécois a trouvé sa solution, et c’est la raison pour laquelle elle doit être mise rapidement en application. La pente glissante, toujours à l’œuvre lorsque l’euthanasie est implantée avec des « restrictions rigoureuses », permettra d’imiter la Hollande et d’euthanasier des patients sans leur consentement, d’où les économies espérées dans cette politique inhumaine et financièrement à courte vue. C’est le Parti Québécois qui, le premier, a mis au rancart et à la retraite prématurée, une grande partie du personnel hospitalier nécessaire au bon fonctionnement des services de soins de santé. Il n’a pas terminé son travail. Dans une pure logique utilitariste, les biens portants sont en train de devenir les décideurs pour les autres personnes, dont les droits seront proportionnels à leur utilité publique… Déjà des professeurs de philosophie québécois enseignent aux étudiants qu’un enfant de moins de deux ans n’est pas une personne et que certains animaux dont l’intelligence est un peu plus développée que ces enfants devraient être mieux considérés et avoir plus de droits que ces derniers.
Les riches, les biens portants, c.-à-d. les personnes à part entière pourront juger de l’euthanasie des autres, des handicapés, des trisomiques qui n’auraient pas dû naître, des enfants de moins de 2 ans, des comateux, des malades mentaux, des personnes souffrant d’Alzheimer, de parkinson, etc., et tout cela pour le plus grand bien des êtres humains dépossédés de leur titre de personne, comme c’est le cas actuellement des enfants à naître que l’on juge en danger de souffrir après leur naissance : il vaut mieux les tuer…
Comment faire pour combattre ces politiques inhumaines. Bien sûr par la prise de parole « à temps et à contretemps », partout. Et aussi par une implication politique qui ne permettra pas de prendre le pouvoir, mais sera une autre opportunité de parler et de faire avancer la construction d’un état respectant la dignité humaine, quel que soit le handicap de la personne en question.
La Caq s’est également prononcée pour la mise en œuvre du rapport de la commission Mourir dans la dignité et c’est le parti libéral qui a créé cette immense mascarade que fut cette commission. Il faudra regarder attentivement ce que peuvent proposer les petits partis.

L'histoire se répète. L'abolition des orphelinats et le financement de l'avortement, plutôt que d'aider les femmes enceintes en difficultés; le compte-goutte pour les soins palliatifs et la marche rapide vers l'euthanasie. Au fait, quels seront les emm... sans conscience sociale qui tiendront à être une charge pour leurs concitoyens en exigeant des soins palliatifs coûteux, plutôt que de partir quelques semaines, ou quelques mois auparavant, par une piqûre tout ce qu'il y a de plus économique pour les contribuables? À voir le peu d'empressement à développer un réseau de soins palliatifs pour tous, on peut déjà mettre cette question dans la bouche de nos dirigeants politiques...

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