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"J'ai compris que la vérité, aussi douloureuse qu'elle soit, est libératrice"

« “J'ai compris que la vérité, aussi douloureuse qu'elle soit, est libératrice”, clame aujourd'hui Victoria. »
 
Ce sont les mots de Victoria Montenegro, parus dans le journal La Presse du 5 juillet 2012.
 
Kidnappée alors qu’elle n’avait que 6 mois, elle n’apprit qu’avec les années que celui qu’elle aimait et considérait comme son père était en fait le meurtrier de ses parents. Malgré la douleur de cette réalité atroce, elle témoigne que la vérité est « libératrice »…
Tant de mystères et de sous-entendus élucidés par cette vérité, permettent d’agir vraiment pour vivre et modifier ce qui est entraves au bonheur.
 
La vérité sur soi et sur l'avortement
 
Beaucoup de femmes et d’hommes vivent dans le déni de ce qu’est l’avortement et sont des combattants actifs du mouvement pro-choix. Ce qu’ils combattent en fait, c’est la vérité, la réalité. Il est extrêmement difficile, voire impossible si le constat n’est pas accompagné de beaucoup d’amour, de se voir comme complice d’un meurtre atroce. Pourtant, c’est cela qui serait libérateur.
 
Beaucoup de chrétiens n’osent pas dénoncer l’avortement, surtout pas en chaire, de peur de blesser les personnes qui auraient vécu ce drame. Par leur silence, elles contribuent à taire la vérité qui permettrait, non seulement d’éclairer une population et d’éviter que l’inadmissible se reproduise, mais permettrait par leurs mots pleins de miséricorde à beaucoup de personnes blessées de voir la réalité en étant accompagnées de cet amour qui leur apporterait l’espérance qu’elles pourront un jour se pardonner. Et ne plus vivre dans ce déni, cette rage explosant à chaque fois que leur est rappelée la réalité de leur enfant à naître, torturé, démembré et disparu, avec leur acceptation. Que leur amertume puisse un jour se changer en joie. La joie du pardon et du témoignage pour que d’autres puissent également sortir de leur rage et de leur déni, de ce cancer qui les gruge.
 
Le jour où les pasteurs accepteront de parler dans leur église de l’avortement sera un pas de plus dans l’aide à toutes les victimes, mères comprises, de l’avortement. Elles pourront ainsi faire leur deuil et commencer le processus de pardon nécessaire pour retrouver la paix du cœur. Il existe des cimetières où des pierres tombales rappellent le décès de millions d’enfants à naître par l’avortement. Ces crimes sont tellement répandus qu’il pourrait y avoir une telle pierre tombale dans tous les cimetières du monde.
 
Espérons que nos pasteurs n’auront plus peur et qu’ils parleront enfin du plus grand scandale, de la plus grande horreur depuis la fin de la Shoah et du communisme. Leur silence est déjà un scandale et une contribution à la culture du déni ne permettant pas la guérison des blessures de l’avortement. La pauvreté d’être mort dans son âme pour avoir participé à un meurtre, le meurtre de son enfant, n’appelle-t-elle pas elle aussi au secours?
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