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Un enfant trisomique sauve la vie de son camarade de classe

Sur le site de Valeurs Actuelles du 12 novembre 2013 :

(Les enfants atteints de trisomie 21 ont souvent un coeur en or)

(Photo : Emily Walker sur wikimedia.org, licence Creative Commons)

 

 

Belle histoire. Atteint de trisomie 21, un garçon âgé de 6 ans scolarisé dans une école élémentaire de Frankfort, dans l’Indiana (Midwest) est intervenu à temps pour sauver la vie d’un de ses camarades de classe, rapporte le site 20min.ch.

La scène se déroule mercredi dernier, à l’heure du déjeuner. Mason, 6 ans, se trouve en compagnie de ses camarades de cours préparatoire. Soudain, il constate que le visage de son ami assis en face devient de plus en plus rouge. Il fait alors montre de réactivité et court chercher de l’aide. Suzy Kontos, la directrice de l’école, nous décrit l’enchainement des évènements : « Il était en face de son ami. Il a remarqué que ce dernier avait avalé quelque chose de travers et était en train de s’étouffer, n’arrivant plus à respirer et devenant tout rouge » raconte-t-elle. C’est alors que Mason s’est levé pour aller chercher l’assistant de classe. Personne ne s’était rendu compte de rien. L’assistant a immédiatement compris que Mason cherchait de l’aide, et il a pu sauver le petit garçon ». Ce réflexe a permis de sauver à temps la vie de son camarade.
 
Beth Lamar, l’institutrice, ne parait guère étonnée de la réactivé dont a fait preuve ce petit héros  : « Je n’étais pas vraiment surprise d’apprendre ce qu’il a fait » raconte-t-elle. « Car c’est un garçon très attentif et qui est totalement intégré dans notre communauté ».

(...)

Aux Etats-Unis, le système éducatif permet aux enfants trisomiques d’être scolarisés dans des classes dites "normales". 
 

 

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Ils sont fous ces dirigeants chinois... où l' « assouplissement » de la politique de l'enfant unique...

Sur le site du journal La Presse du 15 novembre 2013 :

(Staline n'a pas d'héritiers contemporains, mais Mao...)

(Photo : wikimedia.org, sans copyright)

 

La Chine va assouplir sa politique de contrôle des naissances, dite de l'enfant unique, mise en place en 1979, a annoncé vendredi l'agence de presse officielle Chine nouvelle.

Les couples dont seul un membre est enfant unique seront autorisés à avoir deux enfants, a indiqué le média d'État, évoquant «une réforme majeure», annoncée quatre jours après la fin d'un importante réunion du Parti communiste chinois (PCC).

Actuellement, la loi chinoise n'autorise des couples à n'avoir qu'un seul enfant, mais des exceptions existent pour les couples dont les deux membres sont enfants uniques.

(...)

Et aucun gouvernement ne proteste devant une inacceptable ingérence totalitaire du gouvernement chinois dans les chambres à coucher? Justin, un petit mot supplémentaire sur un pays que tu aimes complimenter? 

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Lettre d'une médecin dans le journal de Montréal sur les avortements tardifs...

Dans le journal de Montréal du 15 novembre 2013 :

(l'hôpital Ste-Justine, photo par Jeangagnon sur wikimedia.org, licence Creative Commons)

 

 

Une question se pose: comment se fait-il qu’on sente un grand malaise chez plusieurs personnes ou groupes interrogés par le Journal (les équipes soignantes, les groupes de femmes, les médecins qui pratiquent des avortements tardifs aux États-Unis, les médecins formés aux États-Unis)? Et comment se fait-il que les médecins québécois formés aux États-Unis soient arrêtés par les équipes de soin de pratiquer ces avortements au Québec? Comment se fait-il que ces médecins aient peur de se faire ostraciser dans leur milieu? Se pourrait-il que d’avorter un bébé viable dans le sein de sa mère soit quelque chose qui fait frémir?
 
(...)

 
Au lieu de pousser des médecins à faire ces avortements, notre société n’aurait-elle pas d’autres avenues? L’accompagnement optimal des femmes jusqu’à l’accouchement, puis l’aide matérielle et l’accompagnement en post-accouchement ne seraient-ils pas à améliorer? Pour les femmes seules, un système de «marrainage», (par des femmes retraitées, par des grands-mères, etc.) pourrait aider ces femmes à poursuivre leur grossesse au lieu d’aller poser un geste qui les suivra toute leur vie. Il y a aussi l’adoption après l’accouchement.
 
Oui, le malaise ressenti par les personnes ou les équipes de soin face aux avortements tardifs n’est pas une illusion ou «un retour en arrière», comme le dit Me Jean-Pierre Ménard, mais une vraie émotion qui vient en direct du cœur.
 
Michelle Bergeron, médecin retraitée
 

 

 

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Des grands-parents utilisent la fécondation in vitro pour avoir un enfant de leur fils défunt...

Sur le site de genethique.org du 14 novembre 2013 :

Un couple d’Israéliens obtient de la justice d’utiliser le sperme de leur fils, décédé à 27 ans en 2010, pour féconder une mère porteuse. Le couple sera le bénéficiaire de l’opération, le tribunal ayant reconnu leur désir d’avoir un petit-enfant comme "l’aspiration à satisfaire les désirs les plus profonds et fondamentaux de l’homme". (...)

Et que fait-on du désir fondamental d'un arrière grand-père qui aimerait donner par fécondation in vitro, un petit-enfant à son fils défunt, par exemple... Il y a toujours de la discrimination...

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Les enfants de la fécondation in vitro plus à risque de diabète...

Sur le blog de Jeanne Smits, cette information :

(Photo : Erik1980 sur wikimedia.org, licence Creative Commons)

 

 

L'hôpital universitaire AMC (Centre médical académique) d'Amsterdam lance une grande enquête sur in vitro. Le but de l'étude est de comprendre pourquoi, en moyenne, ces personnes ont de plus gros risques de présenter un diabète ou une maladie cardio-vasculaire sur le long terme.

Pour Tessa Rosenboom, professeur à l'AMC, l'inquiétude à propos de la santé des « bébés FIV » (ou PMA) ne date pas d'aujourd'hui : on sait qu'en grandissant, ces enfants ont une pression artérielle un peu plus élevée que celle des autres enfants de leur classe d'âge, de même que leur taux de glucose est un peu plus important. Dans l'ensemble, ils ont également un poids plus élevé. On parle ici d'enfants en bonne santé générale, « mais présentant un petit déficit de santé pour laquelle il n'existe pas, pour l'heure, d'explication », souligne Mme Rosenboom. « Nous voulons vraiment savoir quelle en est la cause », explique le professeur.
 

Ces différences laissent présager de plus grandes différences et un plus gros risque de diabète ou de maladies cardiovasculaires, soulignent les chercheurs au moment de mettre en place leur enquête, qui ne saurait donner dans l'immédiat de résultats définitifs sur les pourcentages de risque : aux Pays-Bas, le plus « vieux » bévé-FIV vient d'avoir 30 ans, tandis que la première d'entre eux, Louise Brown, vient seulement d'avoir 35 ans.
 

(...)

Pas moins de 30.000 enfants sont nés aux Pays-Bas au cours de ces dernières dix années à la suite d'une fécondation in vitro réalisée dans l'une des 13 cliniques de fertilité du pays. Tous leurs dossiers seront pris en compte dans l'étude, facilitée par le fait que ces enfants ont fait l'objet d'un suivi serré. 

(...)

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La Fondation Jérome Lejeune demande un débat de raison sur l'avortement en France : excellente entrevue du président

Sur le site de zenit.org du 13 novembre 2013 :

(Jean-Marie Le Méné, président de la Fondation Jérôme Lejeune)

 (photo : CasimiParis5 sur wikimedia.org, licence Creative Commons)

 

 

La Fondation Lejeune demande un débat de raison sur l'avortement en France. Un rapport sur l’avortement vient d’être rendu public jeudi 7 novembre. "Ce document conduit à banaliser cet acte et à négliger des données importantes", estime la Fondation Jérôme Lejeune qui s’interroge, en tant qu’institution médicale et scientifique, "sur la présentation de l’avortement dans ce rapport" et elle "considère comme un préalable méthodologique nécessaire de rappeler sa nature et ses conséquences".  Jean-Marie Le Méné, président de la Fondation Jérôme Lejeune, commente cette publication

Zenit - Qu’est-ce qui vous choque le plus dans le rapport du Haut Conseil  à l’Egalité des femmes et des hommes ?
 
Jean-Marie Le Méné - Qu’on le veuille ou non, la réalité de l’avortement consiste à tuer un être humain avant sa naissance. Cette réalité est tellement violente qu’elle est occultée. La nature de cet acte emporte des conséquences qui ne peuvent être passées sous silence. La volonté de faire de l’avortement « un droit comme les autres » est insensée. Il convient de rappeler que le respect de la vie de l’être humain est une valeur qui est antérieure à la loi. Ce n’est pas parce que l’avortement a été hélas dépénalisé sous certaines conditions que cet acte peut être érigé en droit. 
 
Minimise-t-on les conséquences d’une interruption volontaire de grossesse ?
 
On ne les minimise pas, on les nie, ce qui est une attitude ni scientifique ni médicale. L’avortement – même s’il est voulu - a des conséquences psychiques et somatiques à court, moyen ou long terme sur les femmes. Mais les hommes aussi sont concernés. Il n’y a d’ailleurs aucune raison de ne pas tenir compte de leurs points de vue, de leurs souffrances, de leurs désirs. Le Haut Conseil à l’Egalité des femmes et des hommes devrait donc s’en soucier…
 
Il y a un réel problème d’information sur l’avortement en général. En quoi consiste cet acte ? Quelles sont les différentes options pour une femme enceinte mais qui ne souhaite pas ou envisage avec difficulté d’élever l’enfant qu’elle attend ? Quelles sont les conséquences d’un tel acte ? L’avortement n’est jamais ni la seule solution ni même une solution.
 
Le rapport insiste sur le fait que les femmes sentent le poids de la culpabilisation de la société quand elles ont recours à une IVG. Etes-vous d’accord ?
 
L’idéologie dominante essayera de tout faire pour alléger le poids de la culpabilisation sociale qui pèse sur l’avortement. Mais elle ne pourra rien contre le sentiment de culpabilité qui vient de l’intérieur de la personne. Je dirais même que plus on cache la vérité sur l’avortement par une déculpabilisation de façade, plus le sentiment de culpabilité augmente. La culpabilité est une plaie non cicatrisée : si vous la recouvrez, elle suppure et ne guérit jamais.
 
Une autre recommandation du rapport du Haut Conseil à l’Egalité des femmes et des hommes : que ne figure plus la mention de l’objection de conscience dans le Code de la santé publique (article L2212-8). Est-ce possible ?
 
L’objection de conscience ne disparaîtra jamais pour une raison simple : il ne peut être imposé à un professionnel, dont la mission est orientée vers la sauvegarde de la vie et de la santé, de poser ou de contribuer à un tel acte. L’avortement, par définition, n’est pas un acte médical. La question est plutôt de savoir s’il faut continuer à imposer au monde médical une pratique qui le dénature en profondeur. Est-ce qu’on sait que l’Etat, chaque année, depuis la légalisation de l’avortement, est obligé d’augmenter la rémunération des médecins qui le pratiquent pour trouver encore des volontaires ? Faire supporter par le contribuable le coût de ce mercenariat qui n’est pas de la médecine est une injustice de plus.
 
Qu’attendez-vous du gouvernement ?
 
La Fondation Jérôme Lejeune demande aux responsables politiques de rendre possible un débat sur l’avortement. Pour cela elle leur demande de situer l’enjeu sur un terrain où l’échange d’arguments rationnels soit possible et l’approche idéologique abandonnée. L’enjeu le mérite car se jouent là également la recherche du bien commun et le respect de la norme morale élémentaire présente au cœur de chacun, celle de ne pas tuer son enfant.
 

 

 

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Rappel des dernières dérives de la démocratie québécoise contre la liberté religieuse et jugement à l'ONU

Sur le site du journal Le Devoir du 14 novembre 2013 :

(La charte des valeurs du Parti Québécois sera assurément rejetée par l'ONU)

(Photo : wikimedia.org, sans copyright)

 

Jacques Frémont, le président de la Commission des droits et libertés de la personne, déclarait il y a quelques jours que le projet de charte des valeurs « frapperait un mur » devant les tribunaux. La proposition du constitutionnaliste Daniel Turp — lancée lundi matin dans ce journal — de recourir à la clause dérogatoire pour éviter ce mur y mène tout autant, mais cinq ans plus tard !
  
En effet, personne parmi ceux qui évoquent ce possible recours n’a rappelé qu’en vertu de la Charte canadienne des droits et libertés, une clause dérogatoire a une durée de vie de cinq ans.

(...)

Cependant, il n’est pas certain qu’une disposition dérogatoire aussi générale réussirait l’épreuve judiciaire. En effet, la Cour suprême a statué il y a bien longtemps dans l’affaire de la loi-décret de 1982 sur les conventions collectives qu’une telle clause doit préciser le droit ou la liberté constitutionnelle auxquels la loi veut se soustraire.
  
De fait, l’Assemblée nationale s’est pliée ensuite à cette décision. (...)

Retour des choses
  
Par un étonnant retour des choses, c’est aujourd’hui cette même mouvance laïque qui propose de recourir à une clause dérogatoire. Même si on veut la noyer, comme le fait le professeur Turp, dans une clause générale, la liberté qui sera en fait visée est celle et uniquement celle de la liberté de conscience et de religion. Il vaudrait mieux le dire clairement, même si c’est très gênant.
  
Ce sera en effet très embarrassant face à l’opinion internationale. Car, non seulement provoquera-t-on ici une crise politique (renouvelable tous les cinq ans !), mais il faudra tôt ou tard faire face à la contestation qui sera faite de cette clause devant le Comité des droits de l’homme des Nations unies. Et ici, sa réprobation ne soulève guère de doute.

(...)

C’est ce même comité qui, rappelons-le, a aussi condamné Québec pour avoir interdit l’affichage bilingue dans la loi 101 et pour y avoir ajouté une clause dérogatoire après s’être fait condamner par la Cour suprême du Canada. Et Québec a reculé.
  
Devant un mur, il est généralement préférable de reculer et de trouver une autre issue.
 

Jean-Pierre Proulx - Journaliste et professeur retraité
 

 

 

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Kate Adamson a vécu la déshydratation et la faim causée à une personne dite « végétative »

Sur le blog de Jeanne Smits du 13 novembre 2013 :

(Photo : tangi_bertin sur flickr.com, licence Creative commons)

 

 

Rebondissant sur l’étude de l’université de Cambridge évoquée ici, selon laquelle certains patients diagnostiqués en « état végétatif » sont conscients de leur entourage et pourraient, avec les outils adéquats, communiquer avec lui, Wesley J. Smith, militant très actif contre l’euthanasie, vient de republier le témoignage de Kate Adamson, une femme qui sur la foi d’un tel diagnostic a été privée de nourriture à la suite d’une attaque du tronc cérébral : dans son cas, ce n’était même pas pour la faire mourir.

(...)

Ci-dessous l’essentiel de l’article de Wesley J. Smith repris avec sa permission sur LifeSite.
 

(...)

Petite précision : je ne suis pas d’accord avec la qualification d’alimentation par sonde comme un « traitement médical », l’alimentation est toujours un soin dû – au même titre que le toit, l’habillement, l’hygiène… – sauf dans la mesure où elle ne contribue pas ou plus à maintenir le patient en vie et qu’elle ne cause pas davantage de dommages que de bienfaits. Ce qui est le cas, par exemple, lorsque l’administration d’aliments solides, fût-ce par sonde, provoque aussitôt des vomissements et que la nourriture ne peut plus être assimilée par le patient.
 

(...)

Victime d’une attaque qui l’avait laissée totalement paralysée – elle devait se retrouver avec un locked-in syndrome avant de retrouver l’usage de ses membres et de la parole – elle avait été jugée dans un premier temps inconsciente. Peu après l’attaque, elle avait subi une opération pour soigner une occlusion intestinale. Parce que les médecins la croyaient inconsciente, ils l’avaient insuffisamment anesthésiée. Puis ils l’avaient laissée sans nourriture, lui administrant des fluides uniquement par goutte-à-goutte.
 

Voici ce qu’elle a dit de cette expérience à Wesley Smith en 2005, en pleine affaire Terri Schiavo (évoquée dans Présent du 25 mai 2005) :
 

« L’agonie de vivre sans nourriture était une douleur constante qui n’a pas duré quelques heures, comme mon opération, mais plusieurs jours. Il vous faut endurer la douleur physique et en plus, il faut endurer la douleur émotionnelle. Tout votre corps hurle : “Donnez-moi à manger ! Je suis en vie, je suis une personne, pour l’amour de Dieu ne me laissez pas mourir ! Que quelqu’un me donne à manger ! »
 

Décrivant la souffrance liée au manque de nourriture et d’eau comme « bien pire » que la douleur ressentie au moment de la chirurgie abdominale, et ce malgré l’administration d’une solution saline en intraveineuse, Kate Adamson parlait d’une soif horrible : 

« J’éprouvais une envie irrépressible de boire. De boire n’importe quoi. Je me visualisais de manière obsessionnelle en train de boire à une gigantesque bouteille de Gatorade orange. Et je déteste le Gatorade orange. On m’humectait bien la bouche avec une liquide au goût citronné pour atténuer le dessèchement mais cela ne faisait rien pour soulager ma soif insoutenable. »
 

Et on ose nous dire que ces procédures, appliquées à des personnes qui ne sont pas du tout en fin de vie, ont pour but de soulager leurs souffrances !
 

(...)

 

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Le Dr Jean Guimond ne voit rien de mal dans les avortements tardifs qu'il chapeaute au Québec...

Sur le site du Journal de Montréal du 11 novembre 2013, le témoignage d'un aveuglement :

(Ils ont besoin de votre aide Dr Guimond, et non pas que vous fermiez les yeux sur leur sort...)

(Photo de la main d'un enfant à naître à 21 semaines de grossesse, début de l'appelation d'avortement tardif, sortant du ventre de sa mère pour aggriper la main du médecin.  Photo : F.C.Photography sur flickr.com, licence Creative Commons

«Personne n’est pour l’avortement. Je suis pour les droits de la femme, point», confie le Dr Guimond, qui coordonne les avortements de troisième trimestre au CSSS Jeanne-Mance.
 
Rester alerte
 
À sa mort, en mai dernier, le Dr Henry Morgentaler a reçu de grands éloges pour son combat pour l’accès à l’avortement. Mais son décès a aussi fait réagir des militants pro-vie, qui ont dénoncé son œuvre.
Quand on lui demande s’il a l’impression d’être le «nouveau Morgentaler», le Dr Guimond affiche un sourire.
«Je poursuis le combat qu’il a entrepris pour les femmes, dit-il. La question ne sera jamais réglée, il faut demeurer alerte.»
 
«Certains croient qu’il faut que le fœtus ait une reconnaissance. Je leur dis bonne chance. Pourquoi les femmes ont-elles toujours remporté la décision? Parce qu’il est impossible de donner un statut au fœtus sans réduire celui des femmes. C’est aussi clair que ça.»
Et les femmes qui vous disent que l'avortement est un meurtre, vous les entendez celles-là, Dr Guimond? 
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Quel sera votre jugement sur cette bande-annonce sur l'euthanasie? Sur ces personnes devant un choix de vie ou de mort?

(Photo : Zaldylmg sur flickr.com, licence creative commons)

Ce documentaire a été fait dans le but de promouvoir l'euthanasie... Cela ajoute au tragique. Il y a vraiment des personnes sur terre capables de regarder d'autres personnes et de penser qu'elles ne devraient pas vivre... Pour les auteurs du documentaire, une personne atteinte d'une maladie dégénérative ou dépressive, l'euthanasie est la solution.

Oui des intelligences aveuglées, des coeurs pourris ou endurcis, cela existe...

Sur youtube :

//www.youtube.com/embed/XalS1gdjdbI

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