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Vidéoclip Can I live de Nick Cannon

Il y raconte son histoire :

 

(Nick Cannon, photo : Nick Step sur flickr.com, licence Creative Commons)

 

 

 

 

//www.youtube.com/embed/-VS_mBobRSQ

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Plainte contre le vaccin Gardasil (VPH à la source du cancer du col de l'utérus)

Sur le site du journal La Presse du 25 novembre 2013 :

 

(Publicité pour Gardasil)

 

(Photo : peretzpup, sur flickr.com, licence Creative Commons)

 

 

Une nouvelle affaire sanitaire pourrait faire l'objet d'une enquête pénale avec le dépôt de plainte d'une jeune femme de 18 ans, et d'autres annoncées, visant le Gardasil (Sanofi Pasteur MSD) et l'Agence du médicament, accusant ce vaccin contre le cancer du col de l'utérus de graves effets secondaires sur le système nerveux central.
 

(...) 

Un cabinet d'avocats parisien, qui défend trois jeunes filles victimes d'effets néfastes présumés de la prise de Gardasil, a pour sa part annoncé dimanche vouloir déposer «trois plaintes pénales d'ici quinze jours» contre le laboratoire produisant le Gardasil.
(...)

La plainte, selon ce cabinet, pourrait concerner davantage de victimes présumées, car «des témoignages de jeunes filles victimes du Gardasil se multiplient (...) dans ce qui semble s'annoncer comme un nouveau scandale sanitaire»....)

À noter qu'en France comme au Québec et au Canada, des parents se sont plaint des pressions inacceptables pour que leurs enfants reçoivent ce vaccin...

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Réflexions et commentaires intéressants sur l'euthanasie dans le site internet du magazine L'actualité

Sur le site internet du magazine l'Actualité du 19 novembre 2013 :

(Quelques philosophes et dirigeants politiques qui ont prôné un état sans droit de cité pour les croyants)

(Photo : dalbera sur flickr.com, licence Creative Commons)

 

1) Le projet de loi 52 concerne l’euthanasie. Bien que le texte évite toute référence au terme (lui substituant des euphémismes comme «aide médicale à mourir» ou «soins de fin de vie»), c’est bien ce dont il s’agit, dans sa nouveauté. Le choix des mots ne change rien au débat de fond, qui demeure légitime et qui interpelle les mêmes principes et oppositions.
 
«L’aide médicale à mourir» est simplement de l’euthanasie qui ne s’assume pas entièrement. On comprend les auteurs de la loi d’avoir cherché à éviter un terme chargé de nombreux a priori — ne serait-ce que pour susciter un débat moins prisonnier des préconceptions des uns et des autres — mais les opposants ont raison de souligner qu’il s’agit d’une manoeuvre de maquillage. (...)

L'auteur de l'article, Jérôme Lussier, continue en voulant présenter l'argument de la pente glissante, comme un sophisme. Il n'y a pourtant aucun faux raisonnement à constater que dans tous les pays qui ont légalisé l'euthanasie, elle est pratiquée dans un complet débordement des balises supposées restreindre son application. Il est déjà légitime de parler d'euthanasie sur demande...

L'auteur termine son texte en énonçant l'idée que toute opposition selon un principe spirituel (pas nécessairement religieux) ou existentiel ne devrait pas avoir le droit de cité. Il est légitime de se demander quelle est la conception de la démocratie de l'auteur, conception ou seuls les individus de croyance matérialiste auraient le droit à la liberté d'expression et où l'État n'aurait le droit que d'imposer un laïcisme contraire à la laïcité comme neutralité religieuse de l'État et non pas interdiction de la spiritualité?

En effet, dans la mesure où l’opposition de principe à l’euthanasie s’appuie essentiellement sur des considérations spirituelles ou existentielles (mais pas nécessairement religieuses), il y a lieu de se demander si ces perspectives devraient influencer les politiques publiques d’un État laïc. Autrement dit, le débat actuel sur l’euthanasie pose une question fondamentale : celle de savoir si l’on peut même recevoir ou considérer des arguments spirituels ou existentiels dans le cadre d’une politique publique neutre et laïque.
 
Comme il a souvent été répété sur ce blogue, il est essentiel de distinguer les employés de l’État — qui gardent leur liberté de conscience et de religion — des politiques publiques de ce dernier qui, elles, se doivent d’être neutres et laïques.
 
Faut-il conclure qu’un État qui interdirait le principe de l’aide médicale à mourir se trouverait à remettre en question sa laïcité ?
 

 À lire, les nombreux commentaires qui répliquent à cet article, dont cet extrait de celui d'Éric Folot :

2) Vous dites au #4 que la pente glissante n’est jamais un argument valable. En droit, cette affirmation est hautement critiquable. Selon la Commission de réforme du droit au Canada il s’agit d’un argument réel et sérieux. Selon le Barreau du Québec il s’agit également d’un « argument très sérieux » (voir Barreau du Québec, Pour des soins de fin de vie respectueux des personnes, septembre 2010, p.115-). En éthique, Hans Jonas invoquerait le principe responsabilité qui demande d’accorder « un plus grand poids au pronostic de malheur qu’au pronostic de salut ». Max Weber affirmerait également que selon l’éthique de responsabilité « nous devons répondre des conséquences prévisibles de nos actes ». Si une conséquence non désirée de notre action est prévisible quoique incertaine, nous en sommes responsables. L’élargissement du droit de l’euthanasie aux personnes inaptes et mineures est probable comme le mentionnait la Commission des droits de la personne.
 
3) Vous dites en conclusion que « l’euthanasie s’appuie essentiellement sur des considérations spirituelles ». Or cette affirmation est hautement critiquable. Selon le libéral Ronald Dworkin, « the conviction that human life is sacred probably provides the most powerful emotional basis for resisting euthanasia ». Or l’idée du caractère sacré de la vie n’est pas qu’un concept religieux. Dworkin lui-même défendait une conception laique du caractère sacré de la vie. De plus, le caractère sacré de la vie est également un principe juridique fondamental de notre droit. Le juge Sopinka (pour la majorité) de la Cour suprême du Canada affirmait dans l’arrêt Sue Rodriguez (1993) : « L’examen qui précède démontre que le Canada et d’autres démocraties occidentales reconnaissent et appliquent le principe du caractère sacré de la vie ».
 
Eric Folot
 

 

 

 

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Le prix renaudot pour avoir banalisé la pédophilie?

Il y a des textes qui sont inacceptables. Richard Martineau dans le Journal de Montréal du 25 novembre 2013, revient sur l'essai qui a remporté le prix Renaudot cette année, le livre « Séraphin, c'est la fin » de Gabriel Matzneff :

(Denise Bombardier avait vilipendé l'oeuvre défendant la pédophilie de Matzneff lors d'un passage commun à l'émission Apostrophes)

(Photo : Asclepias sur wikimedia.org, licence Creative Commons)

Or, voici ce qu’on peut lire dans son ouvrage :

«Ces derniers temps, il nous arrive souvent de lire, à la une des gazettes, qu’un professeur de 90 ans a été jeté en prison, ayant été dénoncé par de bedonnants quinquagénaires qui l’accusent d’avoir abusé de leur innocence lorsqu’ils en avaient dix.»

«Sous un titre affriolant du style “Un violeur pédophile en prison !”, nous découvrons un article qui commence par une phrase indignée de ce genre: “Le monstre a ainsi violé plus de 70 collégiens au cours des cinq années qu’il passa dans cet établissement.”»

«Le jour où s’ouvre le procès, on découvre que personne n’a été violé, qu’au pire le “monstre”a tripoté quelques popotins, donné à la sauvette quelques baisers, taillé quelques pipes. Bref, beaucoup de bruit pour peu de choses

Il y a des propos qui disqualifient un auteur pour toute remise de prix. L'écrit de Matzneff est de ceux-là. C'est maintenant le prix Renaudot qui est disqualifié...

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Sorti de son état végétatif après 10 années de conscience et d'écoute...

Sur le blog de Jeanne Smits du 22 novembre 2013 :

(« L'effet maman »)

(Photo : INTVgene sur flickr.com, licence creative commons) 

 

Max Tresoldi est resté dix ans dans un « état végétatif » diagnostiqué par le corps médical… avant de de réveiller un beau jour de 2001 et de pouvoir de nouveau communiquer avec son entourage. (...)

Max Tresoldi a raconté que pendant tout le temps où il avait été diagnostiqué « en état végétatif » il était en réalité conscient. « J'ai toujours été là. J'écoutais et je voyais tout, mais je ne savais pas comment le dire. » Ces dernières années, il voyage partout en Italie pour donner son témoignage et raconter aussi comment l'amour de sa famille a été la seule thérapie efficace : ce que la science neurologique appelle « l'effet maman ». 

(...)
 

La mère… Cette maman s'appelle Lucrezia. Elle a sorti son fils de son état en l'embrassant, en le lavant, en l'aidant à se retourner dans son lit, en lui donnant patiemment à manger, aidée de son mari Ernesto mais aussi par une « montagne de copains » de Max qu'il avait connus à l'oratoire ou sur les terrains de foot.
 

« Un médecin de l'hôpital nous l'a décrit comme un tronc mort. Alors j'ai décidé de l'emmener à la maison. Et je me suis transformée en infirmière, j'ai pratiquement remplacé les médecins. »
 

Le moment le plus difficile ? 

« C'est quand mon père est mort : j'étais sur le point de tout lâcher. C'était le 28 décembre 2000. J'ai dit à Max : “Ce soir tu fais tout seul ton signe de croix, je suis fatiguée. Il a levé son bras, et il s'est signé. Puis il m'a embrassée avec force. » C'était son premier geste depuis neuf ans…

À lire, le témoignage sur la réponse à une journaliste méprisante de sa vie, alors que cet homme est heureux de vivre...

 

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À voir! Magnifique vidéo de la première année d'un enfant né prématurément à 5 mois 1/2 de la grossesse, à 1,5 lb

//player.vimeo.com/video/78393869

 

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Nouvelle motion contre l'avortement du député conservateur Stephen Woodworth, pour le respect de tout être humain

Sur le site du journal Le Devoir du 21 novembre 2013 :

(Photo : dierk Schaefer sur flickr.com, licence Creative commons)

 

(Si tout être humain naît libre et égal, cela signifie clairement qu'il est un être humain dès avant la naissance...)

(...)

La motion ne fait pas référence à l'avortement spécifiquement, mais demande à ce que «toute loi canadienne soit interprétée de manière à reconnaître l'égalité de la valeur et la dignité de quiconque qui est dans les faits un être humain».
 

(...)

C'est une évidence, mais aujourd'hui, ce qui est évident ne l'est plus pour tout le monde...

Cet article du journal Le Devoir du 22 novembre 2013 met bien cela en évidence...

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« En pays de mission, avant de bâtir une église, construisez d’abord une école ! »

(Photo : Clio sur wikimedia.org, licence Creative Commons)    

 

C’est un fait encore aujourd’hui passé sous silence que les chrétiens du Québec ont abandonné l’évangélisation et la défense de la foi chrétienne le jour où ils ont cessé de veiller sur un enseignement de foi de qualité dans les écoles. Ils concédaient dès cet instant que l’unique fonction de la hiérarchie ecclésiastique québécoise consistait en, ce que nous avons si entendu de la bouche de prélats, une « gestion de la décroissance »…  

L’Église du Québec perd en nombre ce qu’elle gagnerait en convictions, en « qualité », en intensité? L’essayiste André Frossard se moquait bien de cette argumentation lorsqu’il parlait de l’apparition de ces chrétiens parfaits, apparition qui coïnciderait avec le jour où ils n’existeraient plus, complètement disparus…  

Le Cardinal Daniélou fut un prophète que plusieurs ont refusé d’écouter au début des années 1970, alors qu’il vint prononcer une conférence à la Basilique Notre-Dame sur l’importance de former à l’école des chrétiens capables de développer une pensée argumentée, pouvant confondre la bêtise d’un enseignement parallèle fondée sur les sophistes à la mode, de Camus en passant par Sartre et Simone de Beauvoir.  

Il n’y eut pratiquement aucun réveil, si ce n’est que quelques responsables religieux, devant une politique de déchristianisation du gouvernement.  

Pire. Le programme officiel de l’enseignement religieux dans les écoles contribua massivement, par son caractère infantilisant et profondément insultant à l’égard de l’intelligence des enfants, à les repousser vers un abandon de tout lien avec cette religion aux comportements et enseignements si insignifiants. Une réaction contraire aurait été des plus inquiétantes de la part de ces enfants.  

Les moins de 50 ans ont massivement abandonné la foi avec la bénédiction de responsables adorant le dieu sociologie, suivant « l’évolution de la société » à qui il ne fallait surtout rien imposer…  

Majoritairement, nos frères et sœurs, et ami (e) s, ont perdu la foi de leur enfance transmise généreusement par leurs parents, mais qui, adaptée à leurs jeunes âges, demandait à être revigorée par une nourriture intellectuelle fortifiante pour affronter la masse de détritus philosophiques venant en particulier de France et des États-Unis et qui submergèrent nos institutions scolaires.  

On ne peut réécrire l’histoire.  

Il nous faut recommencer au début, dans notre pays de mission. Et comme dans tout pays de mission, il faut d’abord nous assurer que la foi transmise par les quelques parents l’ayant malgré tout conservé, soit protégée et nourrie, pour qu’elle soit bien connue de cet enfant, pour qu’il réalise que cette relation entretenue avec ce Dieu qui l’aime, n’est pas avant tout le résultat d’un conditionnement parental, mais simplement, la très raisonnable réalité. Pour que nos enfants, s’ils le désirent, puissent choisir de conserver ce lien avec Dieu, ils doivent connaître les raisons de croire…  

C’est probablement ce qu’exprimait le cardinal Léo Burke à l’intronisation d’une nouvelle école sous le vocable de Saint Dominique (sur le site du Salon Beige du 19 novembre 2013)  :

  "[...] En effet, alors que dans votre pays cher à mon cœur on commence à détruire les églises – faute de moyens pour les entretenir – peut-être aussi faute de chrétiens pour les remplir – je pense à cette phrase du pape saint Pie X, dernier pape canonisé jusqu’à ce jour. Saint Pie X disait : « en pays de mission, avant de bâtir une église, construisez d’abord une école ! »
 
Venant du pape de l’eucharistie, quelle leçon ! En suivant ce programme, vous verrez les églises se remplir à nouveau, grâce aux vocations et aux foyers chrétiens issus des écoles authentiquement catholiques.
 
Nous sommes encore dans l’année de la foi et je voudrais vous encourager dans la diffusion de notre foi catholique. [...]"

Avons-nous assez souffert du manque d'écoles authentiquement chrétiennes au Québec ? Pourrons-nous un jour tourner la page et prendre résolument le chemin du réalisme évangélique?  

Les paroles du Pape François aujourd’hui sont pleines d’espérance sur le passage de cette naïveté religieuse appelée aussi « progressisme » qui a négocié la foi de nos enfants pour une reconnaissance sociale, celle d'être reconnue par comme étant « ouvert d'esprit »... Sur le site de zenit.org du 19 novembre 2013 :

  On ne négocie pas la fidélité « C’est comme s’ils disaient : "nous sommes progressistes, nous allons dans le sens du progrès, là où va tout le monde" ». Mais ils négocient « la fidélité au Dieu toujours fidèle ». « Ceci s’appelle apostasie, adultère... ils négocient exactement l’essentiel de leur être : leur fidélité au Seigneur ». Il s’agit d’un « esprit de progressisme adolescent » qui « croit qu’avancer dans n’importe quel choix est mieux que de rester dans les habitudes de la fidélité ».  

« Et ceci est une contradiction : on ne négocie pas les valeurs mais on négocie la fidélité. Et ceci, c’est justement le fruit du démon, du prince de ce monde, qui fait entrer dans l’esprit mondain ».  

Et ensuite, viennent les conséquences : « Ce n’est pas la belle mondialisation de l’unité de toutes les nations - chacune avec ses usages, mais unies – mais c’est la mondialisation de l’uniformité hégémonique, c’est la pensée unique. Et cette pensée unique est le fruit de la mondanité. »  

Enfin, lorsque « toutes les nations se conforment aux prescriptions royales », « le roi construit l'abomination de la désolation sur l'autel des holocaustes ».  

Non à la pensée unique   « Mais, Père, cela existe encore aujourd’hui ? Oui. Parce que l’esprit mondain existe encore aujourd’hui, et pousse, aujourd’hui encore, à cette envie d’être progressiste avec la pensée unique. Si on trouvait le Livre de l’alliance chez quelqu’un et si quelqu’un obéissait à la Loi, la sentence du roi le condamnait à mort : et cela, nous l’avons lu dans les journaux ces derniers mois. Ces gens ont négocié leur fidélité à leur Seigneur ; ces gens, poussés par l’esprit du monde, ont négocié leur identité, ont négocié leur appartenance à un peuple, un peuple que Dieu aime beaucoup, de qui Dieu veut faire son peuple ».  

Aujourd’hui, a mis en garde le pape, on pense qu'il faut « être comme tout le monde, être plus normaux, faire comme tout le monde, avec ce progressisme adolescent ».  

« Mais ce qui console, c’est que devant ce chemin de l’esprit du monde, du prince de ce monde, ce chemin d’infidélité, le Seigneur est toujours là, il ne peut se renier lui-même, il est le Fidèle ; Lui, il nous attend toujours, il nous aime tellement et il pardonne lorsque, nous repentant des pas, des petits pas que nous avons faits dans cet esprit de mondanité, nous allons à Lui, le Dieu fidèle envers son peuple qui n’est pas fidèle ».  

« Avec l’esprit des enfants de l’Église, prions le Seigneur pour que, par sa bonté, par sa fidélité, il nous sauve de cet esprit mondain qui négocie tout ; qu’il nous protège et nous fasse avancer, comme il a fait avancer son peuple dans le désert, en le prenant par la main, comme un papa qui porte son enfant. En tenant la main du Seigneur, nous avancerons en sécurité », a conclu le pape.

Dieu est fidèle, c'est là toute notre espérance...

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Une très bonne réflexion sur l'euthanasie des mineurs...

Du président de Civitas, Alain Escada :

(Photo : Antigone 20 sur wikimedia.org, licence Creative Commons)

 

 

(...) Depuis quelques mois, les principaux médias ont participé au conditionnement des esprits. Télévisions, radios et presse écrite ont abondamment diffusé les témoignages de quelques mamans, toujours les mêmes, affirmant que le regard de leur enfant gravement malade traduisait leur souhait d’en finir avec la vie. Il n’est bien sûr pas question de stigmatiser le désarroi de mamans devant la souffrance prolongée de leur enfant. Mais entendre une maman prétendre qu’un enfant de cinq ans a la maturité suffisante pour comprendre ce que signifie l’euthanasie et décider seul de son sort laisse pantois. Il n’est pas besoin d’être un grand spécialiste de l’enfance pour savoir qu’un enfant de cet âge n’a pas conscience des conséquences de la plupart de ses actes, notamment en ce qui concerne le danger. Mettre en garde un enfant en lui disant « Attention, c’est chaud, ça brûle ! » ne sera souvent suivi d’effet qu’après que l’enfant ce sera confronté à cette source de chaleur dont il ne comprend pas encore la conséquence douloureuse. Autant dire que la mort est pour l’enfant une notion encore bien plus mystérieuse. Et ce d’autant plus que l’enfant est de plus en plus confronté à des jeux où la mort d’un personnage signifie simplement la fin de la partie et le fait de pouvoir en recommencer aussitôt une autre.

Le débat qui agite les parlementaires belges ne se situe déjà plus, sauf très rare exception, entre partisans et opposants de l’euthanasie des mineurs. Les différends essentiels parmi les députés et sénateurs se limitent à deux. Le premier porte sur le fait que le texte de loi ne prendrait en compte que la souffrance physique pour permettre l’euthanasie des mineurs alors que certains voudraient étendre les motifs à la souffrance psychologique. Le second concerne l’accord ou non des parents alors que le projet initial prévoit l’accord nécessaire des parents pour euthanasier les enfants et non pour les adolescents sans que la limite entre l’enfance et l’adolescence ne soit clairement établie.
 

(...)

Oui, il existerait des gens capables de parler favorablement de l'euthanasie des mineurs et de se regarder le visage dans un miroir, tout cela dans la même journée...

 

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La liberté de manifester attaquée en France : un groupe pro-vie embarqué par les policiers pour avoir commis ce « délit »...

Sur le site de contre-info.com du 18 novembre 2013 :

(Photo : Roman Bonnefoy sur wikimedia.org, licence creative commons)

 

 

Samedi à Paris, les pacifiques manifestants pour la Vie de SOS-Tout petits qui s’étaient réunis autour du Docteur Dor pour la récitation d’un Rosaire, ont été embarqués, sans autre forme de procès, par la police politique du gouvernement socialiste, qui supporte de moins en moins la dénonciation de ce génocide qu’est l’avortement. (...)

//www.youtube.com/embed/-mgCFH5sKW0

Il est certain que le gouvernement français a toutes les raisons d'avoir peur de ces personnes du troisième âge...

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