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« Donneur anonyme », copie américaine du film « Starbuck » avec Patrick Huard...

(Vince Vaughn, à gauche sur la photo, reprendra le rôle joué par Patrick Huard)

(Photo : Duncan C, sur flickr.com, licence Creative Commons)

La petite comédie Starbuck nous a bien fait rire et nous a émus. La réalité, elle, laisse plutôt un goût amer, une profonde tristesse devant une réalité qui ne devrait pas exister. Le site genethique.org du 6 novembre 2013 nous donne un aperçu de cette réalité par cette anecdote :

Le don de sperme diminue fortement

(...) Emmanuel Prada-Bordenave, directrice de l'Agence de la Biomédecine (ABM) explique cette diminution par l'émergence de la question de la levée de l'anonymat des donneurs. 
 

Car précisément, le don anonyme de gamètes peut être une souffrance tant pour pour les enfants que pour les donneurs. Tout en soulignant l'implication de l'ABM dans les campagnes de don de spermes, Emmanuelle Prada-Bordenave explique qu'avec cette remise en cause de l'anonymat, "les donneurs ont été déroutés, pour ne pas dire secoués quand ils ont vu des enfants nés après insémination, faire part de leur douleur d'ignorer leur origine. Ces donneurs sont perplexes sur leur geste, ils ne comprennent pas: hier ils étaient sur l'idée que leur don n'apportait que du bonheur, aujourd'hui voir ces situations de souffrance les ont marqués". 
 

Pour connaître l'histoire de Barry Stevens, fils d'un réel Starbuck père de centaines d'enfants, cliquez ici.

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Des députés honnêtes qui réfléchissent au projet de loi 52 ont besoin de votre soutien. L'intervention de Danielle St-Amand

(Photo : Alin S Living with Autism sur flickr.com, licence Creative Commons)

Des députés ont de sérieuses questions sur le projet de loi 52 (euthanasie). Voici un témoignage du 24 octobre 2013, de la députée de Trois-Rivières libérale Danielle St-Amand. Nous vous invitons à la soutenir par la prière et à lui communiquer ce soutien, pour qu'elle puisse de mieux en mieux défendre les personnes vulnérables de notre société. 

//www.youtube.com/embed/8wx50AOL6PI

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Très bonne lettre sur l'euthanasie par une physiothérapeute en rémission d'un cancer du sein, dans le journal Le Soleil

Sur le site du journal Le Soleil du 6 novembre 2013 :

 (Photo : Katrin Werner sur flickr.com, licence Creative Commons)

 

 

À M. Sylvain Lévesque, député de Vanier-des Rivières

(...)
 

Je me questionne sur le double langage que nous empruntons comme société. Depuis des années, nous faisons une lutte acharnée au suicide au Québec. Notre taux était plus que catastrophique. Avec les efforts fournis en sensibilisation, en formation et en publicité, ce taux - quoiqu'encore trop élevé - baisse significativement. Quel message lancerons-nous en acceptant que les gens en fin de vie puissent abréger leurs jours? Vous croyez que ce n'est pas le même débat? Pourtant, il y a des parallèles frappants: les deux personnes souffrent psychologiquement, aucun des deux ne voient de lumière au bout du tunnel, ils ne veulent pas devenir des fardeaux pour leurs proches ou du moins ils se perçoivent comme tel. Peut-être n'ont-ils pas d'écoute de leurs proches ou de leurs soignants et la souffrance prend le dessus sur la vie. Dans les deux cas, les personnes cherchent une solution à un problème. L'abrègement de la vie n'est pas une solution dans aucun de ces cas. La dignité humaine appelle que tous respectent la vie, peu importe le moment, que ce soit dans la vingtaine comme en fin de vie. La compassion demande que nous soutenions ces personnes afin de traverser leur détresse. Autrement, nous risquons d'envoyer un message contradictoire aux personnes suicidaires.

Le rôle des intervenants en santé

L'appel à l'aide des personnes qui ont été entendues par la commission itinérante sur la dignité à mourir était clair: nous ne voulons plus souffrir de douleurs physiques et psychologiques, nous ne voulons pas vivre une déchéance physique et mentale. Cet appel à l'aide est légitime et nous nous devons d'écouter afin de trouver une solution de vie.

Je côtoie dans mon travail des patients qui souffrent physiquement de douleurs importantes qui limitent leur qualité de vie jusqu'à ne plus être fonctionnels. Certains d'entre eux en viennent à être dépressifs, pensent au suicide pour mettre fin à cet enfer. Mon expérience me démontre que certaines de ces difficultés découlent d'un manque de rigueur de la part de certains professionnels de la santé ou de manque de temps pour écouter le patient et ainsi le référer aux bons intervenants qui pourraient faire la différence, ou encore de délais administratifs inhumains. Des ressources existent et sont parfois mal exploitées par manque de temps ou parce que cela demande trop d'effort de recherche. Le patient doit être au centre de nos interventions afin que tout soit fait pour soulager ses souffrances et l'encourager à vivre.

En tant que professionnels de la santé, nous avons le devoir de diriger le patient vers les bonnes ressources et de demander l'avis d'un autre professionnel lorsque nous avons atteint nos limites. Nous avons l'obligation de ne pas baisser les bras. Les patients qui ont reçu les soins adéquats retrouvent l'espoir. Je le constate régulièrement.

Je terminerai en soulignant au passage que le Collège des médecins, en tant qu'ordre professionnel, a le mandat de protéger le public. Lorsque j'ai entendu et lu la demande de son président à étendre la loi aux personnes atteintes de démence et d'Alzheimer par le biais d'une tierce personne, je suis tombée des nues. Ce jupon qui dépasse très largement met en évidence qu'ouvrir la possibilité d'euthanasier des patients volontaires nous mènera sur une pente très glissante. Et nous sommes bien naïfs de penser qu'il n'en sera rien. Qui aurait cru que nous arriverions à une telle loi il y a 25 ans?

(...)

Jacinthe Vaillancourt, physiothérapeute

En rémission d'un cancer du sein

 

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Lecture obligatoire de 80 pages pour les policiers ontariens sur, entre autres, comment fouiller les personnes transgenres...

Sur le site de Radio-Canada du novembre 2013 :

(Photo : acceptess-t sur wikimedia.org, licence Creative Commons)

 

 

 

 

Les policiers ontariens ont un nouvel outil pour mieux servir les membres de la communauté gaie, lesbienne, bisexuelle et transgenre (LGBT). Ce premier guide au Canada explique aux agents comment reconnaître un crime homophobe, gérer une situation de violence conjugale entre partenaires de même sexe ou procéder à une fouille auprès d'une personne transgenre ou transexuelle, entre autres.

(...)

Le document de 80 pages sera une lecture obligatoire pour tous les policiers de la province.
 

 

 

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Une vidéo choc sur le mal que l'on peut faire à un enfant à naître, mais rien sur l'avortement...

Le site du journal Métro du 6 novembre 2013 nous renvoie à cette vidéo que l'on retrouve sur Youtube. Voici le texte de présentation de Métro :

(Les effets du tabac sur les enfants à naître sont très nocifs. Qu'en est-il de l'avortement?)

(Photo : ramos Alejandro mondi sur flickr.com, licence Creative Commons)

 

Des statistiques assez alarmantes dévoilées à la suite d’une étude réalisée en Finlande nous révèlent que 15% des mamans enceintes fument la cigarette. C’est encore pire chez les ados, où 50% d’entre elles fument alors qu’elle portent un enfant. (...)

Voici cette vidéo très choquante... :

//www.youtube.com/embed/SPBQII5c9fw

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Résumé d'une victoire au Parlement Européen!

Sur le site de Nouvelles de France du 6 novembre 2013 :

(photo : Parlement européen par Alexandre Prévot, sur flickr.com, licence Creative Commons)

Les défenseurs du droit à la vie et des libertés fondamentales ont gagné une bataille importante au Parlement européen contre le lobby de l’avortement et les velléités totalitaires de la gauche

Alors que la collecte des signatures en faveur de l’Initiative citoyenne européenne Un de Nous s’achevait le 1er novembre à minuit avec près de 1,8 millions de signatures, soit près du double de ce qui était exigé pour imposer son examen par la Commission européenne, la contre-offensive du lobby de l’avortement et des idéologues du genre au Parlement européen s’est soldée par un échec avec le renvoi en commission parlementaire le 22 octobre de la proposition de résolution « Estrela ». Ce texte est sans doute un des plus bizarres et des plus dangereusement extrémistes de ce parlement dont le mandat prendra fort heureusement fin l’année prochaine. Il sera probablement remplacé par une assemblée nettement plus euroraisonnable à en croire les sondages dans plusieurs grands pays européens, France comprise.

Proposée sous forme de Rapport sur la santé et les droits sexuels et génésiques (les droits reproductifs en novlangue, ndlr) par la « Commission des droits de la femme et de l’égalité des genres » (l’égalité des sexes en novlangue, ndlr), portant le nom de la rapporteuse Edite Estrela, une socialiste portugaise membre de l’Alliance progressiste des socialistes et démocrates au Parlement européen (le groupe dont font partie les socialistes français), cette résolution avait pour but avoué de contrer l’Initiative citoyenne européenne Un de Nous qui veut interdire aux institutions européennes de financer les avortements et la recherche sur les embryons (plus d’explications dans cet article). Le renvoi en commission du rapport Estrela équivaut très probablement à son enterrement puisque les travaux du parlement actuel seront clos en avril 2014 et qu’il n’est désormais plus permis de déposer de nouveaux rapports pour le vote de résolutions. C’est un succès personnel pour l’eurodéputé FN Bruno Gollnisch qui a imposé avec le soutien du groupe des Conservateurs et réformistes européens un vote sur le renvoi de ce rapport en commission, un vote que la gauche antidémocratique du PE aurait voulu éviter.

Le rapport Estrela affirme parmi d’autres inepties qu’il existerait un droit international à l’avortement et il demande par conséquent aux États membres de garantir un libre accès aux prestations d’infanticide prénatal, y compris sans l’accord des parents pour les jeunes filles mineures. Il milite également, conformément aux recommandations délirantes de l’OMS, pour une éducation sexuelle et une éducation à l’idéologie du genre obligatoire dès l’école primaire toujours sans que les parents puissent s’y opposer. Bien entendu, la résolution avancée par les socialistes avec le soutien de l’extrême-gauche rouge-verte n’aurait aucun caractère contraignant puisque l’Union européenne n’est pas compétente pour les questions d’avortement et d’éducation sexuelle, mais il s’agit d’empiéter toujours un peu plus sur les compétences des États et de mettre la pression sur les pays récalcitrants au programme du lobby de l’avortement financé par de grandes firmes pharmaceutiques et au programme gendériste du lobby LGBT. Il s’agit aussi de donner une orientation pro-avortement et pro-idéologie du genre à l’action extérieure de l’UE, afin de contrer de manière préventive l’impact potentiel de l’initiative Un de Nous sur les politiques de l’UE dans le monde.
 Mais les droites, pour une fois à peu près unies, ont bloqué cette nouvelle offensive liberticide de la gauche et il faut s’en réjouir. Au Parlement européen, 351 députés ont voté pour le renvoi du rapport Estrela en commission, 319 ont voté contre, exprimant ainsi leur soutien pour le rapport, et 18 se sont abstenus (voir ici qui a voté pour et qui a voté contre parmi les eurodéputés français).

(...)

 

 

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Un élément important à connaître sur la popularité de Nelson Mandela : il a légalisé l'avortement en Afrique du Sud

Sur le site du magazine lepoint.fr du 9 août 2013, un article nous apporte ces commentaires de la députée française Christine Boutin. Un rappel qui fait disparaître l'auréole de l'icône sud-africaine. S'il a témoigné pour la libération d'une partie de son peuple, il a signé l'arrêt de mort d'une autre partie, tout aussi considérable:

(Photo par Georges Rex sur flickr.com, licence creative commons

 

(...) Lors d'une conférence à l'Institut de la démocratie et de la coopération, l'ex-patronne du Parti chrétien-démocrate dit s'être posé "la question de savoir pourquoi monsieur Mandela - et je ne m'attaque qu'à une icône - avait un tel rayonnement dans le monde ?"
 
Et de donner sa réponse : "Quand monsieur Mandela est sorti de prison en 1994, il a préparé une constitution, sortie en 1996 en Afrique du Sud, dans laquelle - et c'est le premier pays au monde - ont été inscrits les principes constitutionnels permettant le mariage gay et l'avortement."
 
(...) "Certes, il a lutté contre l'apartheid, mais il y a d'autres responsables politiques dans le monde qui ont fait de la prison, qui ont lutté pour la liberté, mais qui n'ont pas eu cette audience mondiale. Tout homme politique en France a essayé - et moi-même j'ai été tentée, mais grâce à Dieu je n'en ai pas eu - d'avoir sa photo à côté de Mandela. Car avoir votre photo à côté de Mandela fait de vous un vrai homme politique institutionnel. Pourquoi ? Il y a d'autres hommes et femmes politiques qui méritent autant d'audience que monsieur Mandela."

Ce qui n'est pas sans rappeler la popularité d'un Jack Layton au Canada, fervent partisan du Dr Morgentaler et du « droit » d'éliminer les enfants à naître.

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Lettre dans le Journal Métro sur les euthanasies sans consentement en Belgique

Sur le site du journal Métro du 5 novembre 2013 :

(Le philosophe utilitariste très prisé au Québec, Peter Singer, avouait : « À propos de sa mère, touchée par la maladie d'Alzheimer, il expliquait partager avec sa sœur la responsabilité des décisions à prendre, mais que s'il était seul arbitre, sa mère ne continuerait peut-être pas à vivre », source Wikipédia)

(Photo : Joel Travis Sage sur wikimedia.org, licence Creative Commons)

 

(...)

Malgré ces divisions, il y a tout de même un point de consensus important : il est essentiel de protéger les personnes vulnérables qui pourraient recevoir l’injection létale sans réellement en avoir fait la demande ou qui pourraient se faire pousser à choisir l’euthanasie par leur entourage. D’autres personnes vulnérables, souffrant de dépression à cause de leur maladie, seraient quatre fois plus à risque de demander l’euthanasie et pourraient donc mourir sans avoir reçu de traitements adéquats. Il y a donc un fort consensus sur le besoin de protéger de telles personnes.

À cet égard, le projet de loi 52 a comme objectif d’encadrer l’euthanasie pour éviter les abus potentiels tout en permettant à certains d’y avoir accès. Pour avoir accès à l’euthanasie, le projet de loi 52 requiert que le patient soit majeur, qu’il fasse la demande lui-même, qu’il soit atteint d’une mala­die incura­ble et qu’il estime avoir des souffrances physiques ou psychologiques intolérables. Devant ces importantes restrictions, il est essentiel de se poser une question : ces mesures sont-elles suffisantes pour protéger les personnes vulnérables?

Pour répondre à la question, il est important d’étudier l’exemple de pays comme la Belgique, où l’euthanasie est légale et contrôlée d’une manière presque identique au projet de loi 52. En étudiant les données de la Belgique, on se rend compte qu’il existe une différence troublante entre la loi et la réalité. Une étude de 2010 montre que 32 % des euthana­sies dans la région de la Flandre ont été pratiquées sans la demande ou le consentement du patient. Une autre étude publiée en 2010 montre que 47 % des décès par l’euthanasie n’étaient pas signalés aux autorités, alors même que la loi exige qu’ils le soient. Ces données montrent qu’il existe un écart énorme entre l’objectif de la loi et son application dans la réalité médicale. Les conséquences d’un tel écart sont sérieuses et irréversibles : beaucoup de patients vulnérables, plutôt que de recevoir du soutien psychologique et des traitements médicaux, ont reçu une injection létale sans l’avoir même demandé, et ce, en dépit d’une loi qui devait les protéger. Tenant compte de la similarité entre le projet de loi 52 et la loi sur l’euthanasie en Belgique, il est fort probable que ce même danger deviendra réalité au Québec si l’euthanasie est permise.

(...)

Jonathan Morasse, Montréal,
étudiant en médecine
 

 

 

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Une mère porteuse payée 10 000$ pour avorter refuse de laisser éliminer son enfant adoptif...

Sur le site de jolpress.com du 8 mars 2013, cette nouvelle passée inaperçue :

(Photo : Petr Kratochvil, sur publicdomainpictures.net)

 

 

 

(...) Une jeune femme américaine Cristal Kelley a été payée 22 000 dollars pour porter le bébé d’un couple. Or, alors que la mère porteuse entamait sa 21e semaine de grossesse, une échographie a révélé un certain nombre d’anomalies chez le fœtus : un bec-de-lièvre, un kyste au cerveau et un problème au cœur. Les parents ont alors offert 10 000 dollars de plus à Cristal Kelley pour qu’elle accepte d’avorter.

La mère porteuse refuse d’avorter

Seulement voilà, la mère porteuse a décidé de garder le bébé. « Je ne peux vous dire combien de gens m’ont dit que j’étais mauvaise, que j’avais tort, que j’aurais dû me faire avorter, que je serais damnée en enfer », a déclaré Cristal Kelley. « Mais personne ne ressentait cette grossesse comme moi je le faisais. Personne d’autre ne la sentait bouger et donner des coups de pieds de l’intérieur. Je savais depuis le début que cette petite fille avait un esprit combatif étonnant, et que tous les défis qui lui étaient lancés seraient relevés par elle avec chaque once de courage dont elle dispose. »

Selon CNN, Crystal Kelley a alors reçu une lettre d'un avocat nommé Douglas Fishman lui rappelant que son contrat de maternité de substitution l’obligeait à avorter dans le cas « d'anomalie grave du fœtus ». L’avocat l’a même menacé de procès pour récupérer les sommes déjà versées, sans compter les frais médicaux et juridiques.

Les parents renoncent à leurs droits sur l’enfant

Avec  l’aide d’un avocat bénévole, Cristal Kelley a réussi à faire admettre aux parents qu’ils ne pouvaient la contraindre à avorter. Alors ces derniers lui ont assurés qu’à la naissance du bébé, ils accepteraient de prendre la responsabilité légale de l'enfant et l'abandonneraient aussitôt, faisant de la fillette une pupille de l'Etat.

N’acceptant pas l’idée de savoir que l’enfant qu’elle portait soit mis en famille d’accueil, Cristal Kelley a décidé de quitter le Connecticut pour le Michigan. En accouchant dans un autre Etat, elle avait l’assurance d’être considérée comme la mère de l’enfant. C’est ce qui s’est passé mais en tant que mère célibataire sans emploi avec deux enfants à charge, elle a décidé de confier le bébé à un couple qui désirait adopter.

(...)

 

 

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Interview sur une télévision communautaire d'une jeune participante à la Chaîne pour la Vie

Sur le site de tele-mag.tv, à 27 minutes 30 secondes. Pour voir l'interview de Nadine Westerveld, cliquez ici.

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