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51 lois pro-vie ont été passées cette année aux États-Unis, sauvant des bébés de l'avortement

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Par Susan Michele de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie

Rien que cette année, 51 nouvelles lois pro-vie ont été promulguées aux États-Unis. L'Institut Guttmacher (pro-avortement) rapporte que 282 contraintes sur l'avortement ont été mises en vigueur depuis 2010. Guttmacher constate que les lois pro-vie promulguées dans la première moitié de 2015 surpassent déjà le nombre total de lois mises en place en 2014.

Certes, les lois pro-vie promulguées abordent une variété de questions, mais certains thèmes se distinguent parmi les autres : des lois sur la sécurité des patientes -- connues comme Règles Ciblant les Services d'Avortement (en anglais Targeted Regulation of Abortion Providers [TRAP]) par ceux qui défendent l'avortement, des lois sur l'avortement via médication, des lois sur les périodes d'attente pour un avortement et des lois sur les avortements par dilatation et évacuation (connus autrement comme des "avortements par démembrement").

Guttmacher dit : "Même si la plupart des mesures sur ces questions suit les tendances récentes, certains États ont tracé de nouvelles orientations qui pourraient bien servir de modèle pour d'autres États à l'avenir ".

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Bien que certaines de ces lois aient été retardées aux tribunaux, beaucoup d'entre elles se sont fait passer dans leur état respectif. L'Institut Guttmacher a publié un résumé de la myriade de nouvelles règles récemment mises en vigueur :

- 3 États ont décidé de prolonger la période d'attente et 2 autres ont adopté une période d'attente pour la première fois.

- L'Arkansas et le Tennessee ont mis en place une période d'attente mandatée de 48 heures entre la consultation pour un avortement et la procédure elle-même.

- La Caroline du Nord et l'Oklahoma ont fait passer des mesures qui requièrent qu'une femme attende un minimum de 72 heures; ces lois joignent la Caroline du Nord et l'Oklahoma au Missouri, au Dakota du Sud et à l'Utah, des États qui requièrent aussi qu'une femme attende 3 journées entières avant de se faire avorter.

- Une nouvelle loi dans la Floride qui établirait une période d'attente de 24 heures a été mise en question et il reste à voir si l'exécution de la loi sera bloquée pendant le procès.

- 3 des 5 États qui ont adopté des périodes d'attente mandatées cette année requièrent aussi que les femmes reçoivent une consultation sur l'avortement, ce qui nécessite que la femme fasse deux visites différentes à la clinique.

- Depuis 2010, 14 États ont adopté des interdictions sur les avortements pendant ou après la 20e semaine après la fécondation (à peu près 22 semaines après le dernier cycle menstruel de la femme) et 11 de ces 14 États ont des lois en vigueur.

- Pour la première fois, deux États, le Kansas et l'Oklahoma, ont fait passer des mesures qui en fait pourraient interdire l'avortement après la 14e semaine de grossesse.

- 19 États restreindront désormais cette méthode commune de faire un avortement dans le 1er trimestre.

- Cette année, l'Arkansas et l'Idaho ont adopté de nouvelles restrictions, ce qui les joint à 16 autres États qui ont tous interdit l'usage de "télémédicaments"("telemedecine" en anglais).

- L'Arizona et l'Arkansas ont adopté une nouvelle sorte de restriction sur les médicaments utilisés dans un avortement : Selon ces lois, des services d'avortement doivent informer une femme de la possibilité d'arrêter un avortement par médicaments en donnant à celle-ci une grosse dose d'hormones après que la mifépristone ait été administrée, mais avant que la femme ne prenne le misoprostol.

- 5 États requièrent que les services d'avortement (et par médicaments et par la chirurgie) aient un privilège d'accès ("admitting privileges" en anglais) à un hôpital local.

- 10 autres États requièrent que les services d'avortement aient soit ce privilège d'accès soit une autre sorte de relation avec un hôpital local (par exemple, un accord entre l'hôpital et un médecin qui, lui, a un privilège d'accès).

- 22 États imposent des critères sur des services d'avortement; critères comparables à ceux en vigueur pour des centres chirurgicaux ambulatoires.

- L'Arkansas et l'Indiana requièrent désormais que les services d'avortement soit incinèrent soit enterrent les restes foetaux.

Cette liste publiée par l'Institut Guttmacher montre le progrès fait pendant les 5 années précédentes. Beaucoup croient que cette poussée de mise en vigueur de lois pro-vie s'est produite comme une réponse à la présidence de Barack Obama. En effet, certains affirment que M Obama s'est manifesté comme le président le plus en faveur de l'avortement, ce qui a poussé les gens pro-vie à riposter avec de la législation pro-vie. Par conséquent, un tas de restrictions sur l'avortement est survenu.

Heureusement pour les bébés -- et les femmes qui ne comprennent pas la souffrance que l'avortement peut leur apporter -- les 5 années précédentes ont préservé des vies, même au milieu de la culture de mort.

Quelles que soient les décisions faites par les tribunaux, la vérité est que la plupart des réglementations pro-vie sont efficacement mise en vigueur. Le côté pro-vie continue à gagner du terrain, ce qui est évident même lorsque les nouvelles sont rapportées d'une organisation en faveur de l'avortement comme l'Institut Guttmacher.



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