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Les chiffres sur les avortements clandestins

Que ce soit en France, aux États-Unis ou partout ailleurs dans le monde, les partisans de l'avortement mentent impunément sur le nombre d'avortements clandestins.

En 1974, en France, la honte de l'Académie Française, Simone Weil, affirmait sans rire qu'il y avait des centaines de milliers d'avortements clandestins annuellement en France. Les chiffres officiels devenus publics dans les années 1980? 10 fois moins... Simone Weil ne sera pas la seule à tromper tout un pays pour pouvoir faire tuer par l'état, les enfants à naître.

Aux États-Unis, un ancien avorteur, le Dr Nathanson a avoué avoir inventé lui aussi des chiffres farfelus sur ce sujet, relayés par les mouvements pro-avortements américains.

Le site du salon Beige commente l'article du Figaro du 19 janvier 2011 sur les chiffres de l'Organisation Mondiale de la Santé. Près d'un avortement sur deux, soit 27 500 000 avortements seraient clandestins dans le monde. On ne parle pas de la façon dont ils ont été comptabilisés!

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Un nouveau parti: Le Parti conservateur du Québec

Le journal Métro du 19 janvier 2012 nous donne une entrevue avec le chef du parti, Luc Harvey. Voici quelques questions et réponses données par Luc Harvey au journaliste qui l'interroge:

"Quelles sont vos idées politiques?
Il y a trois sujets qu’on aborde aujourd’hui : la fiscalité des entreprises. On voudrait que les entreprises qui opèrent à l’étranger puissent rapatrier leurs profits sans payer d’impôt. Ensuite, on appuie le projet de loi C-10, déposé par le fédéral [qui prévoit des peines de prison plus sévères]. Le dernier point, on est contre le cours d'Éthique et culture religieuse obligatoire. L’État n’a pas d’affaires là-dedans. C’est de l’ingérence dans l’autorité parentale. […] De plus, tous les accommodements raisonnables tentent de faire reculer les droits de la Femme et pour moi, c’est non négociable. Bientôt nous présenterons des positions claires et nettes sur l’environnement ou la santé. Mais je crois qu’un système de santé mixte n’est pas nécessairement à deux vitesses.

Quelle est votre position sur l’avortement?
Les femmes décident. Mais on pourrait donner une troisième opportunité aux filles qui n’ont pas les moyens de garder l’enfant. Il y a tellement de Québécois qui s’en vont adopter en Chine ou ailleurs. On pourrait faciliter les mesures d’adoption pour qu’un Québécois puisse adopter au Québec. Mais le statut de l’avortement est réglé et il n’y aura aucun recul."

Des éléments intéressants, l'abrogation du caractère obligatoire du cours ECR et un petit pas dans la bonne direction en matière d'avortement: favoriser l'adoption. Il faudra travailler pour qu'il y ait de plus grands pas...

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La "liberté" de la mentalité contraceptive...

Dans les sociétés occidentales, il est de bon ton de parler de la  liberté apportée par les moyens contraceptifs… Liberté?
 
La Sociodémographe Laurence Charton et le professeur de sexologie à l’UQUAM Joseph Josy Lévy, apportent un sérieux bémol à cette conception de la contraception. Dans la préface du livre « La Contraception: prévalence, prévention et enjeux de société », voici ce qu’ils pensent du concept de liberté contraceptive :
 
« La médicalisation des processus de reproduction, en se focalisant essentiellement sur des méthodes contraceptives féminines, a aussi conduit les femmes, en les libérant d’un déterminisme biologique, à une surveillance médicale renforcée. Ainsi, l’entrée dans la sexualité est dorénavant souvent associée pour les femmes à la première prescription d’une pilule contraceptive. Elle se poursuit par un suivi médical rigoureux où tout événement de la vie reproductive s’appréhende en actes médicalisés (moment où naît un désir d’enfant, grossesse, accouchement, espacement des naissances, ménopause; Quéniart, 1989; Guyon, 1996). Cette surveillance médicale accrue fait en sorte que les femmes se sentent aussi astreintes à la responsabilité de la procréation sous le contrôle du médical.
 
La manière dont les stratégies préventives entourent la reproduction ne donne toutefois pas l’impression qu’un contrôle social est exercé sur les femmes et les couples. Ce contrôle est en effet moins axé sur la répression que sur la prévention : on suggère, plutôt qu’on interdit; on recommande et on déconseille certains comportements et manières de vivre, puis on marginalise les déviants (mères adolescentes, mères célibataires, couples sans enfants, familles nombreuses, familles recomposées, etc.)
 
En insistant sur la prévention des risques reproductifs, on arrive ainsi à une nouvelle manière de gérer les populations dont le résultat s’observe à travers une certaine homogénéisation des comportements féconds. Cette situation amène ainsi Perrenoud (1995, p.251) à dire “que les femmes ne sont guère plus libres aujourd’hui d’avoir autant d’enfants et quand elles le veulent qu’elles ne l’étaient hier d’en limiter le nombre”. En effet, comme le souligne par ailleurs Blayo (1985, p.182), “ce n’est pas parce que les règles imposées par un système social sont librement suivies par les individus au point qu’ils rationalisent a posteriori leurs attitudes par des choix qu’ils pensent individuels qu’elles n’en sont pas pour autant des règles”. Ainsi, la médicalisation de la contraception, tout en ayant permis aux femmes de maîtriser plus sûrement leur fécondité, se présente aussi comme l’instrument d’un pouvoir qui impose aux femmes et aux couples d’avoir le nombre d’enfants que la société attend d’elles (Héritier, 1999). »( p.3)
 
Qui n’a pas vécu la pression des gynécologues après la naissance d’un enfant pour la prescription de la pilule contraceptive? Qui n’a pas entendu les questions totalement déplacées d’une infirmière s’interrogeant sur les méthodes contraceptives utilisées par un couple?
 
Il y a une pression institutionnalisée du personnel médical et rares sont les gens n’ayant pas introjecté le message reçu par ces policiers de la conduite contraceptive. La liberté de pensées et d’actions est un combat de tous les jours…

La citation est tirée de : CHARTON, Laurence, LÉVY, Joseph Josy, (dir.). La contraception: Prévalence, prévention et enjeux de société, éd. Presses de l'Université du Québec, Québec, 2011, 270 pages.

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Avoir 20 enfants ou 100 petits-enfants en 2012, c'est toujours possible!

Le site Yahoo rapporte ces deux belles histoires de familles nombreuses. D'abord celle d'un couple attendant leur 20e enfant:

"Peu importe l’image que l’on se fait d’une famille nombreuse, la famille de Michelle Duggar, 45 ans, et de son mari Jim Bob, 46 ans, semble dépasser toute mesure. En effet, l’heureux couple a 19 enfants... et a annoncé dernièrement qu’il attendait son vingtième ! Pour l’occasion, il a été invité, ainsi que tous les autres enfants, sur le plateau du «Today Show», célèbre émission de la chaîne de télévision NBC. C’est à cette occasion que le couple a annoncé la prochaine naissance, prévue en avril.
 

La famille vit à Little Rock dans l’Arkansas et est entourée de tout un appareillage médiatique et commercial. En effet, elle a son propre site internet qui a bien évidemment immédiatement été mis à jour lorsque les époux ont appris cette nouvelle grossesse. Sur le site, on peut acheter des DVD consacrés à la famille, consulter le blog de Michelle, parcourir les albums photos de la famille ou encore lire les conseils de Jim Bob aux autres pères. Une série télévisée, diffusée sur la chaîne TLC et intitulée «19 kids and counting» (19 enfants et ce n’est pas fini) est également consacrée à la famille. Elle permet de découvrir sa vie de tous les jours."

Malheureusement, le petit 20e est décédé avant sa naissance. Ce que nous rapporte le site LifeSiteNews ici.

Et cette autre histoire traite de ses grands-parents qui ont de la difficulté à se souvenir du prénom de leurs 100 petits-enfants:

"GRANDE PRAIRIE, Alta. - Alors que cette période de l'année permet de célébrer la famille, deux grands-parents de l'Alberta ont davantage de raisons de célébrer que d'autres.

Viktor et Aneta Urich de Grande Prairie ont accueilli la naissance de leur 100e petit-enfant plus tôt ce mois-ci; il s'agit d'Henry Urich, neuvième enfant de Tatjana et d'Henrich Urich. Henrich est l'un des 16 enfants de Viktor et Aneta.

Comment fait-il pour tous les départager?

Viktor, âgé de 62 ans, répond en riant qu'il lui arrive de demander les prénoms des enfants et petits-enfants.

Viktor et Aneta sont originaires du Kazakstan, et ont vécu au Canada au cours des 17 dernières années. Tous ses petits-enfants sont nés au Canada et il admet que les noms russes sont plus faciles à retenir que les noms anglais.

Personne ne fait cas, cependant, lorsque grand-père se trompe dans les noms.

Le Livre Guinness des records ne maintient pas un titre pour le plus grand nombre de petits-enfants sur son site Internet. Des reportages diffusés plus tôt cette année faisaient état d'une femme des Philippines ayant eu 107 petits-enfants et 138 arrière petits-enfants.

La majeure partie de la famille Urich vit à proximité. Mais un clan de cette taille a de la difficulté à trouver un endroit pour se réunir, précise Viktor.

La plupart du temps, ils se rencontrent à l'extérieur dans un parc ou dans l'église orthodoxe russe locale. C'est là qu'ils se reverront tous en janvier, pour la première réunion avec le 100e petit-enfant.

«Nous allons faire la fête dans l'église, tous ensemble, a dit Viktor. Nous prierons ensemble, un grand merci à Dieu.»

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Une fillette de 11 ans enceinte, une nouvelle affaire de Recife

Avant que les médias internationaux ne déforment l'information sur cette affaire, comme ils l'ont fait pour la fillette brésilienne de Recife, nous vous transmettons les faits connus jusqu'à présent. On retrouve l'histoire de ce cas sur le site de Jeanne Smits :

"Cette fois il s'agit d'une fillette de onze ans et dix mois, originaire d'une famille très simple de General Campos en la province d'Entre Rios, Argentine. Les premières dépêches annonçant que sa famille demandait l'avortement pour la jeune fille dont la grossesse a été découverte la semaine dernière expliquaient qu'elle était tombée enceinte à la suite de relations sexuelles avec un autre jeune, un mineur de 17 ans.

Au fil des articles le jeune est devenu un violeur et le rapport un abus sexuel – de toute façon le consentement à l'acte sexuel est juridiquement impossible avant l'âge de 13 ans en Argentine – et cela est nécessaire du point de vue des pro-mort pour « justifier » l'avortement. Le code pénal argentin interdit l'avortement de manière générale mais le dépénalise en cas de viol sur personne vulnérable ou danger pour la vie de la mère…

C'est la représentante légale de la famille, Maria Susana Benitez, qui réclame en justice le droit de faire pratiquer l'avortement sur la fillette enceinte de 12 semaines et demi, tandis que la représentante du Consortium pour les droits sexuels et reproductifs, Silvia Prima, rue dans les brancards en disant  qu'il ne faudrait même pas passer devant la justice puisque les conditions de la dépénalisation sont réunies et ouvrent automatiquement le droit à l'avortement (c'est l'un des chevaux de bataille des partisans de l'assouplissement de la loi en Argentine).

C'est le point de vue repris par les médias argentins qui prennent clairement parti en disant que dans des cas comme celui-ci le feu vert de la justice est inutile et que loin d'avoir à attendre la permission de pratiquer l'avortement, les médecins en ont carrément l'obligation puisqu'il n'est pas punissable.

Cependant – chose intéressante à noter alors que l'avortement est si volontiers présenté comme la solution aux problèmes de santé des femmes – l'ensemble de l'équipe médicale concernée de l'hôpital où la fillette se trouve actuellement, a déclaré qu'il n'y a aucune raison thérapeutique de pratiquer l'avortement sur la jeune fille. Aucun « risque obstétrique » ne justifie l'« avortement thérapeutique », ont souligné les médecins, alors qu'au contraire le stade de la grossesse qui va entrer dans son deuxième trimestre rend l'avortement plus dangereux. Viol ou pas. La grossesse, elle, se déroule normalement."

Maintenant voyons si nos médias vont trouver matière à scandale pour la promotion de l'avortement...

 

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La pratique eugénique en France

Nous avons révélé sur ce site que des avortements étaient effectués au dernier trimestre de la grossesse à l'hôpital Ste-Justine. En France, il existe une loi restreignant l'avortement aux premiers mois de la grossesse. Mais cette loi ne s'applique pas aux enfants trisomiques qui peuvent être éliminés jusqu'à la veille de leur naissance.

Le site Magicmaman.com nous révèle cette triste nouvelle.

"Si le caryotype montre une trisomie 21, le couple a le choix entre poursuivre la grossesse, ou bien y mettre fin avec une interruption médicale de grossesse. En France, l’IMG est possible jusqu’au terme de la grossesse si la vie de la femme enceinte est en danger, ou si le fœtus présente une affection d’une particulière gravité - la trisomie 21 en faisant partie."
 

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L'organisation "Médecins sans frontières" pratiquent des avortements

Le site du Salon Beige résume ainsi cette nouvelle:

"Le Conseil international de MSF a donné son « feu vert » pour inclure l’avortement parmi les « soins de santé spécialisés dans la reproduction ». Toutes les délégations de MSF doivent envisager l’avortement pour chaque projet, quelles que soient les raisons de chaque demande. Y compris si cela doit aller contre la loi du pays où l'avortement sera pratiqué."

Il faudra écrire le "sans" de "Médecin sans frontières" avec un "g". Le sang des enfants à naître qu'ils auront tués, partout à travers le monde.

Un autre organisme à éviter pour donner plutôt à de véritables organismes d'aides et de soins aux pauvres du monde entier.

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"La règle d'or du respect absolu de la vie humaine"

Jean-Marie Le Méné, président de la fondation Jérôme Lejeune, nous livre une magnifique réflexion s'appliquant parfaitement au Québec:

"Plus personne ne pense que la grave crise financière traversée par nos sociétés relève de la technique. Chacun sait qu’il s’agit d’une profonde crise morale. Nous avons consenti à ne pas vivre dans la vérité. On a fait comme s’il était normal de payer à crédit et de voler nos descendants. Comme si cela ne devait jamais se savoir. Depuis plus de trente ans, chaque budget de l’Etat français a été voté en déficit et accompagné de son lot de mensonges. Et voilà qu’un jour la réalité explose. Les finances sont exsangues, les politiques bégayent et la défiance s’est installée. Alors, ne sachant plus à quel saint se vouer, les gouvernants lancent une incantation : il faut inscrire une « règle d’or » dans la Constitution française ! Que dit cette « règle d’or » ? On ne peut pas dépenser plus que ce qu’on gagne. La Cigale et la Fourmi, en somme… Voir l’arrogance technocratique à genoux devant Monsieur de La Fontaine est moins une satisfaction tardive qu’une démonstration subtile. Quand nos petits arrangements avec la vérité font faillite, le réflexe le plus spontané est de s’en remettre à la supériorité d’une norme invariable qui s’appelle la morale. Car il n’existe pas de solution technique à la folie des hommes.

 

Quitte à revenir aux fondamentaux, nous pourrions aussi inscrire une autre « règle d’or » dans la Constitution, celle du respect absolu de la vie humaine. Car dans ce domaine non plus nous ne vivons pas en vérité. Et les conséquences sont autrement plus graves. Ici le mensonge tue. Depuis plus de trente ans, nous exerçons des libertés trompeuses et des droits qui n’en sont pas. Le mal est devenu le bien, l’exception la règle, la dérogation le principe. L’avorteur court à l’Académie et le défenseur à l’infamie. Un tissu de complicités nous exhorte au mutisme : parler serait violent ! Mais où est la violence, dans le mot ou dans la chose ? Tous les embryons ou fœtus anormaux sont traqués, près d’une femme sur deux avorte au moins une fois dans sa vie, les manuels scolaires banalisent une sexualité polymorphe sous pavillon de complaisance scientifique, les principaux partis s’engagent à rouvrir le débat sur l’euthanasie… Le « trans-humanisme » n’a jamais suscité autant de littérature. Visant à produire un homme « augmenté », fruit du désir, de la technique et de l’argent, cette idéologie nous prépare à supprimer l’homme « diminué » par sa petitesse, sa maladie ou son grand âge. Là aussi, en bioéthique comme en matière financière, la démocratie qui ne s’en réfère pas à une « règle d’or » peut être dangereuse.
Pour appeler de nos vœux la « règle d’or du respect absolu de la vie humaine », dans l’année qui vient, nous ne serons pas ces « chiens muets, incapables d’aboyer » que dénonçait le prophète Isaïe. Car nous n’avons qu’une seule crainte, celle de blesser l’Innocence"
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Souvent, l'ignorance et la peur sont les vraies raisons de ne pas vouloir d'enfants

Le Journal Métro du 17 janvier 2012 se réjouit de ce problème : le choix des femmes de ne pas avoir d'enfants. Bien sûr, la vocation de célibataire est bel et bien existante, mais ce n'est pas un choix vocationnel qui est ici présenté. Il suffit de voir le questionnaire pour déterminer si l'on veut des enfants pour constater combien l'ignorance et la peur sont les raisons de ce choix.
 
L'arrivée d'un enfant change une vie et développe les ressources et capacités de dévouement et d'amour inconnues chez la personne auparavant. Le soutien des proches et amis permet cette transition et les sourires de bébé changent le coeur.
 
En fait, si l'on regarde le questionnaire évoqué pour déterminer si l'on veut ou pas des enfants, très peu de gens répondront positivement. Cela rappelle l'expérience faite dans certaines écoles pour dissuader les jeunes filles de devenir mères. Toute la journée, elles devaient se promener avec une poupée du poids de l'enfant, la « nourrir » à certaines heures et ainsi de suite. Ne faire prendre conscience que des tâches sans les nombreuses joies qui l'accompagnent est de la malhonnêteté intellectuelle. Souhaitons que le moins de femmes possible tombent dans ce piège qui leur laissera pour la plupart, un goût très amer pour leur vieillesse...
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La Hongrie et sa constitution: des modèles pour le Québec

La Hongrie s'est donnée une constitution défendant la vie de l'enfant à naître et de toute personne, de sa conception à sa mort naturelle. Elle défend également l'identité chrétienne de la Hongrie, avec pour résultat de faire grincer des dents aux institutions internationales "démocratiques", ainsi qu'à l'Union Européenne et aux États-Unis...

Les évêques de Hongrie se sont prononcés pour défendre cette nouvelle et magnifique constitution. Radio-Vatican nous donne cette intéressante nouvelle:

"Interrogé sur notre antenne, Mgr János Székely, évêque auxiliaire de Budapest, souligne que le gouvernement actuel de Viktor Orbàn défend des valeurs que l’Eglise considère comme essentielles. La nouvelle Constitution fait ainsi référence à Dieu, au christianisme et à la famille traditionnelle. Le texte défend la protection de la vie humaine dès sa conception ainsi que le mariage, considéré comme l’union de base la plus naturelle entre un homme et une femme et fondement de la famille. Il est clair – commente-t-il – que cela ne peut pas plaire aux intellectuels européens. D’autre part, le monde de la finance n’apprécie pas l’impôt supplémentaire imposé aux banques. Tels sont, selon Mgr János Székely, les vrais motifs, inavoués, des attaques lancées contre Viktor Orbàn. Le prélat approuve également la décision de réduire le nombre d’églises bénéficiant de subventions publiques. Il fallait mettre fin à la prolifération d’églises fictives créées de toutes pièces pour profiter des nombreux avantages prévus par la loi hongroise."

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