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Une mère atteinte d’un cancer du cerveau refuse l’avortement


Gracey Joyce Kann.

Par Mylee Kann et Steven Ertelt (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie

Il y a un peu plus d’un an, on a diagnostiqué chez Tasha Kann, une jeune mère de 30 ans, une tumeur cérébrale appelée astrosytome anaplasique de grade III, une forme rare et maligne de cancer. Tasha était enceinte d’environ 20 semaines d’une petite fille en bonne santé.

Les médecins ont informé Tasha que sa meilleure chance de survie et de gagner du temps était d’avorter et de commencer immédiatement la chimiothérapie et la radiothérapie. Cependant, Tasha ne voulait pas mettre fin à la vie de son bébé, même si cela signifiait que sa propre vie prendrait fin plus tôt.

« Je ne savais pas vraiment quoi penser. Je pense que dans mon esprit, avec le cancer du cerveau, je pensais que j’allais mourir. Pour être honnête, je pensais que je mourrais de toute façon. J’ai donc pensé que je devais garder mon bébé en vie », a déclaré Tasha.

Tasha pensait qu’il existait une voie plus sûre, non seulement pour elle, mais aussi pour son bébé.

Selon le site GoFundMe de Tasha, « après de nombreuses recherches et prières, Tasha a décidé que la meilleure issue à cette maladie serait de poursuivre sa grossesse et de la combattre aussi naturellement que possible, en refusant la chimiothérapie et la radiothérapie ».

Gracey Joyce Kann est née en octobre dernier. Elle était en excellente santé et très mignonne, et la famille Kann est tombée amoureuse d’elle.

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Le cancer de Tasha s’est développé à partir de son système nerveux central et s’est propagé dans trois lobes du cerveau. On considère maintenant qu’il s’agit d’une gliomatose cérébrale, une maladie très agressive et très résistante aux traitements. La chirurgie n’est pas une option, et le pronostic est passé de plusieurs années à quelques mois pour Tasha. Le pronostic était de 12 mois, et Tasha en est maintenant à 14 mois.

Dans une nouvelle entrevue accordée à Fox News, Mme Kann se souvient de son parcours.

Elle se souvient encore très bien du moment où un groupe de trois médecins est entré dans sa chambre d’hôpital et s’est tenu au pied de son lit.

« Ils m’ont tous regardée et m’ont dit que ma meilleure chance de survie serait d’avorter et de commencer le traitement immédiatement — ce qui pourrait me donner cinq à huit ans de survie », a-t-elle déclaré à Fox News Digital.

« Je leur ai dit que je ne pouvais absolument pas », a déclaré Mme Kann en parlant de l’avortement.

Plus d’un an après le diagnostic, défiant les prédictions des médecins, elle est toujours en vie.

« J’étais un peu effrayée, mais je n’ai jamais perdu espoir », a déclaré Mme Kann à propos de son diagnostic. « Je savais que je devais être forte pour mon bébé ».

Lorsqu’elle a pris la décision concernant ses soins, Mme Kann a déclaré que sa foi avait été le facteur le plus important.

« Avorter mon bébé n’a jamais été une option pour moi, car cela va à l’encontre de la volonté de Dieu », a-t-elle déclaré.

« J’ai eu de nombreuses conversations profondes avec Jésus cette semaine-là à l’hôpital, et je savais que si je m’accrochais au Seigneur et à ses promesses, il mettrait mon bébé en sécurité ».

Mme Kann n’a aucun regret alors qu’elle mène aujourd’hui ses propres batailles médicales.

« Chaque jour, je regarde mon beau bébé et je pense à la facilité avec laquelle ils m’ont dit d’avorter — comme si elle n’était rien », a déclaré Mme Kann à Fox News Digital.

« Si je les avais écoutés — comme le font la plupart des patients, qui font confiance à leur médecin et ne font pas leurs propres recherches —, mon bébé ne serait pas là », a-t-elle ajouté. « C’est un miracle de Dieu que nous soyons ici toutes les deux ».

Kann reçoit maintenant une immunothérapie coûteuse dont le prix s’élève à plus de 100 000 dollars pour l’année.

« L’oncologue m’a dit qu’elle ne savait pas comment il était possible que je sois encore en vie », a déclaré Mme Kann. « Comment peut-il y avoir une autre réponse que celle de notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ ? »

L’histoire de Tasha Kann montre que l’avortement n’est pas forcément un choix nécessaire* pour les femmes. Au contraire, Tasha a choisi de se renseigner sur les options qui s’offraient à elle et a décidé de sauver son bébé, aujourd’hui âgé de huit mois. Ce faisant, elle s’est protégée d’un traitement qui aurait pu entraîner sa mort, et elle a protégé son bébé de l’avortement. Sa communauté et sa famille ont toujours été et seront toujours là pour la soutenir. Et elle n’abandonne pas.

La page GoFundMe pour Tasha Kann et sa famille est accessible ici.


*Dans le sens machiavélique du terme où la fin justifie les moyens... — A.H.



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