Les médecins ne sont pas honnêtes au sujet de la pilule
Autumn Mackenzie (24 ans) a échappé à la vie sous contraception et pense que vous devriez en faire autant.
Par Autumn Mackensie (Reactionary Feminist), d'abord paru sur Catholic Credo — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Andrey Popov/Adobe Stock
Les médecins mentent aux femmes à propos de la pilule
Je me souviens parfaitement de ce rendez-vous. Après avoir passé toute une séance de cours de ma dernière année de licence, le front en sueur sur le linoléum des toilettes du sous-sol du bâtiment de psychologie de Texas A&M, à me tordre de douleur en proie aux crampes, j’ai pris rendez-vous pour une consultation sur les contraceptifs. J’avais entendu dire que la pilule aidait à lutter contre l’acné et les crampes. J’avais aussi en tête l’avantage de ne pas avoir d’enfant.
Le médecin m’a expliqué que la pilule que je devais prendre, Lo Loestrin Fe, était une pilule combinée contenant 10 microgrammes d’estradiol, un œstrogène synthétique, et 1000 microgrammes d’acétate de noréthindrone, une progestérone synthétique. Elle m’a demandé si j’avais des migraines. J’ai répondu par la négative et elle m’a renvoyée chez moi, se contentant de me dire de revenir si j’avais des effets secondaires indésirables.
Lire la suiteUn homme atteint d’un cancer voulait le suicide assisté, mais il fut heureux d’avoir choisi la mort naturelle à la place
Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Wan/Rawpixel.com
Le suicide assisté continue de faire rage à travers le monde, sa légalisation progressant dans un nombre croissant de pays, à mesure que les organisations de défense de la mort [programmée] font pression pour que les personnes atteintes de cancer, de handicaps et de maladies puissent mettre fin à leurs jours avec l’aide d’un médecin. Un homme avait prévu de se rendre dans une clinique d’euthanasie, mais sa femme l’a convaincu de vivre jusqu’à sa mort naturelle. Elle fait aujourd’hui campagne contre la mort assistée.
Nadine Dorries a écrit, dans une chronique du Daily Mail, qu’elle et son mari Paul ont été choqués et ont eu le cœur brisé lorsqu’on a diagnostiqué chez lui un cancer de l’intestin. Pire encore, le cancer était en phase terminale ; sa tumeur était inopérable et on ne lui donnait que quatre mois à vivre. « Nous avons eu l’impression que le sol s’ouvrait sous nos pieds », écrit Mme Dorries. « Nous avions trois belles filles et nous étions la famille la plus unie qui soit : comment pouvions-nous faire face à cela ? Comment pouvions-nous infliger cette nouvelle dévastatrice à nos filles ? Les larmes ont coulé lorsque le choc nous a soudainement frappés tous les deux. Il m’a fallu du temps avant de pouvoir conduire ».
Son mari, quant à lui, était particulièrement terrifié. « Je ne peux pas faire ça », a-t-il déclaré. « Je ne peux pas faire ça aux filles, ni à toi. J’ai vu comment mon père est mort d’un cancer de l’intestin et ce que ma mère a enduré. Je veux aller à Dignitas. Maintenant, tant que je le peux encore ».
Lire la suiteL’euthanasie prochaine de Mélanie Lachance
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Serhii/Adobe Stock
Mélanie Lachance va bientôt mourir par euthanasie, le samedi 13 janvier, si tout se passe comme elle l’a planifié. Âgée de 42 ans et atteinte d’une récidive de cancer, elle a décidé de ne pas suivre un traitement anti-hormonal qui pouvait ralentir la progression de la maladie, mais aurait prolongé un état de santé pénible, et d’anticiper sur la mort. Elle s’était donné un an environ pour vivre toutes sortes d’aventures et de voyages avant de mourir.
Une chronique de La Presse nous la présente comme la mère attentionnée de deux filles, comme une femme généreuse qui tenait autrefois un foyer d’accueil, comme une femme forte qui fait face avec lucidité à la réalité de la mort, et comme une personne qui sait vivre et profiter de la vie.
L’auteur de la chronique, Rose-Aimée Automne T. Morin, assure que le parcours de Mélanie Lachance est « une véritable leçon de vie et de mort » :
Si tout va comme prévu, le 11 janvier prochain, Mélanie Lachance assistera à un concert d’Alexandra Stréliski avec une trentaine de ses proches. Deux jours plus tard, elle mourra. Dans notre société qui occulte la finitude, son parcours est une véritable leçon de vie et de mort.
Pendant le temps qu’elle s’est imparti, Mélanie Lachance a voyagé à Hawaï, Paris, l’Ouest canadien, sauté en parachute, été au Festival d’été de Québec, à Osheaga et à des dizaines de spectacles. Pour elle, sa « vie, c’est comme sept samedis par semaine ».
Lire la suiteUne mère atteinte d’un cancer du cerveau refuse l’avortement
Gracey Joyce Kann.
Par Mylee Kann et Steven Ertelt (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Il y a un peu plus d’un an, on a diagnostiqué chez Tasha Kann, une jeune mère de 30 ans, une tumeur cérébrale appelée astrosytome anaplasique de grade III, une forme rare et maligne de cancer. Tasha était enceinte d’environ 20 semaines d’une petite fille en bonne santé.
Les médecins ont informé Tasha que sa meilleure chance de survie et de gagner du temps était d’avorter et de commencer immédiatement la chimiothérapie et la radiothérapie. Cependant, Tasha ne voulait pas mettre fin à la vie de son bébé, même si cela signifiait que sa propre vie prendrait fin plus tôt.
« Je ne savais pas vraiment quoi penser. Je pense que dans mon esprit, avec le cancer du cerveau, je pensais que j’allais mourir. Pour être honnête, je pensais que je mourrais de toute façon. J’ai donc pensé que je devais garder mon bébé en vie », a déclaré Tasha.
Tasha pensait qu’il existait une voie plus sûre, non seulement pour elle, mais aussi pour son bébé.
Selon le site GoFundMe de Tasha, « après de nombreuses recherches et prières, Tasha a décidé que la meilleure issue à cette maladie serait de poursuivre sa grossesse et de la combattre aussi naturellement que possible, en refusant la chimiothérapie et la radiothérapie ».
Gracey Joyce Kann est née en octobre dernier. Elle était en excellente santé et très mignonne, et la famille Kann est tombée amoureuse d’elle.
Lire la suiteUn médecin japonais atteint d’un cancer de stade 4 s’est donné pour mission d’aider ses patients en phase terminale à « vivre dans la dignité »
Dr Fumio Yamazaki.
Par Michael Cook (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Kyodo News
22 août 2023, (BioEdge) — Fumio Yamazaki, un médecin de 75 ans spécialisé dans les soins palliatifs, se bat depuis quatre ans contre un cancer de stade 4. Mais malgré sa propre maladie, il continue d’aider ses patients en phase terminale à vivre leurs derniers jours dans la dignité.
Yamazaki a commencé à travailler comme médecin dans les années 1970, mais il a rapidement été désillusionné par la manière dont les patients mourants étaient traités. Il a constaté que les patients étaient souvent laissés dans l’ignorance de leur diagnostic et qu’ils étaient soumis à des traitements inutiles et douloureux.
En 1990, Yamazaki a publié un livre intitulé « Dying in a Hospital » (Mourir à l’hôpital), dans lequel il critiquait la
dont l’établissement médical traitait les patients mourants. Il préconise une approche plus holistique des soins de fin de vie, axée sur le confort et le soutien des patients et de leurs familles.
Lire la suiteUne femme survit miraculeusement à un cancer — elle a refusé d’écouter les médecins qui l’encourageaient à avorter son bébé
Jessica Hanna.
Par Kennedy Hall — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : The Kennedy Report/YouTube
7 novembre 2022 (LifeSiteNews) — Ici, à LifeSiteNews, nous savons que dénoncer le mal dans le monde est un travail nécessaire que nous faisons avec plaisir. En fait, notre intrépide président, Steve Jalsevac, s’est fait l’écho de ces déclarations lors de notre gala du 25e anniversaire en Floride cet été, lorsqu’il a exprimé que découvrir les mauvaises nouvelles est en fait une bonne nouvelle.
Il nous a rappelé l’appel de la Bible à découvrir le mal et à l’exposer afin que les ruses de Satan soient mises en lumière. Cela dit, je mentirais si je disais que plonger dans les sombres réalités du mal mondialiste n’est pas parfois un peu décourageant. Mais de temps en temps, nous sommes surpris par les histoires les plus étonnantes et nous nous rappelons de la grande bonté que Dieu accorde à ceux qui l’aiment.
Lorsque je ne suis pas en train de faire des reportages et d’écrire pour LifeSiteNews, j’enregistre des entrevues sur une chaîne YouTube personnelle appelée The Kennedy Report. L’autre jour, j’ai eu le plaisir d'interroger Jessica Hanna, qui m’a raconté une histoire incroyable sur la façon dont elle a survécu à un cancer — un cancer auquel elle n’aurait pas dû survivre — et a connu le miracle de la guérison. Le plus important, c’est qu’elle n’a pas expérimenté seulement la guérison de son corps, mais aussi celle de son âme.
Mme Hanna est née et a grandi au Canada, elle est catholique de naissance, mais elle m’a dit qu’elle avait vécu des « années païennes » au début de l’âge adulte. Elle dit qu’elle a « toujours cru en Dieu », mais qu’à un moment donné, elle était « devenue très mondaine ».
Retour à Dieu
En 2014, son mari a été atteint d’une « maladie potentiellement mortelle ». Il s’agissait d’un « trouble auto-immun qui a soudainement commencé à tuer ses cellules sanguines de l’intérieur, et il a failli mourir ».
C’est à ce moment-là que Jessica et son mari Lamar se sont « appuyés sur Dieu » comme ils ne l’avaient jamais fait auparavant. Il était extrêmement malade, et il était peu probable qu’il survive. Elle a dit que c’était comme s’il avait été miraculeusement guéri.
Elle m’a dit que cette expérience lui avait appris la puissance de la prière. Après cette expérience, elle et son mari ont pensé qu’ils avaient traversé la pire crise de santé qu’ils pouvaient imaginer. Ils étaient loin de se douter de ce qui les attendait.
Lire la suiteUne femme enceinte diagnostiquée d’un cancer refuse l’avortement — maintenant elle est guérie
Jessica Hanna et son fils Thomas Solanus.
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Capucine Tosi pour Campagne Québec-Vie=
Une activiste pro-vie de Detroit, Michigan, refusa d’abandonner l’espérance lorsqu’elle découvrit qu’elle avait un cancer du sein en phase terminale, alors qu’elle était enceinte de son plus jeune fils.
Jessica Hanna dit à EWTN News qu’elle est passionnée par les problématiques pro-vie depuis sa jeunesse, et que sa grossesse de l’an dernier a été une épreuve pour qu’elle puisse mettre ses croyances en action.
« C’était un processus de, “Waouh. Maintenant que tu as dit ce qu’il fallait dire, le discours pro-vie. Maintenant, tu es devenue la femme que tout le monde mentionne dans ses arguments : et si la vie de la femme est en danger ?” » expliqua Hanna. « Et maintenant c’est le moment pour moi de passer à l’action. »
Même si plusieurs docteurs lui ont conseillé d’avorter, Hanna a choisi la vie. Étant catholique, elle a prié — et demandé aux gens sur les réseaux sociaux de prier aussi — et finalement elle fut guérie du cancer, d’après le rapport.
Avant d’être enceinte de son fils, Hanna a dit qu’elle avait remarqué une bonne sur son sein et qu’elle était allée voir le médecin. Cependant, le docteur se trompa dans son diagnostic, disant que l’anormalité était bénigne, rapporte l’article.
Moins d’un mois après, Hanna découvrit qu’elle était enceinte. Lors d’un rendez-vous avec le gynécologue obstétricien, elle explique qu’elle demanda au docteur de vérifier à nouveau la bosse et le docteur détermina qu’elle était cancéreuse.
À 14 semaines de grossesse, Hanna dit qu’elle apprit qu’elle avait un cancer probablement en phase terminale ; sa tumeur était de 13 cm et les docteurs pensaient que le cancer allait se propager à d’autres parties du corps. Elle chercha l’opinion d’environ 10 docteurs différents, et plus d’un lui conseilla d’avorter.
Mais « ce n’était pas nécessaire du tout. Mon pronostic n’avait pas changé. Mon plan de traitement n’avait pas changé — enceinte ou pas », elle continua. « Beaucoup de gens ne savent pas que la chimiothérapie peut en fait être plutôt sans danger pendant la grossesse. J’ai choisi la voie du milieu, j’allais faire un peu de chimiothérapie mais avec quelques modifications… »
Lire la suiteDes lanceurs d’alerte dans le gouvernement américain dénoncent une hausse de fausses couches depuis le lancement des vaccins covid
Thomas Renz.
Par Patrick Delaney — Traduit par Campagne Québec-Vie
26 janvier 2022 (LifeSiteNews) — Trois lanceurs d’alerte du ministère américain de la Défense (DOD) ont déclaré que, sur la base de données gouvernementale secrète, il y a eu une augmentation alarmante des cas de cancer, de myocardite et de fausses couches depuis le lancement des vaccins expérimentaux COVID-19.
Cette annonce a été faite par Thomas Renz, avocat spécialisé dans les droits à la liberté médicale, au cours d’une brève présentation lors d’un débat au Sénat américain organisé par le sénateur Ron Johnson (républicain-Wisconsin) lundi. L’événement était intitulé « COVID-19 : A Second Opinion », et a accueilli une douzaine d’experts médicaux, dont les docteurs Peter McCullough, Harvey Risch, Pierre Kory et Robert Malone.
L’avocat basé dans l’Ohio, qui reste impliqué dans plusieurs poursuites majeures intentées contre des agences fédérales pour fraude et violation des droits à la liberté médicale, a commencé par préciser qu’il avait reçu des déclarations formelles sous peine de parjure de la part des trois lanceurs d'alerte.
« Nous avons des données substantielles montrant, par exemple, que les fausses couches ont augmenté de près de 300 pour cent par rapport à la moyenne sur cinq ans. Nous avons constaté une augmentation de près de 300 % des cancers par rapport à la moyenne sur cinq ans », a déclaré M. Renz.
En ce qui concerne les « problèmes neurologiques ─ qui affecteraient nos pilotes ─ [les données montrent] une augmentation de plus de mille pour cent ! … 82 000 par an à 863 000 en un an. Nos soldats font l’objet d’expériences, sont blessés et parfois même tués ».
Remerciant Kory d’avoir fait une référence antérieure à la corruption, Renz a affirmé : « C’est précisément ce dont il s’agit. Ils connaissent ces [informations] ».
Pour renforcer son propos, l’avocat a évoqué des informations provenant du « Project Salus », un système du ministère de la Défense qui intègre de multiples flux de données à des fins d’analyse.
Lire la suiteCanada: une maison pour famille d’enfant hospitalisé expulse la famille non vaccinée d’un enfant leucémique
Par Kennedy Hall — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : StockPhotoPro/Adobe Stock
12 janvier 2022, Vancouver, Colombie-Britannique (LifeSiteNews) — Le Manoir Ronald McDonald de Vancouver est sur le point d’expulser les familles qui ne fournissent pas de preuve de vaccination avec l’un des vaccins COVID expérimentaux et contaminés par l’avortement. Les maisons Ronald McDonald accueillent les familles dont les enfants hospitalisés ont moins de 21 ans.
Austin Furgason, père d’un enfant de 4 ans atteint de leucémie et traité depuis octobre, a partagé sur son compte Facebook une vidéo montrant une lettre de l’association Ronald McDonald House Charities British Columbia and Yukon annonçant l’expulsion liée au vaccin.
Dans son échange enregistré avec le directeur de la Maison, M. Furgason a précisé au personnel qu’il n’est pas anti-vaccins en règle générale, et a dit que son enfant avait reçu d’autres vaccins.
Le responsable lui a répondu que cette politique était mise en œuvre « pour réduire les risques pour l’ensemble de la maison », ce qui a immédiatement fait dire à M. Furgason que cela « n’a pas de sens » car on peut toujours propager le virus même si on est vacciné.
Le fait que les vaccins n’empêchent pas la propagation du COVID a été admis par la directrice des Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC), Rochelle Walensky. Elle a déclaré à CNN que ce que les vaccins « ne peuvent plus faire, c’est empêcher la transmission ».
Lire la suiteMalgré un cancer, une mère rejeta la chimio et sacrifia sa vie pour que son fils puisse vivre
Maria Cristina Cella Mocellin et son fils Riccardo.
Par Katie Yoder (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :
« Riccardo, tu es un cadeau pour nous ». Ce sont les mots qu’une mère italienne de 26 ans a écrits à son nouveau-né il y a 26 ans. Ce sont des mots pour lesquels elle était prête à vivre ─ et à mourir.
Le 30 août, le pape François a avancé la cause de sainteté de Maria Cristina Cella Mocellin, qui a sacrifié sa vie pour son bébé. Selon EWTN Pro-Life Weekly, les catholiques la comparent déjà à une autre sainte, Sainte Gianna Beretta Molla, car les deux femmes ont refusé un traitement médical qui aurait mis en danger leur bébé à naître. Après un examen approfondi, l’Église reconnaît désormais Maria Cristina comme « vénérable » pour avoir mené une vie héroïquement vertueuse.
Voici l’histoire de cette vie.
Maria Cristina est née en 1969 dans une ville appelée Cinisello Balsamo, située à Milan. Selon La Stampa, elle a grandi à côté des Sœurs de la Charité de Sainte Jeanne Antide Thouret, et a été catéchiste et animatrice jeunesse. Elle a fortement envisagé la vie religieuse alors qu’elle était encore une jeune adolescente.
« Seigneur, montre-moi le chemin : peu importe que tu me veuilles comme mère ou comme religieuse, ce qui compte vraiment, c’est que je fasse toujours ta volonté », écrivait-elle dans son journal spirituel en 1985.
Sa vocation est devenue claire lorsqu’à 16 ans, elle a rencontré Carlo Moccellin. Elle était appelée au mariage ─ un mariage avec lui. Elle n’a jamais dérogé à cette conviction, même lorsque les médecins ont découvert un sarcome dans sa jambe gauche, rapporte Vatican News.
« J’ai réalisé que tout est un cadeau, même une maladie, car si elle est vécue de la meilleure façon possible, elle peut vraiment aider à grandir », a-t-elle écrit à Carlo en 1988.
Soignée avec succès, elle a terminé ses études secondaires avant d’épouser Carlo en 1991. Ils ont rapidement accueilli deux enfants dans leur foyer, Francesco et Lucia. Ils en attendent un troisième, Riccardo, lorsqu’ils apprennent que son cancer est revenu.
Sa première pensée a été pour son petit garçon à naître.
« Ma réaction a été de dire encore et encore : “Je suis enceinte ! Je suis enceinte ! Mais docteur, je suis enceinte” », écrit-elle dans une lettre adressée en 1995 à son petit Riccardo. « Je me suis battue de toutes mes forces et je n’ai pas abandonné l’idée de te mettre au monde, à tel point que le médecin a tout compris et n’a plus rien dit. »
Maria Cristina a refusé les traitements de chimiothérapie qui auraient menacé la vie de son futur bébé. Au lieu de cela, elle a attendu la naissance de Riccardo, en 1994. Mais à ce moment-là, le cancer s’était déjà propagé à ses poumons et lui causait d’immenses souffrances.
« Je crois que Dieu ne permettrait pas la douleur s’il ne voulait pas obtenir un bien secret et mystérieux mais réel », écrit-elle. « Je crois qu’un jour je comprendrai le sens de ma souffrance et j’en remercierai Dieu. »
Le 22 octobre 1995, elle est décédée à l’âge de 26 ans.