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Un texte savoureux sur la Hongrie!

Le président hongrois, qui a promu au sein de son gouvernement la promulgation d'une constitution pro-vie, est présenté par nos médias nationaux comme un dictateur en puissance. Quels sont ses fautes réelles? Un article paru dans la Revue critique des idées et des livres nous en donne un bon aperçu:

"« En vertu d’un curieux credo nationaliste, M. Orban semble avoir décidé que son pays, pourtant gravement atteint par la crise, pouvait s’en sortir seul. Il refuse de se plier aux conditions posées par l’UE et le FMI pour accorder leur aide»… Ah ! il refuse de subir les diktats de ces messieurs de Francfort et de New York ? Ceux là même qui viennent de saigner à blanc la Grèce et qui s’apprêtent à mettre à plat l’Italie, l’Espagne et le Portugal ? C’est entendu !

Que M. Orban ait des méthodes passablement autoritaires, qu’il soit un peu chatouilleux sur les questions de drapeau, d’ordre et de religion, qu’il apprécie modérément le mot République, qu’il vient d’ailleurs de congédier de sa constitution, passe encore ! Mais qu’il se refuse de se prosterner devant M. Draghi et Mme Lagarde, de se faire mener par le bout du nez par le dernier des eurocrates, là on bascule dans l’aveuglement criminel ! Vous voulez d’autres preuves que M. Orban est un proto-fasciste ? il ne croit ni à l’indépendance des banques centrales, ni à la concurrence libre et non faussée, ni à l’intelligence de M. Van Rompuy, ni à l’honnêteté de M. Juncker !
 
Un pays qui élit massivement un gouvernement de redressement national pour le sortir d’une crise où l’Europe l’a plongé, qui approuve tout aussi massivement une nouvelle Constitution où les mots de patrie, d'honneur et d'histoire retrouvent un sens, qui a la bonne idée (au passage) de se débarrasser de la République et de toute la verroterie « démocratique » issue de l'époque stalinienne, qui défend ses droits, ses emplois, son économie face à la finance internationale et aux gnomes de Bruxelles. Qu'est-ce que c'est, selon Le Monde, Libération et notre belle presse bourgeoise ? Une quasi dictature !
 
Et des pays comme l'Italie ou la Grèce à qui l’on impose comme dirigeants, par simple cooptation, sans aucune élection, des employés de Goldman-Sachs, des voyous notoires, des banquiers véreux, qui ont pour certains prêté la main à la faillite de leur pays et qui n'ont été placé là que comme garde-chiourmes des marchés et des prédateurs. Qu'est-ce-que c'est, selon Le Monde, Libération et consorts ? Des pays libres et démocratiques!"

Comme le dit l'auteur de l'article, aujourd'hui, "Nous sommes tous des patriotes hongrois!"

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