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Un roman a tenté d'exprimer ce qu'aurait ressenti la chanteuse Dalida suite à l'avortement qui l'a rendue stérile

Sur le site de voyagelivresque.canalblog du 14 septembre 2013, un extrait du roman « C'était en mai, un samedi » de David Lelait-Helo, sur l'avortement de Dalida. :

(Sous le blindage, une souffrance qui la poussera au suicide)

(Photo : bluemacgirl sur flickr.com, licence creative commons)

 

« Il serait beau. Il serait gentil. Je lui aurais donné un prénom d’Italie, le l’aurais aimé plus que tout, et il m’aurait réconciliée avec moi-même. Je n’aurais rien fait de plus grand que lui, rien de plus fort. Que sont les chansons comparées à cet enfant d’Italie, que je n’ai pas laissé vivre ? J’ai diverti le monde entier, des millions de personnes. Une seule m’aurait suffi. Mon fils. Un seul m’aurait attachée à la vie. Un jour, il m’aurait portée en terre et couchée dessous les roses mais au lieu de ses bras, sous la terre je ramperai seule, sous plus de roses que je n’en aurai jamais désiré ; trop de roses, avec leur parfum écœurant, au bout de milliers de mains. Une seule rose m’aurait suffi, la sienne, à chaque anniversaire, à chaque Toussaint. Que ferais-je de tant et tant de roses ? Sophie, j’ai tout fait par millions, l’unité m’aurait suffi. Je me suis trompée. Je n’ai cessé de me tromper »

Ces propos romanesques rejoignent des milliers de témoignages de femmes qui ont avorté...

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