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Un problème des syndicats québécois : se mêler de ce qui ne les regarde pas...

L’une des raisons qui ont contribué à la culture de méfiance envers les syndicats québécois, c’est qu’ils utilisent l’argent des syndiqués pour promouvoir des causes qui n’ont jamais été votées en assemblée générale et qui ne concernent tout simplement pas les droits des travailleurs. La question de l’avortement en est un exemple probant.

On ne compte plus les déclarations de « cheufs » syndicaux se croyant omnipotents et s’arrogeant le droit de parler au nom des travailleurs pour s’opposer aux droits des enfants à naître. Tout dernièrement par exemple, on trouvait sur le site du syndicat des professionnelles et professionnels du gouvernement du Québec du 10 décembre 2012, une critique du gouvernement conservateur.

Parmi les nombreux éléments déplorés par le syndicat, on retrouve cette mention : « Le gouvernement Harper est à la défense d'intérêts bien précis qui vont à l'encontre de ceux de la vaste majorité de la population. (…) Il tente de bafouer sans répit le droit à l'avortement. »

Voilà un syndicat qui gaspille son temps et  l’argent de ses membres dans des causes injustifiables et non mandatées par ses membres…

De même sur le site du Syndicat de la Fonction publique et parapublique du Québec, on retrouve dans la section condition féminine du 10 décembre 2012, ce relais-publicité pour les 24 heures d’actions féministes mondiales. Voici un extrait de cette nouvelle publiée sur le site :

« Le 10 décembre 2012, le mouvement des femmes se mobilise pour démontrer sa résistance contre le militarisme, la criminalisation de la protestation et les attaques portées sur les droits des femmes. Lancée par la Marche mondiale des femmes, cette initiative internationale de 24 heures d’actions féministes vise également à renforcer la lutte pour le droit à l’avortement et celle pour de meilleurs services publics de santé. »

Encore un bel exemple d’abus de pouvoir d’un syndicat, relayant les revendications extrémistes de groupes marginaux, sans aucun mandat de ses membres et en dehors de ses compétences du milieu du travail.

Quand nos syndicats s’occuperont des droits des travailleurs et uniquement de ces droits, ils retrouveront le respect de la population, qui, en général, ont une très piètre opinion de ces grandes machines qui bouffent l’argent de leurs membres pour des causes absurdes… et perdent leur temps à s’occuper de tout et de rien, et trop peu des droits des travailleurs au Québec et dans le monde!

Un recentrage, une formation sur ce qu’est le syndicalisme leur ferait le plus grand bien!

 

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