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Un médecin avait dit à Maria von Trapp d’avorter, elle a refusé


Maria von Trapp et cinq de ses filles.

Par Right to Life UK — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo (modifiée) : Wikimedia Commons

L’héroïne [qui a inspiré le film] de La Mélodie du bonheur, Maria von Trapp, s’est vu dire par son médecin d’avorter parce qu’on pensait que son fils à naître était handicapé. Non seulement elle ne s’est pas fait avorter, mais son fils est né en bonne santé.

L’histoire de la famille von Trapp, de ses prouesses musicales et de la façon dont elle a échappé à l’Allemagne nazie est bien connue, mais on sait moins que Maria von Trapp a refusé d’avorter de son dixième enfant, Johannes, même si l’histoire a été publiée il y a plusieurs décennies.

Dans son livre, The Story of the Trapp Family Singers, Maria von Trapp raconte que, peu après que sa famille se soit installée aux États-Unis à la fin des années 1930, elle a appris qu’elle était enceinte de son dernier enfant. Elle s’est rendue chez un médecin en se plaignant de fortes douleurs au dos.

Elle écrit : « Votre femme ne peut pas avoir d’autre enfant », a dit le médecin à mon mari, « du moins, pas avant que ses reins ne soient redevenus normaux. Ils sont tous les deux gravement infectés… L’enfant doit être retiré immédiatement, bien sûr ».

« Les prédictions du docteur se sont révélées magnifiquement fausses »

Maria n’a pas été impressionnée par la recommandation du médecin de se faire avorter et lui a dit : « “Comment ça, bien sûr ? Ce n’est pas du tout évident. Au contraire, il n’en est absolument pas question — nous sommes catholiques, vous savez”. Maintenant, le docteur semblait sérieusement inquiet. L’enfant ne naîtra pas vivant, je peux vous le dire ».

Malgré l’insistance du médecin, Maria a courageusement refusé d’envisager de mettre fin à la vie de son fils à naître. Elle raconte le moment où le travail a commencé : « J’ai dû serrer très fort la main de mon mari, et le temps semblait s’arrêter. Puis j’ai entendu un drôle de petit couinement... À ce moment-là, une chorale complète a commencé en bas : “Maintenant, remercions tous notre Dieu ! Car c’est un garçon !”… Les prédictions du médecin se sont révélées parfaitement fausses, et Johannes promet d’être un beau garçon américain. »

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Son fils est né en bonne santé

Plus tard, lorsque Maria a appris la notion d’« enfant non désiré » du fournisseur d’avortements (Planned Parenthood), elle a pensé à la naissance de son fils.

« Je dois dire que Johannes n’avait pas été exactement prévu pour ce moment précis, et en ce qui concerne le fait d’être désiré, j’aurais volontiers dit de nombreuses fois : “Oh, n’auriez-vous pas la gentillesse d’attendre juste six mois ?” » écrit-elle.

Catherine Robinson, porte-parole de Right To Life UK, a déclaré : « Même si cette histoire remonte à plusieurs décennies, elle nous rappelle que la nécessité de protéger et de chérir la vie des mères et de leurs enfants à naître est toujours présente. Même dans une société où l’avortement était beaucoup plus limité qu’aujourd’hui, certaines personnes poussaient à mettre fin à la vie de bébés à naître parce qu’ils étaient considérés comme handicapés ».

« Malheureusement, la discrimination à l’encontre des bébés à naître handicapés dans l’utérus est tellement ancrée dans notre culture, que la loi en Angleterre et au Pays de Galles autorise l’avortement jusqu’à la naissance si l’on pense que l’enfant est handicapé. »



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