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Un court et excellent résumé présenté à un député sur l'euthanasie

 

(Sur la photo, Chantal Leblanc qui a milité pour le suicide assisté)

 

« Le fait de concéder à un État le pouvoir et le droit d’induire la mort de ses citoyens comporte des risques et des conséquences gigantesques pour l’ensemble de la société (1),  alors que le refus de traitement, pour sa part accomplit la même chose que l’euthanasie et le suicide assisté, mais sans tous ces risques et conséquences, naturellement, comme l’ont montré Mmes Gloria Taylor et Chantal Leblanc, soit deux Canadiennes qui ont demandé le suicide assisté devant les tribunaux, mais qui, chemin faisant, ont exercé leur droit de refus de traitement, et qui sont toutes deux décédées, aux dires de leurs avocats, « paisiblement et confortablement », sans jamais avoir eu le besoin de recourir à « l’aide médicale à mourir ». Investissons dans l’accès aux soins palliatifs et dans la formation en soins palliatifs, et tous en sortirons gagnants. »

(1)    Risques et conséquences de l’euthanasie et du suicide assisté :

-affaissement et dégradation des relations humaines (couples, familles, relations de travail, etc.) : Si la société accepte, comme politique publique, de traiter les gens comme des choses, dont on peut disposer lorsqu’elles ne sont plus utiles ou productives, alors elle ne peut s’attendre à ce que les gens se traitent entre eux comme des personnes ;

-consentement manipulé (validé par le rapport de la Commission spéciale sur la question de mourir dans la dignité en page 38, 54 et 57);

-consentement présumé (articles 57 et 58, projet de loi 52);

-consentement imposé (article 54, projet de loi 52) ;

-consentement substitué (articles 47, 48, 55, 56, projet de loi 52) ;

-intolérance croissante envers les personnes faibles, malades, handicapées mentalement et/ou physiquement, âgées parce la dignité dépendrait dorénavant du degré d’autonomie d’une personne (tel que préconisé et annoncé par la CSQMD en page 64 de son rapport);

-déshumanisation des soignants ;

-objectivation des patients ;

-délaissement des soins palliatifs (tel qu’annoncé par la CSQMD dans son rapport en page 12 et 50)

-affaiblissement croissante de la capacité d’endurer quelque souffrance que ce soit, avec élargissement soutenu des catégories de gens et de situations sujettes à euthanasie (déjà les catégories se sont multipliées de façon exponentielle depuis les sondages de 2009 et le projet de loi 52, en 2013).
 
N’hésitez pas à reproduire et à diffuser le présent texte !
 
Isabelle et Ward O’Connor
Albatros Mont-Laurier (MRC Antoine-Labelle)

 

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