Chers amis de la Vie,
Par Gideon Spevak (The Interim) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pete Baklinski/LifeSiteNews
En 2023, le gouvernement canadien a accordé plus de 300 subventions ou contributions à des groupes pro-LGBT, pour un total de plus de 665 millions de dollars, selon un billet de blogue du 12 juin.
Run With Life est le blogue pro-vie et pro-famille de Patricia Maloney. Dans un billet publié le 12 juin, Patricia Maloney affirme que plus de 665 millions de dollars de fonds publics ont été consacrés à l’idéologie LGBT en 2023, dépassant de plus de 600 % le total de 108 millions de dollars en 2022, selon la base de données des subventions et contributions du gouvernement du Canada, qui répertorie toutes les subventions et contributions accordées à des organisations tierces et inclut les subventions accordées aux gouvernements provinciaux.
Ces fonds ont été distribués afin de promouvoir l’éducation LGBT, de faire progresser « l’égalité des LGBT » et de promouvoir les pratiques de « santé reproductive », y compris l’avortement et la contraception.
Plus de 90 % de ces subventions ont été accordées par Femmes et égalité des sexes Canada, par l’intermédiaire duquel Justin Trudeau a lancé le « premier plan d’action fédéral 2SLGBTQI+ » pour « continuer à construire un avenir plus inclusif, avec fierté », aux côtés de la ministre du Cabinet Marci Ien, en 2022.
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Sur les quelque 300 subventions accordées, 80 % se situent entre 100 000 et 1 000 000 de dollars, et environ 8 % ont une valeur supérieure à 1 000 000 de dollars. Femmes et égalité des sexes Canada continue d’accorder des subventions et des contributions à des organisations favorables à l’idéologie du genre, à hauteur de millions de dollars des contribuables en 2024.
Le gouvernement fédéral dirigé par le premier ministre Justin Trudeau s’est toujours engagé à faire progresser l’idéologie LGBT au Canada et dans le monde. Cette idéologie dangereuse, qui s’en prend à la structure familiale nucléaire traditionnelle, est introduite par une méthode de fabrication du consentement au sein du peuple canadien, par le biais de notre consommation quotidienne des médias, de notre participation à tous les niveaux du système éducatif, tout en stigmatisant socialement ceux qui refusent de suivre la programmation régulière et de reconnaître la destruction des valeurs traditionnelles dans notre pays.
Grâce à ces programmes de subventions, le gouvernement Trudeau finance des organisations de gauche radicale qui peuvent donc réaliser l’agenda LGBT sous couvert d’« indépendance » vis-à-vis du gouvernement, bien qu’en réalité elles reçoivent souvent des centaines de milliers de dollars de financement, créant ainsi une incitation financière — pour les organisations privées et les gouvernements provinciaux — à promouvoir l’agenda LGBT radical.
De nombreux groupes de pression qui cherchent à obtenir des fonds du gouvernement fédéral pour promouvoir leurs programmes de gauche ont des intentions particulièrement douteuses. L’un de ces groupes est le Canadian Anti-Hate Network (CAHN), qui a reçu plus de 900 000 dollars du gouvernement fédéral depuis 2020. Avec ces fonds, ils ont collaboré avec des anarchistes américains et des militants Antifa, attaqué les ennemis politiques du gouvernement (depuis Pierre Poilievre jusqu’à des groupes comme la Coalition nationale pour la vie, LifeSiteNews et Action4Canada, avec des calomnies de nationalisme blanc, d’homophobie et d’incitation à la haine), et créé un programme d’études marxistes « antiracistes » qui a été rejeté par le gouvernement de la Saskatchewan pour son incapacité à être « de haute qualité » et « exempt de préjugés. » Ils ont également utilisé des fonds publics pour promouvoir la pratique du « doxing » de l’« extrême droite » — qui consiste à publier en ligne des informations personnelles obtenues illégalement — dans leur guide « 40 Ways to Fight the Far-Right » (40 façons de combattre l’extrême droite).
Malgré l’objectif clair qui sous-tend ce type de subventions, certaines semblent avoir été accordées en fonction du nombre de mots à la mode utilisés dans la demande. Une subvention de 194 000 dollars a été accordée au « Projet d’autonomisation des travailleurs du sexe africains, caribéens et noirs LGBTQ2S+ », bien que l’achat d’actes sexuels soit illégal au Canada. La raison supposée de la demande était de « sensibiliser à l’histoire et aux institutions canadiennes, aux valeurs canadiennes et à la diversité culturelle ».
Certains de ces fonds ne restent même pas au Canada, mais promeuvent l’agenda LGBT dans le monde entier, avec un accent particulier sur l’Afrique dans les communautés qui mènent des styles de vie traditionnels. En 2024, le gouvernement Trudeau a annoncé un financement de 1,7 million de dollars pour des groupes pro-LGBT à l’étranger. Le Canada agit également par le biais de son lobbying aux Nations unies. Avec l’aide d’autres nations occidentales, il tente de coloniser idéologiquement les régions du monde qui ne s’alignent pas sur son idéologie de gauche radicale. Dans l’« Agenda 2030 » de l’ONU, l’organisation internationale exige que tous les États membres s’engagent à financer la contraception au lieu d’encourager la chasteté et l’abstinence, appellent à la fin des lois anti-sodomie et incluent les « soins d’affirmation de genre » et les chirurgies de mutilation des transgenres comme des services de santé essentiels.
Les gouvernements, ainsi que les organisations non gouvernementales, intergouvernementales et privées qui promeuvent un programme radical en faveur de la sodomie n’agissent pas dans l’intérêt supérieur des citoyens du monde, ni des sociétés qui en dépendent. Les sociétés fortes de l’Ancien Monde se sont souvent effondrées lorsque les pratiques sodomites sont devenues omniprésentes et « normales », et nous pouvons observer des phénomènes similaires dans notre monde d’aujourd’hui. Le terme « sodomie » est lui-même dérivé de la ville de Sodome de l’Ancien Testament, qui a subi la colère de Dieu en raison de sa méchanceté, car les actes qu’elle commettait étaient, et sont toujours, une abomination.
De nombreux Canadiens commencent à en avoir assez de la division fabriquée par le gouvernement Trudeau et presque toutes les grandes institutions sur la question des LGBT, ainsi que du barrage apparemment constant de propagande gay, en particulier celle qui vise les jeunes enfants incapables de consentir. Ils constatent que la morale chrétienne sur laquelle notre pays a été fondé est mise au rancart au profit de pervers qui souhaitent enseigner des contenus sexuels explicites aux enfants canadiens. Sans oublier que tout cela est financé par les contribuables canadiens qui travaillent dur. Les Canadiens s’étaient vu promettre mieux que cela lors de la Confédération.
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