M'INSCRIRE
DONNER

Joignez-vous au mouvement

CQV défend la personne humaine, de la conception à la mort naturelle.

ou

×

Refusons de payer pour l’avortement par nos impôts !

En ce début d'année 2012, je voulais lancer une grande campagne d'arrêt de financement public de l'avortement au Québec.

Selon moi, trois possibilités s'offraient à nous.

1) Une campagne de pétitions. L'Assemblée nationale accepte les pétitions. Il faut trouver un député qui accepterait la nôtre au nom de l'Assemblée nationale (le député n'a pas à être d'accord, mais doit seulement accepter de servir d'intermédiaire). Nous parcourrions le Québec tout au long de l'année pour faire la cueillette de signatures et nous présenterions nos signatures à l'assemblée. Un comité étudierait la pétition, et puis après ... selon moi, le tout serait probablement jeté à la poubelle, sans grand résultat (ainsi, au début des années 1970, une pétition contre l'avortement de 1 000 000 de noms a été déposée en grande pompe à Ottawa –les pétitions ayant été livrées par 10 voitures, une voiture par province— et le résultat net fut... à peu près zéro !).

Avantage: complètement légal. Désavantage: pas grand effet à court ou à moyen terme et, pour cette raison, ce n'est pas très inspirant comme démarche. Les gens, je pense, n'y porteraient pas grand intérêt… 

2) Une campagne de désobéissance civile : Chaque contribuable québécois débourse en moyenne 10$ par année pour l'avortement « libre et gratuit ». Par nos impôts, nous participons matériellement aux meurtres de 30 000 êtres humains innocents par année. Les premiers chrétiens préféraient la mort plutôt que de se permettre de brûler ne serait-ce qu'une miette d'encens aux dieux de la cité. Aujourd'hui, l'État nous fait participer par nos impôts à l'immolation de bébés. Avons-nous raison d'accepter sans protester ? Nous pourrions donc nous engager dans une campagne de désobéissance civile, où nous refuserions de payer ce 10$. Sur notre relevé d'impôts, nous soustrairions 10$ du montant dû et nous enverrions une lettre explicative. Nous tenterions de trouver un bon nombre de gens (disons 100 000) pour faire de même. La province ne pourrait pas poursuivre 100 000 personnes pour la même petite faute ! 

Avantage : Initiative inédite, les gens suivraient avec beaucoup d'intérêt cette activité cohérente avec nos convictions. Désavantage : activité illégale, les organisateurs seraient arrêtés, probablement assez rapidement (car il faudrait annoncer cette campagne haut et fort pour pouvoir recruter un nombre suffisant de participants), et peu signeraient s'il y avait un risque de conséquences graves (sans parler de tous ceux qui reçoivent un retour d'impôts et qui ne pourraient par conséquent participer à cette campagne).

3) Une campagne d'objection de conscience : Nous payerions 100% de nos impôts mais avec le formulaire d'impôts 

nous enverrions une lettre réclamant au gouvernement du Québec de nous rembourser le 10$ (en moyenne) servant au financement de

 l'avortement. Donc CQV ferait le tour du Québec (et de l'Internet québécois) pour demander à ceux qui partagent nos convictions d'envoyer une lettre au ministre des finances exigeant le remboursement de leur 10$.

Avantage: 100% légal, et par cette demande en bonne et due forme de remboursement, nous ne participerions plus sans protester au financement de l'avortement par nos impôts.

J'ai finalement décidé ce qui suit : pour la saison d'impôts en cours, je lance une campagne d'objection de conscience à moins grande échelle que ce que nous pourrions faire plus tard. Ici, vous trouverez une lettre que vous pouvez envoyer avec votre formulaire d'impôts ou directement au ministre responsable. Vous n'avez qu'à indiquer le montant que vous voulez qu'on vous rembourse (le montant moyen est de 10$), à la signer et à l'expédier avec vos impôts. Si vous faites vos impôts par Internet, vous pouvez envoyer votre lettre à un des bureaux du Ministre Bachand.

Nous avons un devoir de résistance ! Je vous encourage fortement à faire ce geste qui, bien que symbolique, peut, à la longue, porter fruit.

Pour la Vie !

Georges Buscemi, président


Oui, je veux défendre l'enfant à naître ! Voici mon don pour permettre à Campagne Québec-Vie de continuer de communiquer au Québécois un véritable espoir, le seul qui redressera le Québec.

Publicité
Cliquez « J'aime » si vous êtes pro-vie !

Abonnez-vous à notre chaîne Youtube !



Laissez un commentaire