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Pourquoi il faut faire flotter le drapeau russe au-dessus du parlement!

La coprésidente de Québec Solidaire, Françoise David, a finalement eu une bonne idée. Elle s’est seulement trompée de drapeau. Ce n’est pas le drapeau de la « fierté gay » que l'on doit mettre au-dessus du parlement, mais bel et bien le drapeau russe.

En effet, la Russie est actuellement l’un des seuls pays développés voulant protéger les enfants d’un mode de vie homosexuel qui n’est sain pour personne et de la propagande pour ce mode de vie. Parce que propagande il y a. Une chose est de constater un attrait pour les personnes de même sexe chez un adolescent, c’en est une autre d’affirmer que cet adolescent doit développer une activité homosexuelle pour s’épanouir… Un neuropsychiatre français explique :

L’identité ne se résume jamais à un comportement, à une orientation. On ne peut réduire une personne à ses traits de caractère, à ses actes ou à ses tendances. Le respect que nous devons aux personnes homosexuelles, et il est impératif, ne signifie pas une adhésion au discours social qui tente actuellement, et de façon très insistante, de banaliser l’homosexualité et d’en faire un modèle d’union au même titre que l’hétérosexualité (MASQUIN, Louis, Identité, sexualité, des repères pour aujourd’hui, Éd. Des Béatitudes, Paris, 2012, p.62)

Plus encore qu’un refus de la propagande, il faut dire la vérité sur l’homosexualité elle-même. Le philosophe Xavier Lacroix écrivait :

Il ne relève pas moins de la stricte honnêteté et du respect de la vérité d’affirmer une non-équivalence, une dissymétrie entre hétérosexualité et homosexualité. D’oser dire que les conduites mettant érotiquement en jeu l’homosexualité sont anormatives et objectivement déficientes. Cette déficience peut se traduire en différents termes : arrêt du développement, orientation narcissique plus marquée, trouble plus grand des gestes, plus grande compulsivité… Le déni de cela, surtout dans un contexte éducatif, en relation avec des jeunes, qui se trouvent bien souvent en période de doute et d’incertitude à cet égard, me paraît être un manque grave à la responsabilité éducative. (LACROIX, Xavier, Le corps de l’esprit, Foi vivante, 1999, p.85)

“Cela dit, il importe de souligner que les personnes homosexuelles sont appelées aux mêmes valeurs éthiques que les autres, dans la situation où elles se trouvent.” (LACROIX, Xavier, in LESEGRÉTAIN, Les chrétiens et l’homosexualité. L’enquête, Presses de la Renaissance, Paris, 2004, op cit., p.266)

Cela, c’est le discours que n’entendront jamais les jeunes, ni à l’école, ni à la télévision. Au contraire, la personne dans le doute est appelée à s’assumer, à faire son “coming out”, le plus tôt étant le mieux.

Le neuropsychiatre Louis Masquin s’interroge :

On peut se demander si certaines personnes, dont l’identité sexuelle est fragile, n’auraient pas évolué vers l’hétérosexualité en l’absence d’une image de l’homosexualité banalisée de nos jours, voire encouragée au nom de la liberté (MASQUIN, Louis, Identité, sexualité, des repères pour aujourd’hui, Éd. Des Béatitudes, Paris, 2012, p.63)

Cela est d’autant plus vrai pour les jeunes :

Lors de l’adolescence, la fragilité déjà signalée et les complexes de l’enfance se réactivent avec l’angoisse de la relation, la peur de l’inconnu, de la nouveauté, de la découverte de l’autre sexe. Les comportements homophiles sont d’une grande banalité et ne témoignent en rien d’une orientation sexuelle définitive de cet ordre.

Il y a aujourd’hui une confusion nette entre identité et orientation sexuelle. Sous la pression des lobbys homosexuels et des médias, certains adolescents sont poussés puis inscrits dans l’orientation homosexuelle alors que ce moment n’est le plus souvent qu’une étape avant de rencontrer vraiment l’autre sexe. Car il faut avoir une certaine maturité personnelle pour aller vers l’autre sexe et entrer dans une relation amoureuse, une relation de couple. L’identité sexuelle adulte se fait progressivement, elle n’est pas donnée d’emblée. (ibid. p.80)

Ce discours sera taxé d’homophobe par les partisans du lobby homosexuel pour lequel il est impossible de réfléchir et de critiquer l’activité homosexuelle ou l’homosexualité en elle-même. Et cette homophobie serait la source de tous les maux qui affligent les personnes homosexuelles, obligées de vivre entourées de ces préjugés homophobes qui les renvoient à la clandestinité. Là encore il y a de forts bémols à apporter, que l’on n’entend jamais au Québec :

La plus grande proportion de dépressions ou de troubles de la personnalité chez les personnes homosexuelles témoigne de cette plus grande fragilité psychologique, qui augmente le risque suicidaire : le taux de suicide chez les jeunes homosexuels est en effet de quatre à six fois supérieur à celui des hétérosexuels.

L’explication donnée, en particulier par les milieux gay, est que l’intolérance de la société et des familles à leur égard constitue la base de ces difficultés, ce qui sous-tend le plaidoyer pour l’acceptation et l’égalité des droits. Ce raisonnement est trop orienté et incomplet. Car en dehors des difficultés de l’acceptation sociale, l’orientation homosexuelle peut être difficile à assumer par la personne elle-même et cette fréquente souffrance de la non-acceptation de soi-même n’est que trop rarement évoquée.

Il faut pourtant souligner la souffrance psychique des homosexuels qui viennent consulter. Un mal-être sévère, une angoisse profonde, un manque cruel d’espérance et une dépression sont souvent au premier plan, ce qui explique que, dans ces démarches, le problème de l’homosexualité n’est pas toujours le problème numéro un, tant s’en faut, tout au moins dans l’immédiat. (ibid., p.68-69)

Mais pour le problème de l’homosexualité en tant que tel, le neuropsychiatre a des propos pleins d’espérance :

Il est faux de dire qu’il n’existe aucune possibilité de changement et d’évolution, mais encore faut-il trouver une motivation forte, une évaluation précise de ce qu’a vécu la personne et de ce qu’elle vit aujourd'hui. (ibid., p.84)

L’auteur aborde dans les pages qui suivent toute la question de la psychothérapie, complètement censurée au Québec par les fanatiques d’une idéologie gay.

Vraiment, il faut le constater, la prise de position russe refusant toute propagande gay auprès des jeunes est une mesure des plus respectueuses de leur développement psychique, et sexuel.

Cette mesure réellement progressiste est un modèle pour l’Occident, toujours empêtrée dans des stéréotypes sexuels typés d’une époque, d’une mode LGBT appelée à disparaître comme toutes les idéologies déconnectées de la réalité humaine.

Hissons le drapeau russe au Parlement!

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