(Photo : westher sur flickr.com, licence creative commons)
Sur le site de Ouest-France du 23 juin 2014, une lettre à lire en entier :
J'ai côtoyé l'extrême fragilité, la différence insoutenable du polyhandicapé, du traumatisé crânien, la laideur de celui qui ne sait plus se contenir [...], gémit et hurle sans contrôle. Auraient-ils tous perdu leur dignité ?
En présence de ces extrêmes, j'ai appris à devenir [...] simple récepteur de l'autre dans son infinie altérité. (...)
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