Nosseigneurs évêques du Québec, nous vous adressons cette pétition, vous demandant de permettre à nouveau les messes publiques et l’accès aux sacrements, tout spécialement pour la Semaine Sainte, sommet de l’année liturgique :
― Considérant que ce qui est à craindre du coronavirus n’est pas seulement le virus lui-même, mais l’hystérie et la dictature sanitaire qui s’installent autour, hystérie largement entretenue par les médias et les mesures gouvernementales, qui fait oublier le culte public dû à Dieu ;
― Considérant que certains évêques, et même la conférence des évêques catholiques de Pologne, ont maintenu les messes dans leur diocèse et qu’ils ont même demandé leur multiplication, afin de permettre aux fidèles d’être moins nombreux à la même messe;
― Considérant que l’homme ne se nourrit pas uniquement de pain, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu (Matthieu 4 : 4) et que les précautions établies dans les supermarchés peuvent très bien s’appliquer dans les églises ;
― Considérant que les centres d’avortement — ces centres de mort — restent ouverts pour n’importe quel avortement, tandis que les centres de vie éternelle — nos églises — doivent être fermés et ses ministres confinés.
― Considérant qu’à Taïwan le nombre de morts dû au coronavirus est extrêmement bas, et que le confinement général n’y est pas pratiqué.
― Considérant que le taux de survie au coronavirus se situerait autour de 99,4 %, selon les statistiques de la Corée du Sud qui a mené des tests à grande échelle dans sa population : 6048 ayant survécu pour 6088 cas confirmés.
Nous demandons à l’Assemblée des évêques du Québec et à chaque évêque en particulier de nous donner accès à la messe et aux sacrements qui nous manquent cruellement. Nous comprenons que l’approbation du gouvernement du Québec est préférable pour le bon déroulement des choses, aussi nous vous prions de demander au gouvernement de classer la messe et les sacrements en tant qu’« essentiels », ou du moins de ne pas y faire obstruction, et de nous permettre l’usage de nos lieux de culte.