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Nouvelles accusations sans fondement à l'ONU contre l'Église catholique

Sur le site de la Tribune de Genève du 6 mai 2014 :

(Photo : Gabriel Andrés Trujillo Escobedo sur wikimédia.org, licence creative commons)

 

 

Lundi, les représentants de l’Eglise catholique ont fait face à un nouvel assaut de critiques et de condamnations, cette fois devant le Comité des Nations Unies contre la torture. Les experts onusiens ont pointé du doigt le manque de réaction et l’absence de mesures pour traiter des cas d’enfants abusés sexuellement par des prêtres. (...)

Le nonce apostolique auprès de l’ONU, Mgr Silvano Tomasi, a expliqué que les actes commis par des prêtres en dehors du territoire du Vatican ne relevaient pas de la Convention contre la torture ratifiée par le Saint-Siège mais des Etats et des juridictions où les faits ont été commis. 

Les médias se font un grand plaisir de relater complaisamment les manipulations de lobbys cherchant à faire condamner l'Église pour son « inaction » contre la pédophilie. De la pure poudre aux yeux qui ne tient pas compte des mesures rigoureuses prises par le Vatican depuis 2001. Pour voir une liste de mesures, vous pouvez consulter le site Vatican Information Service sur le sujet

Un article sur le site infocatho.be du 6 mai 2014 analyse la grossièreté des procédés des lobbys :

En tant que signataire de la Convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants, le Saint-Siège était donc auditionné, ces 5 et 6 mai, par un Comité de dix experts indépendants chargé de vérifier l’application de cette Convention. Il ne s’agissait donc pas d’une enquête spécifique visant le Vatican, mais d’une procédure normale qui concerne aussi d’autres pays. A côté du Saint-Siège, figurait d’ailleurs aussi Chypre, la Lituanie, l’Uruguay ou encore la Thaïlande.

Pourquoi un contexte si tendu ?
Il y a quelques mois, le Saint-Siège avait été auditionné par un autre comité : celui pour les droits de l’Enfant. Mais deux évènement étaient venus perturber le processus normal de l’audition. D’abord, la Représentation Permanente du Saint-Siège avait clairement bâclé le travail préparatoire, négligeant de fournir un dossier solide sur toutes les initiatives prises par l’Eglise contre la pédophilie. D’autre part, le Comité avait été manipulé par des lobbys luttant contre les religions ainsi que la par le puissant lobby de l’avortement. Connaissant bien les astuces de procédures au niveau onusien, ces lobbys avaient manœuvré pour tronquer le rapport du Comité. Résultat : le rapport sur la pédophilie demandait à l’Eglise d’accepter… le mariage des prêtres, l'ordination de femmes-prêtresses et l’avortement !

L'histoire se répète et c'est ainsi, qu'indépendamment du fait que le Vatican est l'État qui a le plus fait dans le monde pour combattre la pédophilie, il est attaqué de façon diffamatoire pour encore une fois tenter de salir sa réputation, grâce à la complaisance des médias, de façon planétaire.

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