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Mere Teresa et Chiara Lubich ont parlé ouvertement de la défense de l'enfant à naître

Sur le site de l'agence de Presse Zenit du 15 décembre, on trouve cette lettre du cardinal Antonelli décrivant l'action de chacune pour le droit à la vie. Chacune à sa façon a parlé, refusé le silence et l'inaction. En voici un extrait :

"Écoutons Mère Teresa dans un discours tenu à Milan le 23 avril 1977. “Ceux qui ne sont pas voulus, ceux qui ne sont pas considérés, ceux qui sont méprisés, ceux qui ne comptent pas, sont les plus pauvres d’entre les pauvres.” Nous sentons vibrer dans ces paroles le coeur de la missionnaire de la charité, qui prend sur elle le poids de la souffrance humaine. Pour elle, être pauvre ne signifie pas seulement la privation de biens matériels, mais aussi, et plus radicalement, être refusé et marginalisé par la société humaine. Pauvres sont les misérables qu’elle et ses soeurs recueillent “dans les rues de Calcutta, de Rome et de n’importe quel autre endroit”; mais aussi les enfants victimes de l’avortement. “S’il n’est pas voulu, dit-elle, l’enfant à naître est la créature la plus abandonnée et il doit mourir parce que les gens, vous et moi, nous avons peur de nourrir, d’éduquer, de vêtir, une créature de plus”. Dans un autre sens, mais à ses yeux plus tragique encore, sont pauvres ceux qui ne respectent pas, ne défendent pas la vie, que ce soient des personnes ou des peuples. “Ces Nations, affirme Mère Teresa, sont les plus pauvres parmi les pauvres, parce qu’elles n’ont pas le courage de s’occuper d’une vie de plus”. Il me vient en mémoire ce reproche célèbre et sincère de saint Basile à l’homme avare: “Tu es vraiment pauvre, et même dépourvu de tout vrai bien. Tu es pauvre d’amour, pauvre en humanité, pauvre de foi en Dieu, pauvre d’espérance dans les réalités éternelles” (De l’avarice, 6). Mère Teresa cherche à secouer les consciences et l’opinion publique par son cri passionné: “Si vous avez peur de l’enfant qui va naître, donnez-le moi, j’en prendrai soin; et Dieu prendra soin de lui” (Florence, 13 mai 1981)."
 

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