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Martine Desjardins décrit les enfants à naître comme des bombes à retardement...

Un texte inacceptable dans le Journal de Montréal du 8 octobre 2013, produit d'une idéologie féministe inhumaine, décrit les enfants à naître comme des bombes à retardement. L'auteur, Martine Desjardins, ancienne porte-parole du mouvement étudiant Feuq (à droite sur la photo), ignore complètement les ravages de l'avortement sur des personnes qui ont déjà subi le traumatisme du viol.

Vendredi, le gouvernement du Canada, par la bouche de son ministre du Développement international, Christian Paradis, a annoncé que l’aide du Canada ne servira pas à financer des avortements en temps de guerre, même si ces grossesses sont les résultats de viols ou encore de mariages forcés d’enfants.
 
Cette nouvelle, présentée très tard en fin de journée, n’a pas fait de vagues et, pourtant, elle est importante. Elle s’inscrit dans une démarche du gouvernement fédéral qui nie les droits des femmes à l’international.

(...) 
NOUVELLE ARME
 
Les mariages précoces et le viol sont devenus en temps de guerre une nouvelle arme. D’une part, à des fins politiques: par exemple, dans le cas de la Yougoslavie (1992-1995), plusieurs analystes ont parlé de purification ethnique. D’autre part, pour montrer aux forces en place leur impuissance à protéger leurs plus faibles. Les femmes et les fillettes sont utilisées comme des armes pour atteindre les troupes alliées. Ces femmes et ces enfants, victimes de violence et de sévices sexuels, se retrouvent parfois avec une bombe à retardement: un enfant à naître.
 
Une grossesse qui leur montre les sévices qu’elles ont subis. Un enfant qui leur rappellera tous les jours cette cicatrice. Le gouvernement fédéral ne peut pas imposer à ces femmes l’obligation de rendre à terme un enfant non désiré issu d’un viol. Non seulement nous leur faisons subir à long terme leur cauchemar, mais pour celles qui choisissent de mettre malgré tout un terme à leur grossesse, nous les obligeons à avoir recours à des services douteux et parfois cruels.
 (...)

Mme Desjardins, n'a jamais entendu parler de ces femmes qui furent guéries du traumatisme du viol par cette grossesse même. Pour lire un témoignage parmi d'autres, cliquez ici.

Mme Desjardins, n'a jamais entendu parler de ces femmes qui ont souffert d'avoir ajouté au traumatisme du viol, celui de l'avortement. Pour lire un témoignage, cliquez ici. La conclusion de ce témoignage est la suivante :

Toute personne incitant à l’avortement ne pense pas à l’avenir d’une femme violée. Avec le recul, je constate que l’avortement n’a pas été un bon choix: en plus du viol, je me suis chargée de la responsabilité de l’avortement de mon propre enfant. Une femme violée devrait pouvoir bénéficier d’un soutien psychologique et matériel pour mieux accepter l’enfant innocent qu’elle porte contre son gré. A long terme, il est certainement plus facile d’accepter un enfant issu d’une telle tragédie que de vivre avec un avortement sur sa conscience. Inciter une femme violée à avorter est une alternative qui ne fera qu’amplifier sa souffrance.

Ensuite Mme Desjardins s'arroge le droit de décider qu'un enfant à naître doit mourir parce que les conditions de sa conception ne sont pas acceptables. Voici une personne née d'un viol qui lui répond... Cliquez ici pour voir cette réponse.

Enfin, Mme Desjardins voudra certainement de nouveau retomber dans le pathos de l'histoire d'une petite fille tombée enceinte à la suite d'un viol, comme si cela pouvait avoir un lien avec la décision de la faire avorter. Mais les enfants, lorsqu'ils ne sont pas dirigés par l'entourage vers des « solutions » qui «sauvent» surtout l'entourage de trouver une famille pour un nouvel enfant, sont capables d'avoir des décisions pleinement humaines et aimantes. Voici un témoignage d'une fillette de 11 ans, violée par son beau-père, qui a voulu donner naissance à son enfant, malgré ce qu'Amnistie Internationale et tous les groupes féministes de la planète voulaient pour elle... Cliquez ici pour voir ce témoignage.

Mme Desjardins débute dans le métier de journaliste. Malheureusement, elle débute en suivant les traces de son collègue Richard Martineau, traitant trop souvent de sujet qu'il ne maîtrise pas. Nous ne pouvons que recommander à Mme Desjardins de s'attarder à des sujets qu'elle connaît déjà, ou alors de prendre le temps de faire des recherches approfondies...

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