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Magnifique lettre d'une maman à son fils placé en adoption

Sur le site du Journal de Montréal du 3 septembre 2014, un article à lire et une lettre à lire en entier :

 

 

Après avoir donné son bébé en adoption il y a de nombreuses années, une femme de la Rive Sud de Montréal a décidé d’expliquer son geste déchirant dans une lettre devenue virale sur le web.

Il y a 10 ans, Stéphanie Tsujio prenait la décision la plus difficile de sa vie: remettre son garçon entre les mains d’une autre femme afin que ce dernier puisse jouir d’une qualité de vie supérieure.

Durant toutes ces années, elle a gardé le secret. Seules quelques personnes très proches connaissaient les détails de cette histoire.

Aujourd’hui, elle a décidé de s’ouvrir et de s’adresser directement à son enfant dans le très touchant texte «Lettre à mon garçon» qu’elle a publié sur son blogue. (...)

EXTRAITS DE LA LETTRE :

«C’est important pour moi que tu saches que je ne t’ai pas abandonné, que je ne t’ai pas rejeté non plus. Je t’ai aimé et je t’aimerai toujours. (…) J’avais 18 ans, j’étais en appart, aux études, avec un emploi à temps partiel dans une boutique de vêtements.»

«Mon plus grand souhait était de t’offrir le meilleur pour toi, que tu ne manques de rien et que tu puisses jouir d’une vie saine à la hauteur de celle que ma mère m’a offerte.»

«Durant nos neuf mois ensemble, j’ai tout fait: je t’ai cajolé, j’ai chanté pour toi, je t’ai parlé, je t’aimais déjà inconditionnellement, même avec tes coups de pied dans mes côtes durant mes examens d’école. À ta naissance, durant les quatre jours qui ont suivi, on passait notre temps à se regarder, à s’observer, à s’aimer. Le temps était le nôtre, le futur était à toi.»

«Elle avait l’air d’une maman. Le plus dur, et je vais m’en souvenir pour le restant de mes jours, a été d’entendre la porte se fermer lorsque tu es parti dans les bras de tes nouveaux parents. Je m’étais retournée pour ne pas te voir partir, j’étais redevenue une enfant dans les bras de ma mère, j’ai pleuré toutes les larmes de mon corps… C’était si difficile.»

«Mon plus grand souhait est de te rencontrer un jour, de t’écouter parler de tout et de rien, d’apprendre à te connaître et de te parler des neuf mois de vie commune qu’on a eus ou, du moins, de simplement de savoir que tu vas bien.»

Donner son enfant en adoption quand on ne peut s'en occuper est un geste d'amour. 

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