Des centaines de religieuses catholiques marchent dans les rues du Sri Lanka pour aider les femmes vulnérables à choisir la vie
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : designisback/Pixabay
Mardi 11 mars 2025 (LifeSiteNews) — Des centaines de religieuses catholiques ont défilé dans les rues du Sri Lanka pour collecter des fonds afin de permettre aux femmes dans le besoin de choisir la vie.
Le 5 mars, mercredi des Cendres, des sœurs de la congrégation du Bon Pasteur ont marché dans les rues du Sri Lanka pour demander au gouvernement de protéger les mères célibataires et les victimes de viol, et pour collecter des fonds afin d’aider les femmes à choisir la vie pour leurs bébés à naître.
« Nous organisons cette campagne locale de collecte de fonds dans les 12 diocèses, avec le soutien de religieuses et de quelques laïcs, pour prendre soin des enfants orphelins et des mères célibataires, dans le but d’améliorer la vie des femmes et des jeunes filles qui courent un danger mortel », déclare Sœur Rosary Perera UCA News, responsable du couvent Ave Maria, près de l’église Saint-Pierre de Negombo.
Les sœurs, qui dirigent une école de filles au couvent Ave Maria, offrent de l’aide aux mères célibataires et aux victimes de viol, tout en appelant le gouvernement local à protéger les droits des femmes et des enfants vulnérables.
Lire la suiteDes mères courageuses qui ont gardé leur bébé
Texte d’une conférence de Nathalie Allard — Photo : fxquadro/Freepik
Conférence : L’avortement – Une question de vie et de convictions
Introduction
Bonsoir à tous,
Aujourd’hui, nous allons parler d’un sujet qui suscite de nombreux débats : l’avortement. C’est un sujet délicat, où se croisent des valeurs personnelles, des croyances religieuses et des situations humaines bouleversantes. Loin de vouloir juger, cette conférence a pour but de réfléchir ensemble, à travers des témoignages et des références bibliques, sur la valeur de la vie et le choix de la préserver.
Je vais vous raconter deux histoires vraies, celles de deux femmes qui ont fait face à des grossesses difficiles. Des histoires de défis, de doutes, mais aussi d’espoir et de miracles.
Première histoire : Le courage d’une mère face à un diagnostic médical
Ma première histoire est celle d’une femme enceinte à qui l’on annonce un diagnostic bouleversant : son bébé sera trisomique. La première question qu’on lui pose est « Souhaitez-vous avorter ? »
Insultée, elle répond avec conviction : « Pour moi, c’est un meurtre. Il n’en est pas question. »
Les médecins insistent, lui expliquent les risques :
- Son bébé pourrait avoir des troubles cardiaques.
- Il pourrait ne jamais marcher.
- Il pourrait avoir une espérance de vie réduite.
Les recherches au sujet de l’« avortement » sur le site du CDC dirigent désormais les utilisateurs vers « l’adoption »
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran
11 février 2025, Washington, D.C. (LifeSiteNews) — Dans une démarche que certains travailleurs de l’industrie dite de la « santé reproductive » considèrent comme une « tentative claire » de changer la façon dont les conversations autour de la grossesse sont abordées, le site internet des Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) ne renvoie plus de résultats de recherche pour le mot « avortement » et suggère à la place aux utilisateurs d’essayer de chercher le mot « adoption ».
Un défenseur des droits de l’homme a qualifié le changement apporté au site du CDC d’« ÉNORME VICTOIRE ».
L’animateur conservateur Christopher Calvin Reid a clamé sur X : « BONNE NOUVELLE ! L’administration Trump supprime les [soi-disant] informations sur les soins de santé reproductive du site du CDC ».
« Oh, et au fait, le site suggère également l’“adoption” lorsque les gens recherchent l’“avortement” !!! », a-t-il ajouté.
« J’ai vu cela aujourd’hui et j’ai pleuré », a déclaré le musicien chrétien Sean Feucht sur X. « Je sais que cela semble... simple, mais c’est le moment pour lequel nous avons prié ».
Lire la suitePete Baklinski : Le plan de Poilievre de favoriser l’adoption plutôt que l’avortement n’est pas suffisant
Pierre Poilievre.
Article de Pete Baklinski publié dans le National Post le 1er octobre 2024 — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pierre Poilievre/YouTube
Le mouvement pro-vie a besoin d’un vrai champion
Pierre Poilievre a-t-il vraiment un « programme secret » pour mettre fin à l’avortement s’il devient le prochain premier ministre du Canada ? C’est ce que ses adversaires politiques voudraient vous faire croire. Mais est-ce vraiment vrai ? La réponse courte est « non ». La réponse plus longue est que même si Poilievre faisait du bien au mouvement pro-vie, il n’en serait pas pour autant le champion des enfants à naître.
Le chef du Parti conservateur du Canada (PCC) a clairement exprimé sa position dans une lettre adressée le 11 septembre à un membre fidèle de la Coalition nationale pour la vie, une organisation nationale pro-vie. Il ne s’agit pas du « programme caché » dont l’accusent ses adversaires politiques, mais d’un plan qu’il a publiquement laissé entrevoir depuis quelques années et avec lequel la plupart des Canadiens seraient d’accord.
Le militant pro-vie, Don Plemel, originaire de Saskatoon, a écrit à M. Poilievre pour lui demander, dans un courriel daté du 6 septembre, pourquoi il avait été, à un moment donné, un « fervent pro-vie » pour ensuite devenir « pro-choix ». Il est vrai qu’à une certaine époque Poilievre a été pro-vie, une position qu’il a abandonnée sur le chemin du pouvoir politique.
« Pourquoi est-ce si difficile pour les politiciens de comprendre que l’avortement est un meurtre ? », a demandé M. Plemel, âgé de 83 ans, dans un échange de courriels obtenu par la Coalition nationale pour la vie.
« Pourquoi est-ce si difficile pour eux de comprendre que la vie humaine commence dès la conception ? La majorité des biologistes l’ont prouvé. Ces petits bébés (oui, “bébés”, pas des amas de cellules ou des fœtus) sont des êtres humains à part entière, dotés d’un ADN entièrement nouveau. Ils font partie de la race humaine et tout le monde s’accorde à dire que les droits de l’homme ... y compris le plus important, le droit à la vie ... s’appliquent à tout le monde. Cela inclut le bébé dans le ventre de sa mère ».
« J’espère et je prie, M. Poilievre, qu’après les prochaines élections, les conservateurs reviendront au pouvoir et que vous et votre parti conviendrez que l’avortement est un mal et que vous y mettrez un terme », a ajouté M. Plemel.
Lire la suiteSurvivante de l’avortement, elle a été adoptée
Amy Miles.
Par Lisa Bast (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :
Amy Miles a toujours su qu’elle avait été adoptée et qu’elle était née prématurément. Elle pensait que sa mère biologique — qui était étudiante lorsqu’elle est devenue enceinte — se souciait tellement d’elle qu’elle l’avait placée en adoption pour qu’elle ait un foyer stable et aimant. La vérité était bien plus dérangeante, et Miles ne l’a apprise qu’à l’âge de 36 ans.
Mme Miles a déclaré à Live Action News : « Mes parents adoptifs m’ont beaucoup protégée. Ils ont dû faire face à de nombreuses difficultés dans leur parcours d’adoption. Lorsqu’ils ont vu mon petit corps dans l’unité néonatale d’un hôpital catholique, ils ont remarqué une marque sur ma tête et n’étaient pas sûrs de ce que c’était. Parce qu’ils étaient hésitants, le juge leur a dit de “dormir dessus”, mais mon père savait qu’ils devaient être mes parents ».
Un médecin a dit aux parents de Miles de surveiller les signes d’infirmité motrice cérébrale, une maladie causée par une anomalie ou une interruption du développement du cerveau.
« Ma mère était infirmière et m’emmenait sans cesse chez le médecin pour me faire examiner », raconte Miles. « Mes capacités motrices étaient lentes et je n’ai appris à marcher qu’à l’âge de trois ans ».
Lorsqu’on a diagnostiqué une infirmité motrice cérébrale chez Miles, un médecin a dit à sa mère que Miles devrait probablement être placée en institution. Un autre médecin a assuré à ses parents que Miles irait bien — et ce fut le cas, bien qu’elle ait eu une enfance difficile à cause de son handicap ; en plus d’une coordination musculaire déficiente, elle portait des appareils auditifs et se sentait différente de ses camarades de classe.
Miles a déclaré : « Nous étions une famille croyante et nous avons surmonté les pires épreuves ».
Lire la suiteLes pompiers célèbrent l’anniversaire du bébé « Safe Haven » déposé à la caserne... il y a 18 ans !
Colleen Katich.
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Lake County Fire Rescue/Facebook
Il y a 18 ans, une petite fille a été déposée dans une caserne de pompiers de Clermont, en Floride, dans le cadre du programme Safe Haven [Refuge sûr] de l’État, qui vise à sauver la vie des nouveau-nés risquant d’être abandonnés. Ce programme permet aux parents d’amener anonymement des nourrissons d’un certain âge dans des lieux sûrs spécifiques, plutôt que de les abandonner lorsqu’ils se sentent incapables d’assumer leurs responsabilités parentales. Cette petite fille, Colleen Katich, vient d’obtenir son diplôme de fin d’études secondaires et a été honorée par la caserne des pompiers sur Facebook.
« Il y a dix-huit ans, Colleen a été déposée à la station 112 de Clermont dans le cadre du programme “Safe Haven” du comté », a écrit Lake County Fire Rescue. « Aujourd’hui, elle vient d’obtenir son diplôme de fin d’études secondaires et s’épanouit ! Elle a récemment retrouvé certains de ses héros à la station 112 et un camion a même été baptisé à son nom ! Joignez-vous à nous pour féliciter Colleen de sa grande réussite. Nous sommes très fiers de toi ! »
« [La famille adoptive de Colleen] est restée en contact avec la caserne. Au fil des ans, elle nous envoyait des cartes d’anniversaire, des cartes de Noël et nous suivions ses progrès au fur et à mesure que Colleen grandissait », a déclaré Dan Miller, chef de bataillon à la retraite du Lake County Fire Rescue.
Selon WFTV9, Colleen prévoit commencer l’école de cosmétologie à l’automne.
Il existe une version de la loi Safe Haven dans chaque État. En Floride, les parents peuvent laisser leur nouveau-né, âgé d’une semaine au maximum, dans un hôpital, une station de services médicaux d’urgence ou une caserne de pompiers où travaillent à plein temps des techniciens de services médicaux d’urgence, des auxiliaires médicaux ou des pompiers. Lorsqu’un enfant est déposé [dans l’un de ces refuges sûrs], il reçoit des services médicaux d’urgence et les autorités organisent le transport de l’enfant vers l’hôpital le plus proche qui fournit des services d’urgence. L’enfant est ensuite placé en vue d’une adoption et les parents biologiques ne sont pas poursuivis pour abandon d’enfant.
Depuis son lancement il y a plus de 20 ans, le Safe Haven for Newborns de Floride aurait sauvé plus de 400 bébés.
Un 50e bébé sauvé par une boîte à bébé au Kentucky
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Prostock studio/Adobe Stock
L’organisation Safe Haven Baby Box célèbre la vie d’un bébé qui a été remis en toute sécurité dans la boîte à bébé « Refuge sûr » de la caserne de pompiers du comté de Montgomery, à Mount Sterling, dans le Kentucky. Cette remise est la 50e dans l’une des boîtes à bébé de l’organisation depuis l’installation de la première en 2015, et la première depuis l’installation de cette boîte à bébé le 4 avril dernier.
La loi « Kentucky Safe Infants Act » permet aux parents de laisser les nouveau-nés de moins de 30 jours dans un poste de police, une caserne de pompiers, un hôpital ou un lieu de culte participant sans craindre de poursuites pénales ou d’allégations de négligence. Les boîtes à bébés Safe Haven sont des boîtes sûres, à température contrôlée, installées dans des hôpitaux ou des casernes de pompiers dans tout le pays ; à ce jour, elles sont disponibles dans 17 États. Lorsqu’un enfant est placé à l’intérieur, une alarme silencieuse se déclenche et le personnel d’urgence intervient dans les minutes qui suivent. Le bébé reçoit des soins médicaux et est ensuite placé en vue d’une adoption.
« Lundi après-midi, nous avons eu l’honneur et la chance de recevoir un bébé dans notre caserne de pompiers du comté de Montgomery, au Kentucky. Le petit garçon qui nous a été remis semblait en bonne santé et a été transporté à notre hôpital local », a déclaré le capitaine des pompiers du comté de Montgomery, Zachary Adams, dans un communiqué de presse. « Nous tenons à remercier Gateway Right to Life pour avoir rendu ce projet possible et le Kiwanis du comté de Montgomery pour l’avoir financé à 100 % ! Il n’y a pas de mots pour exprimer à quel point nous sommes heureux de faire partie de cette initiative ! »
Lire la suiteAprès avoir subi la perte déchirante de trois bébés, ils adoptent des enfants
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Wes Hicks/Unsplash
Le plus grand rêve de Tiffani Rickey était d'être mère, mais son chemin vers la maternité l'a menée sur une voie de perte imprévue, de chagrin écrasant... et finalement, de paix et de joie.
Tiffani a raconté à Live Action News qu'en tant que jeune femme célibataire et pro-vie, elle a ressenti un appel de Dieu en faveur de l'adoption. Elle a entendu un jeune collègue de travail dire à quel point il voulait être père et a réalisé qu'elle n'avait jamais entendu un homme parler avec autant d'enthousiasme de sa future paternité. Il a même dit que s'il ne se mariait jamais, il voudrait quand même adopter des enfants.
Tous deux semblaient être sur la même longueur d'onde et partager les mêmes valeurs, et ils ont commencé à se fréquenter.
La joie de la grossesse et le chagrin de la perte
Peu de temps après avoir épousé son collègue, David, Mme Rickey a appris qu'elle était enceinte — et ils étaient tous deux ravis. La grossesse s'est déroulée sans problème jusqu'à la 30e semaine, lorsque les médecins ont remarqué des signes inquiétants sur leur petite fille. Pourtant, rien n'indiquait que Rickey et son mari étaient sur le point de perdre leur fille.
Lorsque Kensie est née à 36 semaines de grossesse par césarienne, le couple a été confronté à une tragédie « déchirante et choquante ». Kensie n'a survécu que 24 heures après sa naissance, laissant le couple désemparé et le cœur brisé. Les médecins n'étaient pas sûrs de la cause des problèmes de santé et de la mort de Kensie, et ils ont dit à Mme Rickey qu'il était très peu probable qu'un autre enfant ait les mêmes problèmes.
Lire la suiteUn couple catholique empêché d’accueillir des enfants parce qu’il rejette l’idéologie « LGBTQIA » poursuit l'agence de placement
Mike and Kitty Burke.
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie
7 juin 2024 (LifeSiteNews) — Un couple du Massachusetts qui a été empêché de devenir parents d’accueil en raison de leur adhésion à l’enseignement catholique et de leur opposition fondée sur la foi à l’idéologie LGBT peut aller de l’avant avec son procès suite au rejet par un juge fédéral d’une demande de non-lieu.
Dans son ordonnance, le juge a écrit que la décision du Department of Children and Families (DCF) du Massachusetts avait placé Mike et Kitty Burke face à un « dilemme fondamental dans cette affaire : ils pouvaient renoncer à leurs croyances religieuses et recevoir une licence d’accueil, ou ils pouvaient adhérer à ces croyances et renoncer à la licence », a rapporté le Massachusetts Family Institute (MFI).
« Il s’agit d’une victoire importante qui devrait avoir des conséquences significatives pour les familles chrétiennes dans le Commonwealth et au-delà », a écrit l’avocat Sam Whiting de MFI.
Les Burke — un couple catholique qui a lutté contre l’infertilité — ont postulé au programme de placement en famille d’accueil du DCF en 2022. Ils ont « suivi des heures de formation » et ont été recommandés par leur instructeur pour leurs « contributions positives à la classe », selon un communiqué de presse du cabinet d’avocats Becket.
Lire la suiteConçu lors d’un viol, Mark est reconnaissant à sa mère biologique d’avoir choisi la vie
Mark Roepke.
Par Lisa Bast (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Mark Roepke a toujours su qu’il avait été adopté. Il savait aussi qu’il était le fils d’une jeune fille de 14 ans dont il a appris plus tard qu’elle est devenue enceinte à la suite d’un viol lors d’une fête du 4 juillet à laquelle elle avait participé avec son cousin dans le Dakota du Sud.
Ayant grandi sur une ferme de l’Iowa, Roepke a passé une enfance relativement normale avec ses frères et sœurs, eux aussi adoptés. Il a déclaré à Live Action News : « Mes parents avaient adopté quatre enfants pour avoir une famille. Quand j’ai eu sept ans, ils ont eu leur propre enfant, puis deux autres sont arrivés plus tard ».
Roepke avait trois ans lorsqu’il a vécu une tragédie. Un jour que ses parents jouaient au tennis, il a poursuivi une balle perdue. Il a glissé sur le gravier, descendu une colline abrupte, et atterri avec la jambe coincée devant lui. Une voiture qui prenait un raccourci dans le stationnement a roulé sur sa jambe qui dépassait et l’a écrasée.
« L’homme ne s’est jamais arrêté », a déclaré Roepke. « Nous avons appris plus tard qu’il était pressé et en retard au travail. Malheureusement, les médecins n’ont pas pu sauver ma jambe ». Mais Roepke n’a jamais laissé son handicap le définir.
Le travail à la ferme a donné au jeune Roepke le sens des responsabilités. Il a vu des animaux donner naissance à leur progéniture et a compris le miracle de la vie. Un jour, il a entendu un groupe de lycéennes discuter de l’avortement. Se demandant ce que ce mot signifiait, il est allé directement voir son père pour obtenir une explication.
« Lorsque mon père m’a expliqué ce qu’était un avortement, j’ai été horrifié », a déclaré M. Roepke. « Mes parents avaient lutté pendant des années pour avoir des enfants, il était donc difficile de comprendre que des gens tuaient leurs enfants pour des raisons de commodité ».
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