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Les ravages du féminisme dans l'esprit des Québécois

Plus insidieux que la fumée de cigarette, le féminisme québécois, dans toute sa radicalité extrémiste, imprègne nombre de nos concitoyens, idôlatrant la femme et l'excusant de toute faute. La journaliste Sophie Durocher blaguait dernìèrement sur les ondes de la radio sur des journalistes qui oseraient remettre en question le choix d'une femme, en particulier de l'avortement bien sûr. Sur le site du journal La Presse du 18 octobre 2012, cet extrait d'une lettre d'une avocate sur l'intervention de la policière Trudeau, nous offre un bel exemple de paranoïa féministe:

En outre, n'est-il pas extrêmement curieux que cette vague d'indignation ait été générée par les gestes posés par une policière? Un «Stéfane» aurait-il reçu autant d'attention médiatique, une suspension immédiate et des excuses de son chef? Demandons-nous combien, pour chaque Stéfanie Trudeau, il y a de policiers mâles dont la conduite est tout aussi indigne de la fonction qu'ils occupent, mais dont on n'entend pas parler?

Le féminisme radical québécois est une maladie de l'intelligence qui atteint hommes et femmes. Il n'a pas grand chose à voir avec la défense des intérêts des femmes. Trop souvent, au contraire, il propose des solutions qui vont à l'encontre de la société, de la famille et de toute femme: avortement, contraception, divorce, préjugé de méfiance envers les hommes en général, climat de guerre et de combat dans des relations naturelles hommes-femmes qui devraient aller de soi. Et préjugé constant qu'une femme prise en défaut l'est parce qu'elle est une femme, pas parce qu'elle a commis une faute...

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