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Les gentils euthanasistes...

Un texte décapant paru dans le journal La Croix du 17 juillet 2014, à lire en entier :

(Samson et Dalila par Van Dyck : le visage de désespoir de Samson représente bien ce que vivront les personnes en voie d'être euthanasiées, devant la gentillesse qui servira à les convaincre d'être euthanasiées, par respect de leur dignité...)

(Photo : wikipédia sans copyright)

Comme je l’ai écrit dans mon blog précédent, l’acquittement du Dr Bonnemaison  m’a profondément choqué.

L’anesthésie par les mots doux

Entre autres raisons, du fait de l’instrumentalisation des mots. Que n’a-t-on entendu pour justifier les actes qui ont donné la mort d’une part et la décision de justice d’acquittement d’autre part ? Il n’a été question que d’humanité, d’apaisement, de compassion, de dévouement, de proximité, de sincérité, d’empathie, de soulagement, de vies abrégées. Ca dégouline de partout, des soutiens à l’accusé, aux associations militantes, jusqu’au plus haut somment de l’Etat. (...)

On nage tellement dans cet océan de travestissement de la valeur des mots que même celui d’euthanasie doit être proscrit. Bernard Kouchner, dans son souhait que ne soit plus employé le mot « euthanasie »,  est le reflet très exact de la tendance actuelle : « Il faut employer des mots qui sont doux », explique t-il au micro de France Inter. Et il poursuit : « Dans euthanasie, il y a le mot nazi, ce qui n’est pas très gentil. Et puis on a tout de suite l’impression qu’il y a une agression, qu’on va forcer les gens ».

Tout est dit : avoir l’air gentil, tout doux et non agressif. Il est vrai que ça passe tellement mieux. (...)

Une seringue de poison dans un gant de velours...

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