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Les crimes du féminisme occidental

On a parlé des crimes du nazisme, de ceux de la révolution française, des crimes du communisme. A part le nazisme, il s’agissait d’idées chrétiennes devenues folles comme le disait l’écrivain Chesterton. C’est aussi le cas du féminisme occidental, qui a apporté une plus grande justice et plus d’équité dans les relations hommes femmes. Mais les dommages causés par l’absolutisme féministe anti-femme et le remplacement idéologique du « bourgeois » des communistes par « l’homme » ou « les hommes » des féministes, sont immenses. On parlerait déjà des crimes du féminisme si cette idéologie n’était pas encore très présente dans nos sociétés occidentales. Le moindre de ces crimes n’étant pas le « droit » à l’avortement pour être « maître de son corps ».

Je discutais avec une étudiante pendant les 40 jours pour la vie. Elle me disait qu’un fœtus de 9 mois de grossesse n’est pas une personne parce qu’il dépend physiquement de sa mère, mais que celui de 5 mois, prématuré, est une personne parce qu’il n’est plus dépendant de cette dernière. Selon le discours féministe c’est la relation à la mère qui détermine l’humanité, la personnalité de l’enfant. On le voit dans les discours voulant que l’enfant à naître soit appelé bébé ou enfant s’il est désiré par sa mère, mais plutôt fœtus ou crevette s’il ne l’est pas.

De même, l’enfant à naître ne pourrait recevoir de droits puisque ses droits seraient automatiquement des contraintes pour la mère.

Ce qu’il y a de particulièrement choquant dans tous ces discours c’est que l’on ne tient aucunement compte de l’humanité de l’enfant à naître, de ce qu’il est objectivement, mais uniquement de ce qu’il représente pour la mère, pour la femme déjà née.

Il faut le dire avec force, le « droit » de déterminer ce qui est humain ou pas, ce qui est une personne ou pas, n’appartient pas aux femmes, ni à qui que ce soit. Les droits humains sont indissociables de l’état d’être humain. La revendication féministe niant les droits de l’enfant à naître est un abus de pouvoir, un crime comparable à celui des esclavagistes discutant de l’humanité des populations noires d’Afrique.

Le fait qu’un enfant dépende physiquement de sa mère pour vivre ne change rien à ce qu’il est. La fédération des femmes du Québec qui s’arroge le titre de porte parole des femmes voudrait déterminer les « droits des femmes ». Une femme discutant les principes de la fédération ne peut être que rétrograde. Quand aux hommes, n’utilise-t-on pas souvent l’argument sexiste voulant qu’ils n’aient pas le droit d’être contre le « choix » de la femme, comme si le fait d’être femme donnait le droit de tuer?

Oui, si le « droit à l’avortement » est un « gain » revendiqué par le féminisme occidental, alors nous pouvons déjà parler des crimes du féminisme occidental et québécois, si répandu dans nos sociétés et spécialement dans nos institutions scolaires. L’histoire jugera de la même façon qu’elle a déjà jugé les grandes idéologies totalitaires passées.

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