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Le rejet de l’unicité dans la fécondation in vitro

Lettre d’une bienfaitrice, 28 avril 2020.

La plupart des agriculteurs choisissent les géniteurs de leur bétail parmi des animaux conformes à des critères catalogués, pour la simple raison que les autres le font (on a l’air de savoir plus ce qu’on fait quand on fait comme les autres). Mais, cette recherche de la vache parfaite, du mouton parfait, essentiellement basée sur la productivité, a entraîné une exacerbation de problèmes attribuables à la consanguinité, et a rejeté l’unicité (caractère unique), qui forme la diversité, dans un ensemble d’individus uniques, à laquelle la nature a généreusement pourvu tant dans les végétaux que les animaux et les humains.

La surspécialisation de la fécondation in vitro a au contraire dépourvu la nature, autant végétale ou animale qu’humaine de ce trait. La standardisation de la Vie, selon des critères précis a tout fragilisé (notamment dans le domaine de l’émotion) par l’adoption de modèles fabriqués par des stylistes, coiffeurs, dentistes et plasticiens, fortement rentables, choisis dans des catalogues sur la table d’attente, et ce, sur une gamme précise en rejetant l’unique, dont la nature pourvoie généreusement, la particularité qui différencie naturellement et tellement bien les individus que l’on dit authentiques, afin de privilégier le tout pareil.

La fécondation in vitro a brisé l’authenticité tel un triage de billes d’une classe de maternelle, par couleurs et grandeurs. Dans le rejet du processus naturel de la fécondité végétale, animale et humaine afin de privilégier le sélectif, quand un problème survient il s’intensifie. Mais, la nature a établi que si l’on chassait le naturel il reviendrait au galop.

Qui cherche tant à briser l’unicité des êtres et dans quel intérêt ? La fécondation in vitro et la stérilité rapportent beaucoup d’argent. Et si, demain, les employeurs réclamaient des individus, non récalcitrants, possédant des particularités psychologiques proches de l’esclave, qui jamais ne se plaignent, obéissent au doigt et à l’œil, ne réclament aucun salaire. Le but de l’administration de ritalin, qui fait s’asseoir les enfants les plus turbulents en âge de courir et de s’esclaffer naturellement, sert-il des intérêts financiers expérimentaux ? Les petits soleils verts sont-ils à nos portes ? La prudence nous interdit le silence.

Mme J. G.

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