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Le gouverneur du Wisconsin Scott Walker a signé des projets de loi visant à diminuer de 8 millions de dollars US les subventions destinées au Planning Familial américain

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Par Steve Ertelt de LifeNews - traduit par Campagne Québec-Vie

Le 18 février, le gouverneur du Wisconsin Scott Walker a signé deux projets de loi qui vont permettre de diminuer les subventions d'État accordées au Planning Familial, qui s'est avéré faire des profits secondaires avec le commerce de résidus d'avortement.

"Nous voulons rassurer les contribuables, que le produit de leurs impôts dans l'État du Wisconsin, sera utilisé de manière aussi responsable et raisonnable qui soit," dit Scott Walker.

Le gouverneur Walker a signé les ordonnances dans une clinique pour femmes pro-vie de Waukesha, qui travaille pour apporter des alternatives à l'avortement.

AB 310/SB 237, qui est déjà passée par l'Assemblée d’État, retire le crédit aux organismes d'avortement, ce qui correspond à 3,5 millions de dollars US pour le contribuable du Wisconsin. SB 238/AB 311 réduit de manière drastique les taux de remboursement frauduleux de la part de Médicaid, et allège de 4,5 millions de dollars les créances du Planning Familial.

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Heather Weininger, directrice exécutive des Droits de l'Homme au Wisconsin, a déclaré à Lifenews, "Ces projets, AB 310 et SB 238, sont essentiels à fin de redistribuer des capitaux qui sont aujourd'hui destinés à une organisation publique et controversée. Ce sont deux projets de loi fondamentaux pour contrer le Planning Familial et son recours aux deniers des habitants du Wisconsin."

Le Sénateur républicain Chris Kapenga, à Delafield, est l'auteur de cette disposition, et parle au sujet de sa législation.

"Cette une position morale que j'ai toujours préservée, comme beaucoup de mon bord, et il en est ainsi, nous avons choisi de protéger la vie," dit le Sénateur Chris Kapenga, "Je crois que cela vient de nous, c'est aussi une pierre angulaire de la Déclaration d'Indépendance, et c'est bien ce dont traite la Constitution : la protection de la vie.

La Sénatrice démocrate Lena Taylor, de Milwaukee défend la position inverse, que le projet de loi ne cherche pas à défendre la vie, mais qu'il ne s'agit que d'un mode opératoire vengeur.

Le Sénateur républicain Duey Stroebel, de Saukville, est contre l'idée que les Républicains puissent avoir une emprise sur les naissances. Il a défendu le choix d'un accès restreint, "Je pense que c'est abordable. Au moins, c'est de cette façon je pense que cela doit être fait."

"Le contrôle des grossesses? Bien sûr que je suis pour. Et je pense que la plupart, ici, le sont. Mais ce n'est pas la solution," le Sénateur Duey Stoebel poursuit, "Je suis soucieux du bien-être des femmes, comme je pense que c'est le cas pour tout le monde. Ce que nous n'acceptons pas, ce sont des ordonnances d'avortement sans justification publique. C'est de cela que traite ce projet de loi. Nous sommes du côté des femmes, et nous voulons que cela soit évident."

Cinq antennes du Planning Familial ont fermé depuis que le Gouverneur Scott Walker leur ait coupé les financements, en 2011.

Heather Weininger, des Droits de l'Homme au Wisconsin, présente des candidats plus compatibles à recevoir des financements fédéraux, en la qualité des 96 services pour la santé des femmes du Wisconsin.

" Il nous faut gommer les idées reçues, comme les croyances que sans le Planning Parental, les femmes n'auront plus accès à la mammographie. En réalité, pas un seul Planning Familial n'offre ce service, ils en connaissent juste les adresses," dit-elle, avant d'ajouter "Selon la déclaration de la Présidente et Directrice de Planned Parenthood, Teresa Huyck dans sa déposition qui l'oppose au Ministre de la Justice John Byron Van Hollen, en 2012, le Planning a effectué 4 000 avortements, ce qui correspond à 60% des procédures annuelles au Wisconsin, et le plus conséquent des services rendus par les centres de Appleton North et Milwaukee-Jackson est l'avortement. "

Selon les Droits de l'Homme au Wisconsin, et d'après les chiffres du rapport annuel de 2013-2014 de la Fédération Américaine du Planning Familial, 19 femmes sur 20 s'y rendant sont clientes de l'avortement, et les chiffres de l'adoption correspondent à une sur 174. Pourtant le Planning qui déclame que l'avortement correspond à 3 pourcent de ses prestations, est discrédité quand au compte parcellaire de chacun de ses services, du test de maternité, au frottis, même si chacun de ces services correspondent à une visite, et à une personne, il s'agit malgré tout d'une manipulation grotesque de leurs statistiques.

Le Congrès a entendu de nombreuses investigations, avec la violation de nombreuses lois, comprenant le trafic d'organes en provenance de fœtus avortés.

Dans les premières discussions avec le Planning, James Bopp, l'avocat général pour le Comité National au Droit à la Vie, dit au Comité de la Maison de la Justice que le Planning Familial avait outrepassé de nombreuses lois fédérales dans la vente des corps des bébés avortés et de leurs découpes au motif de la recherche.

Il dit, "des conversations enregistrées, et rendues publiques par le Centre pour le Progrès Médical, révèlent le fond d'illégalité dans lequel le Planning Familial a développé ses procédures et pratiques commerciales concernant les tissus fœtaux.

Au cours d'une seconde audition, les jurés démocrates se sont plaints que les vidéos traduisant les écarts du Planning avaient été soudoyées. Et quand les Républicains présents souhaitent diffuser les vidéos, ils prétendent à refuser de les visionner.

Au troisième rendez-vous, la Directrice du Planning Cécile Richards tentent d'expliquer les raisons du commerce de ces enfants avortés. Elle se défend qu'aucun bébé n'est jamais né vivant à la suite d'un avortement 'raté', elle reconnaît surtout que la revendication de la mammographie au Planning est un mensonge, et elle a défendu son salaire exorbitant comme patronne d'une chaîne d'avortement nationale.

"Les procédures et les pratiques du Planning et de leurs partenaires commerciaux, montrent que les lois fédérales même si applicables, ont été et continuent d'être enfreintes par ces ventes de tissus fœtaux humains," explique James Bopp.

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Les vidéos en question qui dénoncent les agissements du Planning en décrivant les dessous du trafic d'organes ont choqué le pays tout entier. Il y en a 11 en tout.

Dans la première vidéo : Docteur Deborah Nucatola, au Planning Familial, commentait l'avortement par écrasement: "Nous sommes vraiment bons pour vendre des cœurs, poumons, foies parce que c'est notre métier, alors je peux écraser un côté, en dessus, en dessous, et je peux voir ce que je rends intact."

Dans la seconde vidéo : Le Docteur Mary Gatter au Planning s'est félicitée de "vouloir une Lamborghini" en temps que négociatrice avisée des organes avortés.

Dans la troisième vidéo : Holly O'Donnell, une ancienne employée à Stern Express, qui a travaillé dans une clinique du Planning, a témoigné de son expérience, des atrocités difficiles à expliquer, et comment elle était mal à l'aise et horrifiée de tenir des jambes de bébés.

Quatrième vidéo : Docteur Savita Ginde du Planning Parental, "Nous ne voulons pas vendre des bébés 200 dollars sans bénéfice net. En pièces nous vendons mieux, juste parce que nous pouvons quantifier la marchandise." Elle rit aussi en regardant une assiette remplie de reins, qu'ils étaient "prêts à partir".

Dans la cinquième vidéo : Melissa Farell, du Planning Gulf Coast à Houston se félicitait de l'habileté du Planning à performer des "bébés cadavres intacts" et comment cette "recherche contribue en première ligne à son organisation, vous savez que nous sommes les premiers dans le secteur, notre département de recherche est le plus large des États-Unis."

Sixième vidéo : Holly O'Donnell décrit les procédures de récupération des organes sans le consentement de la mère : "Il y a un temps où ils prenaient simplement ce qu'ils voulaient. Ces mères ne le savent pas. Et il n'y a pas de raison qu'elles le sachent".

Septième et probablement la plus perturbante des vidéos : Holly O'Donnell décrit la récolte, ou le moyen de se "procurer" les organes d'un fœtus intact avorté au Planning Mar Monte's Alameda de San José en Californie. "Vous voulez voir quelque chose de vraiment cool?", O'Donnell demande à sa supérieure. "Elle frappe juste le cœur qui se met à battre. Et je suis assise là, regardant le fœtus, son cœur bat, je ne sais pas quoi penser."

Huitième vidéo : La directrice de Stern Express, Cate Dyer admet que le Planning Parental vend "particulièrement de nombreux" enfants avortés parfaitement intacts.

Neuvième vidéo : Prise avec une directrice médicale du Planning discutant comment la compagnie d'avortement vend des enfants avortés parfaitement intacts - dont un qui venait "juste d'être accouché".

Dixième vidéo : Prise sur le plus gros trafic d'organes à l'échelle nationale portant sur des organes de fœtus - dont le cœur, les yeux, les gonades des bébés avant terme. Cette vidéo montre aussi la manière choquante par laquelle le Planning admet officiellement passer outre les lois fédérales, en vendant avec profits ces parties de corps.

Une vidéo restée confidentielle : Une vidéo privée du Centre pour le Progrès Médical, montre Deborah VanDerhei piégée sur une bande parlant de comment les associés du business d'avortement du Planning peuvent "vouloir faire du profit [en revendant] mais nous ne pouvons les en empêcher..." Sur une autre on peut voir une femme parlant de "l'incitation financière" à vendre de tels produits.

Une onzième vidéo : Prise de vue d'un employé du Planning du Texas à l'avortement, projetant de vendre des têtes intactes d'enfants avortés pour la recherche. Amna Dermish est vue décrivant un avortement partiel illégal pour tuer l'enfant avant terme sur lequel elle espère récupérer une tête intacte pour la récupération du cerveau.

Une dernière vidéo non rendue publique confirme les révélations que les restes d'avortements vendus par le Planning sont allés à des compagnies de génie génétique au prétexte de créer des souris plus humaines. Le Planning Familial a cependant vendu ces parties de corps d'enfants à naître depuis plus de 15 ans. La loi fédérale qui punit la vente de bébés avortés et de parties de ces corps a été rédigée par un membre du Congrès pro-choix, il y a des décennies et explique essentiellement un procédé pour permettre aux vendeurs d'organes, selon certains critères, d'entrer dans la légalité. C'est pourquoi un membre du Congrès du Colorado a introduit une législation pour interdire définitivement le commerce des parties de corps des bébés avortés.



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