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La pensée retorse de la ministre Pauline Marois

À maintes reprises, Mme Marois a démontré son arrogance et son déni du droit des parents d’éduquer leurs enfants selon leurs convictions. L’interdiction de parler de religion dans les garderies « familiales » en est un exemple flagrant. Pour Mme Marois, l’État doit protéger les enfants du milieu parental, source de nombreuses croyances incompatibles avec l’idéologie laïciste fermée et bornée qu’elle tente d’instaurer.
La première tactique utilisée consistait à payer pour un service de garderie universelle sans offrir de compensation pour les parents désirant garder eux-mêmes leurs enfants à la maison. Pour la plupart des familles, la pression est grande de mettre leurs enfants en garderie.
La ministre Marois, après avoir institué le système de garderie, passe à l’étape suivante. Malgré les cris de trahison (ce n’est pas la première, ni la dernière fois que l’attribut est donné à Mme Marois) lancés par les Centres de la Petite Enfance, elle coupe de 38 millions de dollars dans cette vache désacralisée, au moment même où elle instaure le programme de maternelle 4 ans, sur une base volontaire, tout comme l’était le programme de garderie bien sûr.
Après avoir incité les parents à placer leurs enfants en garderie, où elle s’est assurée que l’on ne pourra transmettre les valeurs parentales aux enfants, l’incitation à les placer à l’école, le plus tôt possible (et il est légitime de croire que les maternelles à 3 et à 2 ans sont déjà présentes dans les rêves de la ministre Marois) permettra de les endoctriner pour en faire de bons petits citoyens éclairés par la lumière Marois. Quant aux géniteurs de parents, il faudra bien un jour trouver le moyen de leur supprimer leur année de paternité et maternité, susceptible de laisser des germes de déviance que l’on devra effacer par la suite.
Il est difficile de trouver un gouvernement plus dangereux que l’actuel gouvernement péquiste. S’il fallait un jour choisir entre l’assimilation et la formation de petits Maroissiens, la première option serait certainement la plus respectueuse de la dignité de nos enfants. L’exemple irlandais, en ce lendemain de la St-Patrick, nous rappelle qu’il est malheureux de perdre sa langue, mais que l’âme d’un peuple peut y survivre…
En espérant que cette option terrible ne soit jamais un choix inéluctable, il nous reste à combattre pour protéger l’âme de nos enfants et leur culture canadienne-française, l’une des plus belles que la planète ait portée…

On trouve un résumé de la situation de la politique de garderie dans le journal Le Devoir du 18 mars 2013:

Les centres de la petite enfance (CPE) situés en région risquent d’avoir plus de mal à encaisser les compressions annoncées par le ministère de la Famille, d’autant que leur fréquentation pourrait baisser avec la création prochaine de classes de maternelles destinées aux enfants de quatre ans issus des milieux défavorisés, selon des responsables de CPE.

Dès le 1er juillet, les CPE subiront des compressions de 37,9 millions, une baisse de 3,5 % de l’enveloppe budgétaire. Le gouvernement Marois réduit aussi de 18,3 millions les subventions accordées aux garderies privées.
 

La situation sera plus difficile en région, selon Simon Dufresne, le directeur du Réseau de services à la petite enfance de l’Est du Québec, car les garderies y sont de taille moindre. Une des solutions serait de « fusionner des CPE », selon M. Dufresne, afin de réduire le personnel administratif. Les heures des conseillères pédagogiques, qui soutiennent et conseillent les éducatrices, pourraient aussi être réduites, ce qui diminuerait toutefois la qualité des services. De plus, M. Dufresne estime que la création de 70 classes de maternelles pour les enfants âgés de quatre ans issus des milieux défavorisés aura un impact sur les garderies en région. Québec prévoit en effet d’offrir la maternelle à quatre ans à 1200 enfants. M. Dufresne craint que cette mesure ne fasse baisser la fréquentation des garderies situées en Gaspésie et aux îles de la Madeleine. D’autant plus que les tailles de ces garderies sont moindres que celles des grandes villes.
 

L’Association québécoise des CPE se dit « trahie » par Pauline Marois, l’instigatrice du réseau. Son directeur général, Louis Senécal, estime que c’est la « pire attaque » de l’histoire des CPE. 

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