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La ministre Véronique Hivon, propagandiste de l'euthanasie, tient des propos apparement contradictoires...

Sur le site de laction.com du 4 février 2013, cet article sur la propagande de la ministre Hivon, co-auteure du rapport de la Commission Mourir dans la Dignité qui ne respecte pas le refus de l'euthanasie des experts et organismes qui sont intervenus à cette commission-bidon:

 

La députée de Joliette et ministre déléguée à la Santé et aux Services sociaux, Véronique Hivon, a profité de son passage à la Chambre de commerce du Grand Joliette le 4 février dernier pour annoncer son intention de déposer un projet sur la question de mourir dans la dignité avant l'été prochain. « Idéalement avant l'ajournement de la session en juin, de préciser la ministre.
(...)
On sait pour l'heure que le « droit de choisir » sera au cœur même du projet de loi selon Mme Hivon. « La Commission a retenu l'expression aide médicale à mourir parce qu'elle suppose que cette assistance-là provient d'un médecin et qu'elle doit requérir le consentement de la personne. C'est une balise fondamentale pour que jamais un tiers, un conjoint, un enfant ou le médecin lui-même décide pour la personne», a-t-elle insisté. 
 
Protéger les personnes vulnérables

Un des éléments clé de la future législation, selon Mme Hivon, sera de protéger les personnes vulnérables, d'éviter les clandestinités et les zones grises. « On doit pouvoir offrir aux personnes qui souffrent et dont on ne peut contrôler les douleurs la possibilité de faire une demande d'aide médicale à mourir », soutient la ministre.

Compétence juridique

Mme Hivon a tenu à souligner que le Québec avait la compétence en la matière de sorte que le gouvernement va rassurer les médecins qu'ils seront à l'abri des poursuites s'ils se conforment aux exigences de la loi qui s'en vient.

Exceptions

Soulignons finalement que la Commission mourir dans la dignité a jugé que les personnes atteintes de maladies dégénératives comme la démence et l'Alzheimer, de même que les personnes mineures de 14 ans et plus, représentent un enjeu qui mérite une réflexion supplémentaire sur lequel se penchera un comité du Collège des médecins.
 

Donc : -jamais un tiers, un conjoint, un enfant ou le médecin lui-même décide pour la personne», a-t-elle insisté. 
 

et: -les personnes atteintes de maladies dégénératives comme la démence et l'Alzheimer, de même que les personnes mineures de 14 ans et plus, représentent un enjeu qui mérite une réflexion supplémentaire sur lequel se penchera un comité du Collège des médecins.
 

En conclusion, est-ce qu'une personne autre que la personne démente ou alzheimer ou âgée de 14 ans, pourra décider pour elle si elle doit mourir ou pas, ou bien le "jamais un tiers, un conjoint,..." ne veut-il absolument rien dire?

Les Québécois, la commission Charbonneau nous le rappelle, ne sont pas meilleurs que les autres. Si la Belgique et la Hollande, malgré des restrictions et balises supposées sévères, euthanasient allègrement des patients anorexiques, craignant la cécité, ou sans même avertir la famille, si là-bas des centaines de patients sont euthanasiés sans consentement, un certain peuple de moutons ayant la volonté de les imiter, fera, selon l'expression québécoise savoureuse, plus que le patient, pardon,  plus que le client en demande...

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