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L'initiative européenne «un de nous» pour la protection de l'embryon humain

Sur le site de genethique.org du 7 février 2013:

 

(Carlo Casini, député  européen, président du Mouvement italien pour la Vie)

 

 A l'origine de cette pétition, un député européen, Carlo Casini, président du Mouvement italien pour la Vie, soutenu et rejoint par "des représentants de diverses associations européennes actives dans la défense de la vie".

Concrètement, l'initiative européenne demande aux institutions communautaires de garantir "la protection juridique de la dignité, du droit à la vie et à l'intégrité physique de tout être humain depuis sa conception dans les domaines de compétence de l'UE où cette protection s'avère d'une importance particulière". Pour cela, est proposé deux objectifs:
- Le premier objectif est "d'interdire et de mettre fin au financement des activités qui impliquent la destruction d'embryons humains, en particulier dans les domaines de la recherche". Actuellement, "l'Union européenne négocie [...] sa politique de recherche scientifique pour la période 2014-2020". Or, "les propositions présentées par la Commission européenne dans le cadre du programme 'Horizon 2020' ne mentionne plus l'engagement que celle-ci avait pris en 2006, dans le cadre du programme cadre de recherche (2007-2013) actuellement en vigueur, de ne soumettre au comité de règlementation 'aucune proposition de projet comportant des activités de recherche qui impliquent de détruire des embryons humains, y compris l'approvisionnement en cellules souches". Ainsi, l'initiative "Un de nous" propose la modification du règlement du prochain programme-cadre de recherche "Horizon 2020" "afin d'ajouter à son article 16 relatif aux 'principes éthiques' un nouveau critère excluant du financement européen les recherches qui impliquent la destruction d'embryons humains". 
 

- Le deuxième objectif est "d'interdire tout financement public européen de l'avortement, en particulier via la politique d'aide au développement et de santé publique". En effet, entre 2005 et 2011, plusieurs associations "prom[ouvant] et pratiqu[ant] des avortements à grande échelle, au sein d'établissements dont elles assurent elles-mêmes la gestion" ont reconnu avoir reçu des subventions communautaires. "Depuis 2011 seulement, le budget général de l'Union prohibe formellement de financer des organisations qui soutiennent ou qui sont impliquées dans des programmes d'avortement ou de stérilisation forcée (pratiqués notamment en Chine ou en Inde)". Par conséquent, "l'initiative 'Un de nous' vise à étendre cette interdiction formelle au financement de tout type d'avortement, forcé ou non, en obtenant de l'Union européenne qu'elle institue  un mécanisme de contrôle des fonds qu'elle verse aux organisations non gouvernementales afin d'éviter de financer toute organisation impliquée dans la réalisation d'avortement".
 

Rappelons que, selon l'agence de Presse Zenit.org du 7 février 2013:

Bien que la « santé génésique et sexuelle des populations » est censée ne pas inclure l’avortement, la Commission européenne subventionne massivement des organisations telles que la Fédération Internationale du Planning Familial (IPPF) et Marie Stopes International (MSI). Ces organisations promeuvent et pratiquent des avortements à grande échelle, au sein d’établissements dont elles assurent elles-mêmes la gestion.
 
Entre 2005 et 2009, l’organisation MSI reconnaît avoir reçu 15,8 millions de livres sterling de subventions publiques communautaires, dans ses rapports financiers (soit plus de 18 millions d’euros). La Fédération Internationale du Planning Familial reconnaît avoir reçu, entre 2007 et 2011, près de 6 millions d’euros de subventions directement de la Commission européenne.
 

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