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Des toits pour les itinérants!

Un article de Marie-Andrée Chouinard, paru dans le journal Le Devoir du 17 juillet 2012:

 

 

Un logement d’abord, les problèmes ensuite ! Pour combattre l’itinérance chronique, des chercheurs tentent un renversement de paradigme, un fonctionnement hors sentiers battus, l’audace, quoi ! Les résultats préliminaires du projet Chez soi indiquent que miser sur l’estime de soi contribue au rétablissement des itinérants souffrant de maladie mentale. Mais une épée de Damoclès pend au-dessus du projet, à durée limitée.
 

Les statistiques permettent en un éclair de comprendre si un projet vogue vers la réussite ou frôle l’échec. Ici, 80 % du temps, les itinérants à qui on a offert un logement d’abord, dans l’espoir d’adoucir ensuite le reste, couchent toujours sous un toit plutôt que dans la rue. Pari audacieux, mais les résultats sont encourageants.
 

Derrière un tout petit chiffre se rangent de très grandes histoires, que les statistiques ne traduisent pas. Celle, par exemple, qui trônait dans le dossier de notre collègue Amélie Daoust-Boisvert publié cette fin de semaine à propos du projet Chez soi : l’histoire de « l’homme sous l’arbre », cet adepte de la rue qu’on n’arrivait pas à identifier autrement qu’en nommant son arbre habituel, tant ses périodes de lucidité étaient rares, brèves, même pour capter son nom. Un jour, toutefois, la vaillante équipe de Chez soi a réussi à lui faire décliner son identité et la vérifier pour lui proposer un toit. Il y est toujours. Victoire.(...)

Une très bonne nouvelle!

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