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Ces couples qui ne veulent pas d'enfants....

Un article paru dans le journal La Presse du 19 août 2013 traite de la question de la pression que subiraient les femmes qui ne veulent pas d’enfants.

Bien qu’il soit tout à fait légitime qu’une célibataire choisisse de s’adonner à sa vocation (religieuse, universitaire, etc.), il n’est certainement pas habituel qu’un couple ne veuille pas d’enfants. Dans cet article,il y a ce type de témoignage que l’on retrouve assez souvent dans la société québécoise :

En couple depuis 12 ans, Élise Desaulniers, auteure (Vache à lait, Stanké) et féministe de 38 ans, a abordé la question au début de sa relation avec son conjoint. Il était en accord avec ce choix de ne pas avoir d'enfant. Elle souhaite que sa décision soit davantage respectée, car elle ne compte plus le nombre de fois où on lui a dit : « Tu vas le regretter. »

Selon elle, la maternité est perçue comme un impératif biologique. « Le fait de vouloir des enfants est normal alors que ça devrait être tout autant questionné que le fait de ne pas en désirer. »

Il y a aussi l'argument écologique. « Mettre au monde un enfant dans le contexte actuel, c'est laisser une empreinte écologique encore plus considérable. Il faut prêcher par l'exemple », estime Élise Desaulniers, spécialiste de l'éthique alimentaire.

La folie féministe associée au délire écologiste du danger de la surpopulation de l’« espèce humaine » fera que cette femme ne connaîtra jamais la joie d’être mère. Au Québec, elle n’est pas la seule. Avec 1,7 enfant par couple, l’enfant est considéré comme une expérience à vivre, pas comme un don de soi pour la vie, un don sans retour qui accueille la vie et concrétise une bénédiction divine de joie pour chacun.

Aussi étonnant que cela puisse paraître, Simone de Beauvoir, Benoite Groult, ces exemples d’échecs d’une vie, sont encore lus au Québec, comme si leurs écrits pouvaient contenir une certaine sagesse. Que trouver dans ces pages écrites par ces vieillardes tristement et éternellement adolescentes?

Elles demeurent des références pour le mouvement féministe. Combien de femmes cultivées connaîtront la tristesse d’une solitude qu’elles ont cru choisir parce qu’elles ont succombé aux mirages d’une idéologie marxiste de lutte des sexes?

Oui, il y a des femmes qui ont une merveilleuse vocation au célibat, mais pour celles en couple, il est certainement permis de s’interroger sur le désir d’élever des chats pour toute progéniture…

« Maman last call » écrivait Nathalie Petrowski. Espérons que pour beaucoup de couples, ce « last call » ne sera pas manqué… 

(À lire, le commentaire sur l'expression de Nathalie Petrowski)

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