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Ces bébés auraient pu être avortés après 20 semaines, mais leurs parents ont choisi la vie

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Par Kristi Burton Brown de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie

Dans la foulée de l’adoption, par la Chambre américaine, de la loi interdisant l’avortement après 20 semaines, les défenseurs de l’avortement sont en train d’appeler quelque chose « cruel » et « dégoûtant ».

Vous penseriez sûrement que les choses « cruelles » et « dégoûtantes » desquelles on devrait discuter seraient l’avortement par démembrement (lequel, en effet, consiste à démembrer, déchirer, pièce par pièce, le bébé), les milliers de ce genre d’avortement qui chaque année sont effectués un peu partout dans le pays, ou peut-être tous les bébés qui sont actuellement avortés et laissés mourir après qu’ils aient survécu à l’avortement.

Quand ils prennent vraiment le temps d’y réfléchir, la majorité des Américains pensent que ces choses sont dégoûtantes.

Mais les défenseurs de l’avortement n’utilisent pas les mots « cruel » et « dégoûtant » pour décrire ces choses. Au lieu de cela, ils les utilisent pour décrire le projet de loi lui-même, en grande mesure parce qu’il n’inclurait pas des exceptions pour les parents désirant avorter dû à un handicap diagnostiqué. Le projet de loi permettrait plutôt aux bébés handicapés de vivre.

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Les bébés atteints du syndrome de Down? De fibrose kystique? De trisomie 18? On leur donnerait la possibilité de vivre – au moins si le diagnostic est fait à 20 semaines, ou plus tard – dans le cadre du projet de loi de la Chambre.

Et c’est une chose merveilleuse.

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Titus Steng, diagnostiqué avec le spina-bifida. Les médecins ont dit qu’il serait dans un état végétatif et se sont portés volontaires pour faire un avortement à huit mois.

 
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Heath White a complètement changé d’avis à propos de sa fille, Paisley, qui a le syndrome de Down. Il regrette profondément d’avoir incité sa femme à avoir un avortement.

 
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Betsy Leaf a insisté qu’elle garderait son petit garçon, Jacen, après qu’on lui ait diagnostiqué une anencéphalie et qu’on lui ait suggéré d’avorter.

 
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Rick et Bella Santorum. Bella a la trisomie 18, un diagnostic suite auquel beaucoup de bébés sont avortés.


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Sarah Palin avec son fils Trig, qui a le syndrome de Down. Elle dit que les enfants comme lui sont « la plus grande joie ». (Droit d’auteur réservé 2013 Shealah Craighead Photography/SarahPAC)

 
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Bowen Hammit avec ses parents. Il a été diagnostiqué avec le syndrome d’hypoplasie du cœur gauche. Dans certains pays d’Europe, plus de 70% des bébés avec ce syndrome sont avortés.

 
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Les parents de Carter et Connor Mirabal ont rejeté l’avortement après qu’ils aient appris que leurs fils seraient nés comme des jumeaux siamois (ils sont maintenant séparés avec succès).

 
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Aidan Peterson a été diagnostiqué avec une fente labiale. Beaucoup plus de bébés souffrant de cette condition, ainsi que de pieds bots, sont avortés, par rapport au nombre d’avortements qui sont déclarés. Les avorteurs incluent volontiers ces conditions parmi les « handicaps » ou les « anomalies fœtales » qui justifient un avortement.


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À bébé Jude on a diagnostiqué du nanisme. Ses parents continuent de faire la chronique de son incroyable parcours. On leur avait dit « d’avorter et essayer à nouveau ».

 
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Christian Buchanan avec sa mère Lacey. Il ne fut pas un nouveau-né typique, mais il a toujours été tout aussi précieux. L’histoire de Christian est devenue virale, grâce à une vidéo que sa mère a faite et publiée sur YouTube.

« Americans United for Life » explique l’énorme pourcentage de décès des bébés atteints d’une invalidité. (Il y a aussi d’innombrables histoires de bébés auxquels les médecins ont mal diagnostiqué une condition, ou dont la condition était beaucoup moins sévère qu’on avait dit aux parents. Combien d’enfants sont avortés suite à des mauvais diagnostics?)

Un récent article de AP annonçait que « certaines des maladies héréditaires les plus dévastatrices de l’humanité semblent être en déclin, et quelques-unes ont presque disparu, parce que plus de gens utilisent des tests génétiques pour décider s’ils veulent avoir des enfants ». Cependant, il n’est pas tout à fait exact de dire que les maladies sont en train de disparaître.  Plutôt, dans de nombreux cas, ce sont les enfants qui sont diagnostiqués avec la maladie qui « disparaissent ». Comme l’article le note, « plus de femmes subissent des tests, dans le cadre des soins prénatals de routine, et beaucoup de ces femmes décident de mettre terme à leur grossesse si une maladie est détectée ».

Et, il n’y a pas que les bébés qui sont atteints de maladies dont le diagnostic signifie presque toujours un décès précoce – comme l’anencéphalie – qui sont avortés. Il y a aussi ces bébés qui pourraient vivre une vie relativement longue. Par exemple, de nombreuses personnes atteintes de fibrose kystique peuvent maintenant vivre jusque dans leur trentaine. Et pourtant, selon une étude Kayser, 86,9 pourcent des bébés diagnostiqués avec la fibrose kystique ont été avortés; ce chiffre inclut 66,6 pourcent de bébés auxquels on avait prédit une forme mois grave de la maladie. (Notez que dans tous les cas, la gravité de la condition est prévue, mais les docteurs, en effet, font des mauvais diagnostics, en particulier en exagérant la gravité).

Le taux d’avortement des bébés atteints du syndrome de Down est également énorme. Des études plus récentes indiquent que le taux se situe entre 67 et 85 pourcent. Ceux-ci, aussi, sont des gens qui peuvent obtenir une éducation, et dans certains cas, occuper un emploi et même se marier ou vivre sans leurs familles dans un foyer de groupe ou un appartement spécial.

Bien sûr, aucune de ces capacités, l’âge lors de l’avortement potentiel, ou la durée de vie, est une détermination de la valeur de la vie de ces bébés. Qu’un bébé puisse vivre pendant quelques secondes ou pendant 90 années; qu’il ait été tout juste conçu ou il y a 20 semaines ne fait aucune différence dans le fait qu’il a droit à la vie. Un bébé atteint d’anencéphalie mérite de vivre tout autant qu’un bébé atteint du syndrome de Down.

Le point est simple : sauver la vie d’innombrables enfants diagnostiqués avec des maladies ou des handicaps n’est ni « cruel » ni « dégoûtant ». C’est tout au contraire, humain et juste de les sauver.

Voyons de nos propres yeux le genre d’enfant qui, selon les défenseurs de l’avortement, devraient être avortés. Après avoir vu ces précieux enfants, il ne devrait y avoir aucun doute que mettre fin à leur vie – et à la vie d’autres bébés comme eux – est ce qui est vraiment cruel et dégoûtant.



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