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Encore des avortements forcés en Chine...

Sur le site de 7sur7.be du 4 octobre 2013 :

 

(Liu Xinwen)

 

Un couple de Chinois témoigne du calvaire vécu vendredi dernier. Pour faire respecter la politique de l'enfant unique, la police a forcé une future mère enceinte de six mois à avorter.
Ce couple de jeunes Chinois a vécu un enfer vendredi dernier. Sur le coup de 4 heures du matin, 16 fonctionnaires de police ont débarqué chez eux pour forcer la jeune femme de 33 ans, enceinte de six mois, a avorté. La police a défoncé la porte de l'habitation du couple et Liu Xinwen a été transportée de force dans un hôpital de Frangzi dans la ville de Weifang. Elle y a reçu une dose de médicament destiné à tuer le bébé in utéro. Le bébé, un garçon, est mort le lendemain dans le ventre de la jeune femme. Il a fallu un jour de plus pour qu'il en sorte. 
 
Six jours après le drame, le couple a confié à Sky News "Je n'ai pas pu voir mon bébé. Mais je serais encore plus bouleversée si je l'avais vu."
 
Le couple, déja parent d'un garçon de dix ans, a été victime de la brutale politique de l'enfant unique en Chine. La loi est conçue pour maintenir la population du pays sous contrôle. Reste que si un couple conçoit un deuxième enfant, il est puni par des sanctions financières et non pas par un avortement forcé. Mais dans certaines provinces de Chine, certains responsables locaux font de l'excès de zèle. "Ils n'ont aucun humanité", confie la mère blessée. 
 
Le papa a pleuré en cachette quand il a appris que son enfant était mort. "Je ne voulais pas que ma femme me voit en larmes. Elle était si triste. Elle pleure jour et nuit. J'ai perdu mon enfant. Je suis sans voix, les mots ne peuvent pas décrire mes sentiments."
 
(...)

Pas un pays occidental ne dit mot...

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Excellente nouvelle : Ottawa ne financera pas l'élimination des enfants à naître à l'étranger

Sur le site du Journal Métro du 4 octobre 2013 :

 

 

(Pas d'argent canadien pour te détruire à l'étranger!)

 

 

OTTAWA – Le Canada ne financera pas l’avortement à l’étranger, même en cas de viol.
 
La semaine dernière, Ottawa a signé une déclaration internationale pour dénoncer le viol en temps de guerre. En même temps, le Canada faisait une sortie pour dénoncer les mariages forcés. Mais le ministre du Développement international, Christian Paradis, affirme que ces prises de position ne se traduiront pas en financement de services d’avortement pour les femmes victimes de viols ou de mariages forcés.
 
Le ministre Paradis prononçait un discours, vendredi matin, sur l’initiative de Muskoka, engagement pris au G8 de 2010 pour financer des projets améliorant la santé des mères, des nouveau-nés et des enfants dans les pays en développement.
 
Lors de l’annonce de cette initiative à laquelle Ottawa consacre 3 milliards $, le gouvernement Harper avait assuré qu’aucun de ces dollars ne servira à fournir des services d’avortement.
 
Aujourd’hui, M. Paradis se rapporte donc à cette initiative.
 
«Ça va probablement suivre la même logique que Muskoka. Je pense qu’on était clair sur ça», a-t-il expliqué après avoir dit que «non», Ottawa ne financerait pas des avortements pour les victimes de viols et de mariages forcés.
 
(...)
 
Selon lui, le Canada trouvera d’autres moyens pour aider les victimes de viol.
 
«Il y a sûrement d’autres mesures qui peuvent être prises et c’est là qu’il y a du travail en cours. Et on va évaluer, voir où est-ce qu’on peut venir en aide», a assuré le ministre.
 
(...)
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Brevet pour des bébés préparés sur mesure...

Sur le site de genethique.org du 4 octobre 2013 :

 

 

 

 

 

Le 24 septembre 2013, la société américaine 23andMe est parvenue "à faire breveter une méthode proposant aux parents de choisir certains traits spécifiques chez leurs enfants à naître" dans le cadre d'une procréation médicalement assistée. La méthode est la suivante: sélectionner des gamètes de donneurs en ayant recours à des calculs génétiques réalisés par ordinateur. 
 
A la suite de l'obtention de ce brevet, quatre auteurs européens (*) ont réagit en publiant un commentaire dans la revue Genetics in Medicine: "il est clair que sélectionner des enfants de la manière préconisée par la méthode brevetée par la société 23andMe est hautement discutable sur le plan éthique". Car concrètement, la méthode permet de sélectionner chez l'enfant, sa taille, son sexe, sa couleur des yeux, son développement musculaire, certains traits de sa personnalité ou encore le risque qu'il développe une dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA) ou certains types de cancers.
 
(...)
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L'euthanasie des mineurs sans leur consentement?

Sur le site de Pour une école libre du 3 octobre 2013 :

 

 

 

 

 

 

Sur la scène internationale, la Belgique a l’image d’un pays où l’on donne facilement la mort à ceux qui le demandent. L’euthanasie d’un transsexuel ne supportant pas son corps vient de défrayer la chronique. C’est dans ce contexte qu’est tombée hier une enquête montrant que les Belges sont massivement pour étendre le droit à l’euthanasie aux mineurs. Y compris sans leur consentement. Selon ce sondage commandé par la radio-télévision pu­blique fran­co­phone RTBF près de 90% des Belges sont « favorables » ou « plutôt favorables » à autoriser l’euthanasie pour les personnes souffrant de démences comme l’alzheimer. Et 75% pour les « mineurs incapables de donner leur consentement ». Par exemple des enfants ou ados plongés dans un coma prolongé ou un état végétatif. Le résultat a surpris y compris en Belgique. Car le pays s’apprête à « compléter » sa loi sur l’euthanasie datant de 2002. Les élus envisageaient d’inclure les mineurs « capables de discernement » et soutenus par leurs « représentants légaux » dans la loi. En envisageant les cas d’enfants atteints de cancers en phase terminale ou de très grands prématurés n’ayant plus aucune chance de survie. Mais ils n’avaient pas imaginé entrer en matière sur des mineurs dans l’incapacité de s’exprimer. D’autant que la loi belge est déjà une des plus libérales de la planète. Elle permet l’euthanasie active tandis que la Suisse n’autorise « que » le suicide assisté. Et admet que, si elle est «constante, insupportable et inapaisable» la « souffrance psychologique » est une raison suffisante pour une injection létale.  (...)

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Le gouvernement socialiste français veut censurer les informations sur l'avortement...

Sur le site de Valeurs Actuelles du 27 septembre 2013 :

(Najat Vallaud-Belkacem, ministre des « Droits des femmes »)

 

IVG. Najat Vallaud-Belkacem (photo) est en guerre : dans une lettre de saisine adressée le 5 avril dernier au Haut Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes, la ministre des Droits des femmes s’inquiète du fait que des « sites Internet d’information biaisée voire hostile à la pratique de l’IVG » existent. 
 
(...) Pour mieux museler ses opposants, le PS préconise en réponse, dans un amendement déposé par des sénateurs socialistes, et adopté en première lecture, l’étendue du délit d’entrave à l’IVG : le seul acte d’« informer » est désormais passible de la même peine correctionnelle — deux ans de prison — que celui d’exercer des « pressions morales et psychologiques ».

Le gouvernement socialiste français est dictatorial. Ce n'est pas une exagération. Si un telle loi est concrétisée, combien de défenseurs des enfants à naître pourraient être mis en prison?

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Pourquoi se soucier du suicide si l'on permet l'euthanasie pour des « souffrances insupportables »....

Sur le site du journal La Croix du 2 octobre 2013 :

 

(Un article de Dominique Quino, du journal La Croix)

 

 

 

(...)
 
Encore une fois, c’est un cas particulier, tragique, une histoire personnelle douloureuse qui alimente le débat, ou plutôt le non-débat. Une personne de 44 ans souhaitant changer de sexe, dont l’opération s’est mal passée, a reçu une aide à mourir, ses souffrances psychiques étant jugées « insupportables ». Une majorité de Belges – plus des trois quarts – se déclarent favorables à l’euthanasie pour des personnes souffrant psychologiquement, pour des mineurs très malades « en âge de discernement » (qu’est-ce à dire ?) et pour des personnes en état de démence (Alzheimer par exemple), incapables d’exprimer leur volonté.
 
Pourquoi donc s’alarmer du nombre des suicides chez les jeunes ou les vieillards, s’ils sont reconnus comme un droit qu’il faudrait accompagner ? À quoi bon se battre pour mieux prendre en charge la fin de vie – par le soin et le soutien moral – si l’euthanasie est posée comme une alternative ? Comment respecter la dignité de personnes que la maladie ou le handicap prive de leur discernement, s’il devient légal de décider que la mort, pour eux, est une solution ? La loi belge ne devrait pas être modifiée avant la fin de la législature, mais dans les esprits, le pas est franchi. Alors que la France doit réexaminer sa loi sur la fin de vie, comment ne pas s’inquiéter d’une telle évolution, d’une telle banalisation, une fois qu’a été levé l’interdit de donner la mort ?

Et au Québec, qui prend la Belgique pour modèle?

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La charte des « valeurs québécoises » ne règlera rien, selon l'éditorialiste André Pratte

Sur le site du journal La Presse du 3 octobre 2013 :

(Dalida Awada, représentante de l'Islam modéré, ou marginale ne représentant pas la communauté arabo-musulmane du Québec?)

 

 

Les partisans de la «charte des valeurs québécoises» espèrent qu'une fois affirmées les balises aux accommodements raisonnables et exclus les signes ostentatoires de la fonction publique, le «problème» de la cohabitation de la majorité avec les minorités religieuses sera réglé. Ils se trompent lourdement.
 
(...)
 
Chez ceux-là, très nombreux dans toutes les démocraties occidentales, la vue de tout signe religieux, surtout le voile, provoque l'inconfort, l'irritation, voire la colère.
 
Cette partie de la population sera satisfaite seulement lorsque les signes religieux auront été bannis de l'espace public.( ...)
 
Dans un avis publié la semaine dernière, la Commission nationale consultative des droits de l'homme rappelle que «la séparation des églises et de l'État ne doit pas être comprise comme visant à l'éviction hors de l'espace public de toute manifestation d'une conviction religieuse». L'organisme met en garde le gouvernement français contre la tentation d'étendre encore l'interdiction des signes religieux: «Il faut se prévenir de toute construction d'une "nouvelle laïcité" plus restrictive qui risque d'enfermer toute expression de la liberté religieuse dans la stricte sphère intime, ce qui serait attentatoire aux libertés fondamentales.»
 
(...) Les accommodements religieux continueront de susciter périodiquement la controverse. Cela étant, comme on ne saurait aller plus loin sur la voie de la violation des droits fondamentaux que ce qui a été proposé cet automne, l'information, le dialogue et la patience restent de loin les approches les plus prometteuses pour aborder ces questions délicates.
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49 enfants sauvés aux 40 Jours pour la Vie!

Sur le site de Riposte Catholique du 3 octobre 2013 :

(Partout à travers le monde, les 40 Jours pour la Vie. Ici, en Floride)

 

Au huitième jour de la campagne d’automne des 40 Days for Life, la coordination de cette campagne peut annoncer que 49 enfants à naître ont déjà été sauvés de l’avortement grâce aux prières qui convertissement les cœurs et au travail des “conseillers de trottoir”. Chacun peut soutenir par la prière ce formidable mouvement américain de défense de la vie à naître, lancé par des catholiques et devenu “œcuménique” dans sa composition. (...)

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Des partenaires de même sexe se séparent et se partagent les jumeaux qu'ils se sont fait fabriquer...

Sur le site de 24hactu.com du 27 septembre 2013 (via Famille Chrétienne) :

 

(David Tutera et son ancien partenaire se sont partagés des jumeaux...)

 

(...)
 
David Tutera, une célébrité hollywoodienne de seconde zone et son mari Ryan Jurica ont annoncé en début d’année leur divorce après plus de dix ans de mariage, et alors que le couple attendait des jumeaux par « surogate » comme la loi californienne le leur permet. En clair, les deux hommes ont fertilisé deux ovules d’une femme tandis qu’une autre a loué son ventre pendant neuf mois pour le plaisir de ces petits Frankenstein.
 
Là où l’histoire se complique (ou se simplifie), c’est que chacun de ces messieurs est le père biologique de l’un des enfants (qui ont chacun in fine quatre parents) et qu’à l’heure du divorce personne ne souhaite se faire de cadeaux. Les deux anciens maris ont donc décidé à l’amiable d’un partage à la Salomon des nouveaux-nés.
David Tutera récupère donc « sa » fille Cielo tandis que le petit Cedric grandira avec son papa biologique Ryan Jurica. Ironique quand même quand on prône le mariage homosexuel et l’homoparentalité au nom d’une abolition des lois naturelles. Ces dernières reviennent au galop un peu facilement quand il s’agit de justifier l’injustifiable : séparer des jumeaux à la naissance.
(...)
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Récit d'un avortement forcé : un terrible témoignage

Sur le site de forum.doctissimo.fr du 2 octobre 2013, ce témoignage d'une femme qu'on a obligée à avorter:

 

 

 

 

Bonjour, c'est mon premier sujet sur le forum donc je me présente. Je m'appelle Claire, j'ai 18 ans.
 
Le 31 juillet je me suis aperçu que j'étais enceinte après un retard de règle. J'étais heureuse, mais mon copain ne l'accepter pas. Il a changer d'avis et nous étions content. Je l'avais annoncer à ma mère, elle le prenait bien au début puis 2 semaines après elle ma mis à la rue après une dispute. Elle à mis au courant une amie de la mère de mon copain, qui ma ensuite appeler pour me dire qu'elle venait me voir à la maternité ( J'étais parties au planning pour avoir de l'aide, mais il était fermer donc je aller à la maternité ). Elle est arrivée, ma demander ce que je compter faire. Evidamment je lui est dit que je ne savais pas, vue que je savais qu'elle aller me faire tout un serment sur le fait d'avoir un enfant à mon âge. Elle ma dit de téléphoner à mon copain pour savoir ce qu'il voulait vraiment et il ma dit qu'il ne voulait plus du bébé. J'étais détruite, je lui en voulais terriblement !
Arriver dans la maternité on ma fait une echographie vaginal ( Je n'étais qu'à 6SA ) pour vérifier si il y avait bien une grossesse. Les parents de mon copain étant en vacance, mon copain a du les mettre au courant pour que je viennes chez lui. Le décisions était clair : TU AVORTES Je n'osais rien leurs dire, à leur retour j'ai laisser faire les choses. J'ai fais semblant de vouloir avorter pour ne pas être à la rue, et la mère de mon copain ne me laisser pas mon mot à dire. A chaque rendez vous elle voulait être dans la pièce. La personne qui s'occuper de moi a voulu que je fasse un avortement par aspiration moins 'tromatissant' qu'une fausse couche. J'ai laisser faire les demarches, ma belle mère regarder sans cesse les papiers, me disant de les remplir ect. Je l'ai fait, en me disant dans ma tête ' Ne t'inquiète pas, tu les prendras pas ses putains de cachets et tout ira bien pour le bébé'. Je me disputer avec mon copain assez régulièrement pour le garder, en vin.. Arriver la veille, 22h00 sa mère m'appelle pour mes cachets. J'ai fait semblant de les prendre et je me suis vite retourner pour monter en haut et les recrachet. Mon copain ma vite rattraper et j'ai cracher les cachets par terre. Ils m'ont remit les cachets dans un verre, je pleurer. Elle me sortait tout un serment 'ON ne peut pas le garder, on a pas les moyens, regardes t'as pas de situations, t'as rien' alors que s'était faux. J'ai de l'argents de côtés et ma mère aillant reprit de mes nouvelles voulait que je gardes le bébé. Je ne pouvais pas partir de chez mon copain comme il habite assez loin de chez moi et je n'ai pas de voiture et plus d'argent pour payer le train. Le matin je suis aller au planning. Au moment de reprendre les cachets je n'ai rien dit comme mon copain était dans la pièce avec moi et que j'avais peur qu'il aie le dire à sa mère. Que on me vire du planning car je ne voulais pas avorter...
 
On ma enmener au bloc, je pleurer et les medecins on dit que s'était juste l'appréhension. J'ai fait signe que non et ils m'ont endormi. Je me suis réveiller, j'ai senti du sang couler et j'ai vérifier ( désolé du moment grade ) j'ai commencer à pleurer en demandant qu'on me rende mon bébé, la femme me disait de me calmer car j'augmenter ma tension. J'ai essayer de me lever mais j'étais trop sonner et je n'avais pas de force. Quand ils ont vue que je n'arrêter pas d'appeler mon bébé et d'hurler dans la salle de réveille ils m'ont remit dans ma chambre et m'ont envoyer la psy ( celle qui s'occuper de moi pour les papiers ect ) et elle ma dit qu'elle avait bien vue que je ne voulais pas avorter, elle ma demander pourquoi je n'avais rien dit..
 
Cela fait 1 mois que j'ai avorter, je me sens détruite, je m'en veux, j'en veux à mon copain et à sa mère. Mon copain veut refaire un bébé en Juillet, mais moi je ne veux pas attendre. Le miens me manque tellement, je me sens si vide, si détruite. Je sais que je suis jeune, mais j'ai assez d'argent pour élever un enfant. Mon copain commence à travailler en Juillet prochain..
 
J'envie d'enlever mon sterilet ( Suite à l'avortement on m'en a mis un ) pour essayer de faire un bébé, sans le dire à mon copain. Je sais que c'est dégueulasse de faire ça, mais lui ce qu'il ma fait et tout autant dégueulasse...Bien sur j'ai pensé à mon petit bout, mais peut-être que mon copain restera si il fait enfin face à sa mère...
 
J'ai besoins d'avis, je ne sais plus quoi faire. Je pètes les plombs sans mon petit bout...
 
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