M'INSCRIRE
DONNER

Joignez-vous au mouvement

CQV défend la personne humaine, de la conception à la mort naturelle.

ou

×

Quatre forums généraux sur l'hypersexualisation des jeunes filles au Québec

Sur le site de Radio-Canada du 20 janvier 2014 :

(La ministre Agnès Maltais. Photo : CKRL MF 89,1 sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

La ministre responsable de la Condition féminine, Agnès Maltais, considère que l'espace public est truffé d'images « réductrices de la femme ». Selon elle, l'intégration de cette vision hypersexualisée entraîne des conséquences sur la santé psychologique, physique et sexuelle des jeunes filles et des adolescentes.

Avant de faire des propositions pour lutter contre les effets pervers de cette hypersexualisation, Québec souhaite se documenter davantage et obtenir des pistes d'action. (...)

Laissez un commentaire

Interview d'Ignacio Arsuaga, le président de HazteOir, une « plateforme citoyenne » d’action en faveur de la vie

Sur le site du Salon Beige du 21 janvier 2014 :

(Photo  d'Ignacio Arsuaga : HazteOir.org sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

Comment avez-vous fait pour que les choses changent en Espagne ?

La première chose à faire, c’est de montrer la dure réalité de l’avortement. Les gens doivent prendre conscience de ce que cela signifie : mettre fin à la vie d’un être humain innocent de manière cruelle et violente. Il faut aussi montrer que la femme est elle-même victime de l’avortement : la première victime est l’enfant, mais la deuxième, c’est bien elle. Il faut aussi montrer ce qu’est le business de l’avortement.

A cela doit s’ajouter une importante mobilisation sociale et beaucoup de communication afin de créer un débat social.

Pour nous, il y a eu un autre facteur important : la décision du gouvernement Zapatero de mettre en place l’avortement libre. C’est lui qui a déclenché le débat. En France, vous avez maintenant la même chose avec les nouvelles dispositions proposées par le gouvernement Hollande. Si nous, les pro-vie, nous sommes présents, et que nous faisons entendre notre message, au moyen d’une communication moderne que les gens puissent comprendre, l’opinion peut basculer en faveur de la vie, et contre l’avortement. [...]"

Ce n'est qu'une question de temps avant que la majorité de la population au Québec et au Canada prenne conscience de l'humanité de l'enfant à naître.

Laissez un commentaire

Réplique du président équatorien à l'ONU sur ses politiques restrictives sur l'avortement : « ... occupez-vous de vos affaires »

Sur le site de medias-presse.info du 20 janvier 2014 :

(Le président Rafael Correa. Photo : Presidencia de la Republica del Ecuador sur flickr.com, licence creative commons)

 

Le président équatorien Rafael Correa a répondu samedi à l’ONU qui demandait des explications à l’Equateur sur le fait que l’avortement restait pénalisé dans le nouveau code pénal du pays .

« Messieurs, occupez-vous de vos affaires et non de celles d’un pays souverain », a répliqué Rafael Correa.

Le nouveau code pénal, approuvé à l’Assemblée et partiellement voté par l’Exécutif indique que l’avortement est autorisé uniquement dans des cas très limités de viol de personnes handicapées, ainsi que dans les cas où la vie de la mère est en danger.

Laissez un commentaire

URGENT : Le vote sur le projet de loi 52 (euthanasie) aura lieu le 11 février

Le vote sur le projet de loi 52 permettant l’euthanasie se fera le 11 février 2014

(Photo : Abode of Chaos sur flickr.com, licence creative commons)

Catherine Ferrier MD, Présidente, Collectif des médecins contre l’euthanasie ; Marc Beauchamp MD, Président, et Nicolas Steenhout, Directeur général, deVivre dans la Dignité | 2014-01-18

 

Le vote à l’Assemblée nationale sur le projet de loi 52, qui permettrait l’euthanasie, se fera le 11 février 2014 ou dans les jours qui suivent. La commission a terminé jeudi l’étude « article par article » du projet de loi.  Le gouvernement a refusé toute tentative de définir la « fin de vie ». Ce fait révèle clairement les intentions derrière ce projet. On veut permettre l’euthanasie en fin de vie, sans définir ce qu’est la fin de vie : cela ouvre la porte à l’euthanasie sur demandeNous voulons empêcher l’adoption de ce projet de loi. Plusieurs parmi vous ont déjà parlé ou rencontré leur député à ce sujet : félicitations ! Si vous n’avez encore jamais rencontré votre député, nous vous encourageons à le faire maintenant et rapidement ! Si vous préférez le/la rencontrer avec d’autres personnes, veuillez répondre à ce courriel. Nous mettrons en contact les personnes intéressées vivant dans la même circonscription. Veuillez nous envoyer l’information suivante :

·         Prénom et nom ;

·         Adresse courriel ;

·         Circonscription électorale ;

·         Êtes-vous médecin ? Sinon quelle est votre profession ?

Demandez une réponse rapide pour une rencontre avant le 11 février. Insistez : appelez par téléphone si on ne répond pas à vos courriels. N’acceptez pas un refus de vous rencontrer. Si vous ne pouvez pas rencontrer votre député, vous pouvez lui envoyer une lettre (qui est plus efficace qu’un courriel) ou demander à lui parler par téléphone. Pour trouver les coordonnés de votre député :http://www.assnat.qc.ca/fr/deputes/index.html#listeDeputes  Pour trouver votre circonscription électorale :

http://www.electionsQuébec.qc.ca/francais/provincial/carte-electorale/trouvez-votre-circonscription-2011.php

 

Soyez clair dans votre échange avec votre député : vous voulez qu’il vote contre le projet de Loi 52. Invitez votre député à prendre conscience de la grave responsabilité qui pèse sur ses épaules avec ce vote sur le projet de loi 52Si cette loi est adoptée, le Québec sera un endroit où la vie de toutes les personnes âgées, en situation de handicap ou atteintes de maladies chroniques ou terminales ne sera plus protégée par la loi. Des personnes vulnérables seront tuées. Ces mises à mort tragiques, sous pression de l’environnement ou accidentelles, se multiplient dans les pays où l’euthanasie est légale. Ceux qui voteront en faveur de ce projet de loi 52 seront responsables de ces morts ainsi que d’un changement profond dans notre société. Ce vote ne peut dépendre de considérations partisane ou politique. Il s’agit d’un choix de société. Vous pouvez télécharger le texte du projet de loi 52, et la liste des amendements faits par la commission, du site Web de l’Assemblée nationale aux adresse suivantes :

·         http://www.assnat.qc.ca/fr/travaux-parlementaires/projets-loi/projet-loi-52-40-1.html

·         http://www.assnat.qc.ca/fr/travaux-parlementaires/commissions/CSSS/mandats/Mandat-24447/index.html

Les mémoires présentés par Vivre dans la dignité et le Collectif des médecins à la commission en septembre se trouvent ici :

·         http://vivredignite.com/documents/13-09-25-memoire-vdd.pdf

·         http://vivredignite.com/documents/13-09-24-collectif-refus-medical-memoire.pdf

 

Aussi :

·         YouTube, colloque mai 2013 (en français et en anglais): http://www.youtube.com/user/Collectifmed

·         La Presse : pièce d'opinion juin 2013: http://www.lapresse.ca/debats/votre-opinion/201306/14/01-4661457-immoral-et-inconstitutionnel.php

Vous pouvez aussi communiquer avec nous pour avoir de l’aide pour préparer votre rencontre, si vous le voulez.

Deuxièmement, nous vous proposons d’écrire aux journaux :

·         Journal de Montréal: [email protected]  

·         Journal de Québec: dcharette@journaldeQuébec.com

·         Journal de Sherbrooke:  redaction.sherbrooke@hebdosQuébecor.com

·         Journal La Presse: [email protected]

·         Journal La Tribune: [email protected]

·         Journal La Voix de l'Est : [email protected]

·         Journal Le Devoir: [email protected]  

·         Journal l'Express de Drummondville: [email protected]

·         La Presse http://www.lapresse.ca/contact/quotidien/contact-lesoleil.php

La plupart acceptent 400 mots au maximum, mais même un texte très court peut être envoyé.

Collaborons tous pour opposer une loi inacceptable !

ARGUMENTS

 

« Aide médicale à mourir »

La définition suivante a été adoptée dans le projet de loi : « Un soin consistant en l’administration d’un médicament ou d’une substance par un médecin à une personne en fin de vie à la demande de celle-ci dans le but de soulager ses souffrances en entrainant son décès. » Cette définition introduit une notion dangereuse. Elle décrit un acte comme étant un soin, mais en fait, cet acte vise la mort d’une personne. Tuer n’est pas un soin. Ceci redéfinit le concept de soin d’une manière inacceptable qui va à l’encontre de la définition de soins dans le monde entier.

 

Le choix est illusoire

Le gouvernement parle d’offrir l’autonomie aux patients, pour qu’ils puissent choisir eux-mêmes le moment de leur mort. L’idée de choix dans de telles circonstances est une illusion. Il est impossible de s’assurer qu’un patient ne soit pas l’objet de pressions, directes ou indirectes. Une personne pourrait aussi ne pas vouloir être un fardeau pour leur famille, chose assez courante chez les personnes âgées. « Choisir » la mort n’est pas un vrai choix. Encore moins quand il y a autant de Québécois et Québécoises qui n’ont pas accès à des soins de qualité en fin de vie.

 

La « fin de vie » est indéfinissable

Est-ce que la « fin de vie » est 48 heures avant la mort ? Ou est-ce une semaine ? Ou même 2 semaines avant la mort ? Est-ce 3 mois, ou 6 mois ? L’article 26 du projet de loi dit maintenant qu’un des critères d’admission à l’« aide médicale à mourir » est qu’il faut être en fin de vie. Mme Hivon nous dit qu’il est difficile de définir la fin de vie, et c’est pourquoi ils n’incluent pas de définition dans le projet de loi. Mais sans une telle définition, il y aura des abus. Qu’en serait-il d’une personne non traitée considérée en phase terminale d’une maladie, mais qui avec traitement vivrait une douzaine d’années de plus ? Et puis, les diagnostics peuvent être erronés. Il n’est pas inusité d’entendre parler de cas ou une patiente se fait dire qu’elle n’a que quelques mois à vivre, mais qui avec de bons traitements continue une belle vie pendant des années.

 

Extension probable

Les mineurs et les personnes inaptes ne sont pas inclus dans le projet de loi tel que libellé, mais ça peut toujours changer. Même si le projet de loi est adopté sans les inclure, il est fort probable que d’ici quelques années ces groupes très vulnérables seraient inclus. Le projet de loi 52 est modelé après la loi belge. Dix ans après l’adoption de la loi permettant l’euthanasie, la Belgique est à deux doigts d’ouvrir l’euthanasie aux enfants et aux personnes inaptes. Au Québec, le Collège des médecins du Québec et la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse ont déjà recommandé l’inclusion des mineurs et des personnes inaptes dans le projet de loi 52. Il est naïf de penser que dans telles circonstances le Québec ne mettrait pas en œuvre de telles extensions.

 

Pas de vraie protection de liberté de conscience pour les médecins

Si un médecin refuse, pour quelque raison que ce soit, d’administrer une « aide médicale à mourir », il devra aviser le directeur général de l’établissement où il pratique, qui devra alors trouver un médecin prêt à administrer l’« aide médicale à mourir ». Le médecin qui s’oppose saura bien que son objection ne protégera pas le patient.

 

Le contrôle sera difficile

Le projet de loi 52 prévoit qu’un médecin doit aviser la Commission sur les « soins de fin » de vie dans les dix jours suivant l’administration de l’« aide médicale à mourir ». Ceci est un peu comme si l’on éliminait la police routière et l’on demandait aux conducteurs d’appeler un numéro 800 pour dire s’ils ont fait de l’excès de vitesse ou s’ils étaient saouls au volant. Les médecins qui abuseraient le système ne rapporteraient pas leurs abus. Cet avis ne peut contenir aucune information qui puisse être liée à une personne ayant reçu de l’« aide médicale à mourir ». La Commission sur les soins de fin de vie pourrait exiger des détails tels que des états, données.

 

Pour plus d’information : http://www.vivredignite.com   et   http://refusmedical.blogspot.com

Laissez un commentaire

Pour les «pro-choix» français, l'avortement est la seule réponse possible aux questionnements d'une femme enceinte

Sur le site de Paris-catholique, cette réflexion  du philosophe Matthieu Villemot et du théologien Brice de Malherbe, sur les changements que le gouvernement socialiste tente d'imposer à la population :

(Photo de Najat Vallaud-Belkacem, Ministre du « droit des femmes » du gouvernement socialiste français. Elle veut restreindre l'information objective sur l'avortement pour privilégier l'information fournie par le gouvernement socialiste.)

(Photo : Parti Socialiste du Rhône sur flickr.com, licence creative commons)

(...)D’autre part, l’élargissement du délit d’entrave revient à diminuer fortement les possibilités d’échange ouvrant à l’alternative de garder l’enfant. C’est en fait voler à la femme concernée la liberté de s’adresser à quelqu’un dans la situation d’ambivalence où elle se trouve si souvent face à sa grossesse. Finalement, d’une tolérance, puis d’un droit, l’avortement tend à devenir la seule réponse supportable aux questionnements des femmes enceintes, presque un devoir. Banaliser l’avortement dans le droit et vouloir réduire au silence tout questionnement sur cette pratique revient à combiner pour le pire les excès du libéralisme et du socialisme : d’une part l’individu impose ses désirs à la collectivité quelles qu’en soient les conséquences, de l’autre on use de la puissance étatique pour forcer les consciences à se lier à l’idéologie dominante.(...)

Laissez un commentaire

Des auteurs de pornographie écrivent pour la jeunesse et se retrouvent dans les bibliothèques scolaires.

Sur le site du Journal de Montréal du 20 janvier 2014 :

(Des livres érotiques, versions adolescentes, de l'auteur pornographique Marie Gray (Histoires à faire rougir) se trouvent dans nos bibliothèques scolaires.)

(photo : Yves Lacombe sur wikimedia.org, licence creative commons)

 

 

Outrées de ce que leurs enfants peuvent parfois lire à l’école primaire, deux mères ont lancé un site internet pour sensibiliser les parents et les professeurs aux livres dans lesquels pourraient se trouver des passages à connotation sexuelle. (...)

«Ces livres montrent des comportements plus vieux et plus matures que nos enfants. Ça leur donne des idées, ça entre à l’intérieur et ça les bouleverse», a commenté Nicole.

Parmi les titres qu’elles montrent du doigt se trouvent entre autres Le blogue de Namasté, Le journal d’Aurélie Laflamme et la série Pandora. (...)

La sexologue Geneviève Labelle n’était pas étonnée d’apprendre que des livres dans lesquels il est explicitement question de sexe se retrouvent à l’école primaire. (...)

Des lectures trop explicites pourraient affecter la construction de la sexualité des enfants, d’après la sexologue.

Laissez un commentaire

Interview du Maire Jean Tremblay sur la poursuite du Mouvement laïque québécois contre l'identité québécoise catholique

à voir :

 

//www.youtube.com/embed/aKnvAeqRv80

Laissez un commentaire

Rompre le silence : un nouveau site de témoignages sur le syndrome post-avortement

Sur le site de Rompre le silence :

(Photo : gillesklein sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

 

La démarche “Rompre le Silence“ est menée par les femmes et les hommes ayant fait l’expérience de l’avortement. Elle vise à exposer publiquement les effets dévastateurs de L’IVG tels que nous les avons expérimentés. Elle cherche à guérir la douleur émotionnelle et physique de l’avortement en rompant le silence et le secret à ce sujet.

En France, nous sommes 4 personnes à introduire la campagne: 2 femmes et un couple. Nous avons d’abord commencé à témoigner individuellement puis publiquement de notre expérience douloureuse de l’avortement et de notre chemin de guérison. Puis, face au silence et au secret qui entoure la question du traumatisme post-avortement en France, nous avons vu l’intérêt d’agir de manière concertée avec d’autres personnes post-abortives en France et dans le monde. Nous avons choisi de relayer la campagne internationale Rompre le Silence présente dans une dizaine de pays. Nous avons pu bénéficier de l’avance prise dans d’autres pays par les personnes post-abortives pour s’entraider, créer des groupes de rétablissement post-avortement et rompre le silence sur les conséquences négatives de leur avortement.

Quels sont les buts de la démarche Rompre le Silence?

Tendre la main à celles et ceux qui souffriraient après une IVG, les encourager à suivre des programmes de rétablissement post-IVG, inviter au témoignage ceux qui se sentiraient prêts à dire la vérité sur les conséquences négatives de l’ivg et leur chemin de guérison.

Éduquer le public sur le fait que l’avortement blesse physiquement, émotionnellement et spirituellement en espérant qu’il sera un jour inacceptable de conseiller l’IVG pour résoudre une grossesse non planifiée.

Partager notre expérience de souffrance et de guérison post-IVG  pour éviter à d’autres de souffrir de l’avortement.

Laissez un commentaire

Article pro-avortement sur un site internet soutenu par Pharmaprix

Sur le site de femmesensante.ca, soutenu par Pharmaprix, ce témoignage en faveur de l'avortement qui commence ainsi :

(Photo : il.irenelee sur flickr.com, licence creative commons)

Dans un des groupes de discussion de la version anglaise du Club, une femme a demandé s’il existait des groupes de soutien destinés aux femmes souffrant du syndrome post-avortement. Elle se disait aux prises avec ce dernier et voulait savoir à qui elle pourrait se confier afin de composer avec sa culpabilité. (...)

Laissez un commentaire

Succès de la Marche pour la Vie à Paris : 40 000 personnes ont défilé aux cris de Viva Espana!

Sur le site du Salon Beige du 20 janvier 2014 :

(Photo : Le Salon Beige)

 

 

Les Français ont répondu en grand nombre  à l’appel du collectif  En Marche pour la Vie, ce dimanche 19 janvier. Venus de toute la France, ils étaient près de 40.000 selon le système de comptage mis en place (évaluation de 16h30). Ce chiffre est un record pour ce rendez-vous annuel organisé depuis dix ans. Il est vrai que le soutien de deux personnalités emblématiques a signifié l’importance de cette marche : le Pape François et Jane Roe, égérie de la légalisation de l’avortement aux Etats-Unis (arrêt de la Cour suprême de 1973 Roe /Wade.

(...)

Notons une présence exceptionnelle de personnalités et délégations venues de toute l’Europe (Italie, Pays-Bas, Pologne, Hongrie, Irlande, Portugal, Allemagne…). L’Espagne où un projet de loi sera prochainement voté pour restreindre l’avortement, avait une forte délégation de députés, sénateurs et représentants des grandes associations familiales et pour le respect de la vie. Aujourd’hui, il y a indéniablement un mouvement en Europe qui rappelle que l’avortement est d’abord « une violence à limiter » et non « une liberté ». Ce revirement en faveur de la vie était bel et bien visible dans les rues de Paris.

Cécile Edel, porte-parole de la Marche pour la Vie affirme : « Cette Marche 2014 montre que l’espoir a changé de camps. L’idéologie libertaire qui nous a imposé l’avortement  comme un droit est maintenant en recul. Dans le conflit qui oppose le droit de l’enfant conçu et le droit de la femme, les regards se portent aujourd’hui enfin sur le pus faible : l’enfant conçu pas encore né. Si les responsables politiques veulent renouer avec les Français, ils doivent d’abord regarder la réalité, il y a trop d’avortements en France. L’Espagne nous montre un chemin de progrès»."

Laissez un commentaire