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Jordan Peterson reproche à Doug Ford de s’être rangé du côté des « mutilateurs d’enfants »


Doug Ford.

Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie

14 février 2024 (LifeSiteNews) — Le Dr Jordan Peterson, psychologue canadien bien connu, a accusé le premier ministre de l’Ontario Doug Ford de se ranger du côté des « mutilateurs d’enfants » pour avoir refusé de présenter une loi semblable à celle que la première ministre de l’Alberta Danielle Smith s’apprête à adopter et qui interdira aux médecins de procéder à la « transition » chirurgicale ou chimique d’enfants.

« Vous devriez avoir honte de vous @fordnation », a écrit M. Peterson sur X (Twitter) dimanche, dans un message qui comprenait un lien vers un rapport du Toronto Star expliquant pourquoi M. Ford a choisi de ne pas suivre l’exemple de Mme Smith.

« Je dis cela en sachant très bien que vous êtes préférable à vos alternatives politiques, mais c’est un acte de lâcheté inexcusable ».

Peterson a ensuite poursuivi en disant à Ford : « Vous avez littéralement pris le parti des mutilateurs d’enfants au nom d’une fausse compassion qui déteste tout ce que vous et les conservateurs représentez hypothétiquement ».

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Au-delà de la modernité stérile et du tribalisme désespéré : la royauté sociale du Christ

Par Georges Buscemi, président de Campagne Québec-Vie

Au printemps 2019, je me trouvais à New York pour assister à la 63e réunion de la Commission de la condition de la femme des Nations Unies. Faisant partie d’un contingent pro-vie et pro-famille, j’étais là pour documenter les travaux et neutraliser, dans la mesure de mes moyens, les effets d’une conférence qui, au fil des ans, est devenue de plus en plus un moyen de promouvoir l’avortement, l’« éducation sexuelle » perverse et les idéologies féministes derrière un écran de mots technocratiques à la mode, comme « santé sexuelle et reproductive », « éducation complète », « égalité des sexes » et « développement durable ». Lors de cette conférence, qui s’est déroulée pendant deux semaines et à laquelle ont participé des centaines de délégués du monde entier et des milliers d’activistes, des dizaines de conférences ont été organisées tout au long de ces quelques jours dans des lieux situés à l’intérieur et à l’extérieur des bâtiments de l’ONU. Les discussions auxquelles j’ai assisté étaient généralement organisées de la manière suivante : un pays occidental riche et technologiquement développé (Suède, Finlande, Royaume-Uni, etc.) était associé à un pays pauvre et sous-développé (Somalie, Tanzanie, etc.) et accompagné d’un département des Nations unies (ONU Femmes, Fonds des Nations unies pour la population, etc.). Quel que soit l’objectif prétendu de ces discussions, il me semble que leur but réel était d’intimider et de faire honte aux pays pauvres pour qu’ils adoptent des attitudes libérales « éclairées » à l’égard de la vie, du sexe, de la religion et des relations entre les genres, en échange d’argent. Lors de l’une de ces conférences, j’ai vu un représentant de la Suède affirmer devant son homologue éthiopien (dont les lois sur l’avortement sont encore relativement restrictives) sa fierté de « représenter un gouvernement féministe », sa conviction que la « santé sexuelle et reproductive » (lire : l’avortement et la contraception) devrait être garantie, et son inquiétude quant aux « normes masculines destructrices ». Ce qui a vraiment retenu mon attention, cependant, c’est lorsque le représentant suédois a momentanément exprimé des doutes quant au succès futur de la diffusion de son modèle d’illumination libérale. « Car », a-t-il dit, tandis que son visage s’assombrissait momentanément, « un vent froid souffle désormais sur le monde », un vent qui menace de renverser toutes les avancées libérales en matière de « changement climatique », de droits des femmes et de démocratie. Mais quel est ce « vent froid » qui souffle sur la surface de la planète et qui inquiète tant le diplomate suédois ?

Une autre conférence tenue quelques semaines plus tard à Vérone, en Italie, pourrait en donner la clé. Lors de cette conférence organisée en partie par les autorités locales et nationales, un universitaire américain sympathique et personnalité montante de YouTube, Steve Turley, a lui aussi parlé d’un « vent de changement » balayant le monde. Mais pour lui, ce vent est aussi vivifiant et stimulant qu’il est glaçant et mortifiant pour le diplomate suédois et l’ordre mondial libéral qu’il représente. Turley, qui s’est donné pour mission, par le biais d’émissions sur sa chaîne YouTube, de décrire et d’intensifier ce qu’il perçoit comme un phénomène positif, le résume ainsi : le monde se révolte contre la méthode « taille unique » de gouvernance mondiale de la modernité par le biais d’une réaction à trois facettes : le populisme, le nationalisme et le traditionalisme. Cette réaction tripartite est déclenchée par trois inquiétudes interconnectées engendrées par l’ordre mondial globaliste : l’insécurité financière (les emplois partent vers le tiers-monde), l’insécurité frontalière (les migrants inondent et modifient rapidement les nations d’accueil) et l’insécurité culturelle (provoquée par les divertissements et les marques du plus petit dénominateur commun mondialisé, le libéralisme, l’indifférentisme religieux, la perte des coutumes et des formes de vie locales, etc.) Le populisme exprime la colère de la population contre une élite dirigeante qui l’a trahie non seulement en refusant de répondre de manière adéquate à ces trois préoccupations, mais en les exacerbant année après année (cf. la décision de la chancelière Angela Merkel d’ouvrir les vannes à des centaines de milliers de migrants en 2015). Le populisme cherche donc à court-circuiter la bureaucratie ou les représentants dûment désignés pour obtenir des résultats. Le vote américain pour Donald Trump est emblématique de cette tendance, de même que le vote du Brexit en 2016. Le nationalisme peut être compris comme un désir d’affirmer la souveraineté nationale face à une tendance croissante à l’immigration, qui inonde les marchés locaux d’une main-d’œuvre bon marché, entraînant une baisse des salaires et, en fin de compte, de la qualité de vie. Enfin, 3) le traditionalisme, ou la « retraditionalisation » comme l’appelle Turley, est un processus par lequel les nations refusent de s’assimiler à l’uniformité criarde d’un monde Coca-Cola/Walmart/McDonald’s en renouant avec leurs anciennes traditions culturelles et religieuses.

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La crise de la foi et de la vie exige des bergers francs et non des « chiens muets », déclare Mgr Aillet


Mgr Marc Aillet, évêque de Bayonne.

Par Louis Knuffke — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : KTOTV/YouTube

9 février 2024, Bayonne, France (LifeSiteNews) — Un évêque français connu pour son orthodoxie a fait l’éloge des évêques américains en tant qu’exemples de franc-parler face à une profonde crise de foi au sein de l’Église, une crise qui, selon lui, rappelle la grande apostasie qui sera observée à l’âge de l’Antéchrist.

Dans une récente entrevue accordée au National Catholic Register, Mgr Marc Aillet, évêque du diocèse de Bayonne, Oloron et Lescar, dans le sud-ouest de la France, a déclaré qu’aujourd’hui « la vérité elle-même est menacée, et avec elle l’humanité tout entière ».

Insistant sur la nécessité pour les évêques de s’exprimer en tant que véritables bergers des âmes et déplorant le silence de tant d’évêques français sur les questions de foi, Mgr Aillet a fait l’éloge des évêques américains qui élèvent leur voix pour défendre des questions telles que le caractère sacré de la vie et qui sont présents à la Marche pour la vie qui a lieu chaque année à Washington, D.C.

« Lorsque je me suis rendu aux États-Unis, j’ai constaté que les paroisses avaient des services spécifiquement consacrés à la dignité de la vie et qu’un nombre important d’évêques participaient à chaque Marche pour la vie, ce qui n’est pas le cas en France ou ailleurs ».

« On peut dire que beaucoup de leurs évêques ne sont pas des “chiens muets” », a ajouté Mgr Aillet. Exprimant son espoir de voir les évêques français suivre leur exemple, il a poursuivi : « peut-être peuvent-ils nous encourager, nous les évêques français, à aboyer un peu plus fort ».

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Le Canada de Trudeau se classe troisième sur la liste des pays occidentaux persécutant les chrétiens


Justin Trudeau.

Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pete Baklinski/LifeSiteNews

(LifeSiteNews) — Le Canada est troisième sur la liste des nations occidentales persécutant les chrétiens, sous la direction du premier ministre Justin Trudeau.

Selon un rapport publié le 31 janvier par le Center for Religious Liberty du Family Research Council (FRC), le Canada se classe au troisième rang des pays occidentaux qui persécutent les chrétiens pour leur foi.

« Ces histoires sont alarmantes et montrent les diverses façons dont les gouvernements occidentaux — qui devraient être les porte-drapeaux de la défense de la liberté de religion et d’expression — sapent le droit humain fondamental à la liberté religieuse », a déclaré Arielle Del Turco, auteur du rapport et directrice du Center for Religious Liberty du FRC, dans un communiqué de presse.

« Ce rapport sert d’avertissement sur la façon dont les libertés fondamentales peuvent s’éroder même dans les démocraties occidentales », a-t-elle poursuivi. « La liberté de religion doit être protégée dans notre pays afin que nous puissions également défendre la liberté de religion dans le monde entier et défendre les personnes persécutées ».

Le rapport, intitulé « Free to Believe ? The Intensifying Intolerance Toward Christians in the West » [Libres de croire ? L’intolérance croissante à l’égard des chrétiens en Occident], documente 168 incidents de persécution ou de discrimination injuste à l’encontre de chrétiens dans 16 pays entre 2019 et 2023.

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Une petite fille sauvée par la première boîte à bébé Safe Haven du Missouri quelques heures après sa naissance


Boîte à bébé Safe Haven.

Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Facebook

13 février 2024, Saint-Louis (LifeSiteNews) — Le Missouri a récemment enregistré son premier bébé sauvé par l’installation de sa première boîte à bébés Safe Haven, où une petite fille a été remise en toute sécurité à une caserne de pompiers et a rapidement reçu des soins.

Les boîtes à bébés « Refuge sûr » sont conçues pour permettre aux mères de déposer leurs bébés en toute sécurité et dans l’anonymat dans un endroit sûr où ils seront pris en charge et placés dans une famille consentante. Elles sont équipées de chauffage, de climatisation et d’alarmes silencieuses pour garantir que le bébé soit rapidement pris en charge après son placement. Une fois le bébé déposé, la boîte se verrouille à l’extérieur afin que les passants ne puissent pas le prendre ou lui faire du mal.

Bien que les détails exacts varient d’un endroit à l’autre, chaque État dispose d’une loi sur les lieux de refuge en vertu de laquelle les mères qui ont décidé qu’elles ne voulaient pas ou ne pouvaient pas élever leur bébé peuvent le laisser dans certains lieux où travaillent des professionnels qualifiés, tels que les casernes de pompiers, les hôpitaux ou les commissariats de police, sans craindre de sanctions légales et sans qu’on ne pose de questions.

Live Action rapporte qu’une petite fille âgée de quelques heures seulement a récemment été remise à la caserne de pompiers de Mehlville, où la première et jusqu’à présent unique « Boîte à bébé » du Missouri a été installée en août dernier. L’enfant a rapidement été emmenée dans un hôpital voisin, où elle a été jugée en bonne santé.

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Une vidéo hilarante montre à quel point il est facile de démystifier la propagande transgenre


Socrate.

Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Tloutakos/Wikimedia Commons

5 février 2024 (LifeSiteNews) — Une vidéo publiée sur X (Twitter) par Lee Harris, le commentateur de GB News, dans laquelle un enseignant interroge calmement un élève sur les raisons pour lesquelles il pense que J.K. Rowling est « transphobe », est devenue virale, accumulant 36 millions de vues et 36 000 rediffusions. La vidéo dure un peu plus de quatre minutes et mérite qu’on s’y attarde :

L’élève demande au professeur s’il aime toujours le travail de Rowling « malgré ses opinions intolérantes ».

« Mais soyons précis. Définissons les “opinions intolérantes”. Quelles sont les opinions intolérantes ? », répond l’enseignant. « Il s’agit d’une expérience de pensée. Je ne vais pas dire ce qui est bien ou mal ou ce qu’il faut penser. L’objectif est d’apprendre à penser, pas de savoir ce qu’il faut penser. Oui, lorsque vous dites “intolérantes”, vous partez de la conclusion suivante : “étant donné ses opinions intolérantes”. Commençons donc par demander si elle a des opinions intolérantes. Ainsi, lorsque vous dites “opinions intolérantes”... »

L’élève : « J’ai entendu dire qu’elle était extrêmement transphobe ».

Enseignant : « Vous avez entendu, et alors ? Pouvez-vous me donner un exemple ? »

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Elle a perdu quatre frères et sœurs à cause de l'avortement — aujourd'hui, elle est pro-vie

Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : studentsforlife/Instagram

Lors de la Marche pour la Vie à Washington, le mois dernier, une femme a défilé en tenant une pancarte sur laquelle on pouvait lire : « Quatre de mes frères et sœurs ont été avortés. Choisissez la vie ». Elle s'est arrêtée pour raconter son histoire à Students for Life of America, et celle-ci a été partagée sur les comptes de médias sociaux du groupe pro-vie.

Élevée dans un milieu "pro-choix, pro-avortement", elle a expliqué qu'elle avait dû réfléchir à la question de l’avortement provoqué lorsqu'elle a appris que chacun de ses parents avait perdu deux enfants par avortement à des moments différents.

« Je marche pour mes quatre frères et sœurs », explique-t-elle, « parce qu'il n'y a pas de tombe. Il n'y a aucun endroit où déposer des fleurs. Ils n'ont pas de nom, pas de date de naissance, pas de date de décès. Ils n'ont donc pas eu de voix ».

Elle a déclaré qu'à l'adolescence, son père avait deux amies qui s'étaient fait avorter. Il lui en a parlé lorsqu'elle avait une vingtaine d'années et ils ont eu une conversation franche sur l'avortement. Elle a ajouté qu'il lui avait également parlé des deux avortements que sa propre mère avait subis. Le premier avortement a eu lieu avant sa conception et a été pratiqué parce que sa mère estimait à l'époque qu'elle « n'était pas prête » à avoir un enfant. Le second avortement a été pratiqué entre trois et six mois après que sa mère l'ait mise au monde.

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La loi néerlandaise autorisant l'euthanasie des enfants entre en vigueur

Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik

Le 1er février, une loi néerlandaise autorisant l'euthanasie des enfants en phase terminale est entrée en vigueur. Cette loi légalise l'euthanasie des enfants âgés de 1 à 12 ans qui sont considérés comme « souffrant désespérément et de manière insupportable ».

Auparavant, le pays autorisait l'euthanasie des enfants de plus de 12 ans, ainsi que des nourrissons de moins d'un an qui pouvaient être tués si leurs parents et leurs médecins étaient d'accord et s'ils étaient atteints d'une maladie qualifiée de terminale ou s'ils étaient confrontés à de graves souffrances. En 2023, les législateurs ont adopté une extension controversée des directives d'éligibilité pour inclure les enfants de tous âges.

Selon les articles, les nouvelles directives stipulent que « l'opinion de l'enfant doit être recherchée autant que possible d'une manière appropriée à la compréhension et à l'âge de l'enfant », bien que les parents puissent décider de faire euthanasier leur enfant en collaboration avec un médecin même si l'enfant ne veut pas ou ne peut pas donner son consentement.

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La transition du genre ne règle aucun problème chez les mineurs, selon une méta-étude

Par Jeanne Smits (reinformation.tv) — Photo : Freepik

Quoi qu’en dise la gauche, les interventions hormonales et chirurgicales sur les transgenres ne règlent pas les problèmes de santé mentale des enfants souffrant de dysphorie de genre, révèle une nouvelle évaluation de la littérature scientifique disponible sur le sujet. L’analyse d’une soixantaine d’études par l’American College of Pediatricians l’affirme carrément : « Il n’existe pas d’études à long terme démontrant les avantages ni d’études évaluant les risques associés aux interventions médicales et chirurgicales pratiquées sur ces adolescents. Il n’existe aucune preuve à long terme que les problèmes de santé mentale diminuent ou s’atténuent après une thérapie d’affirmation du genre. » Avant comme après la thérapie, les jeunes concernés, dont l’« identité de genre » ne correspondrait pas au sexe dit « biologique », présentent un risque plus élevé de psychopathologie que ceux ne souffrant pas de cette discordance. Le traitement ne change rien à leur mal-être, en somme…

L’étude note une véritable explosion du nombre de jeunes qui se disent eux-mêmes « bisexuels, gays ou en questionnement », en se fondant sur les statistiques des Centers for Disease Control : le pourcentage est passé de 11 % en 2015 à plus du double (25 %) en 2021. Parmi ceux-ci, les mineurs diagnostiqués comme souffrant de « dysphorie de genre » sont ceux qui présentent des taux plus élevés de problèmes de santé mentale, allant jusqu’aux tendances suicidaires. L’étude Adolescent Brain Cognitive Development Study a étudié les cas de plus de 11 000 enfants de 9 et 10 ans…

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Notre entretien sur Radio X

Je vous présente aujourd'hui le reportage de Théovox sur la conférence de presse d'Art Lucier, ce chrétien dont l'organisme Harvest Ministries s'est vu refuser l'accès au centre des congrès de Québec au motif qu'il était pro-vie. Harvest Ministries intente actuellement un procès contre le gouvernement du Québec pour bris de contrat et atteinte à la liberté d'expression et de religion, procès piloté par nos amis du Centre de justice pour les libertés constitutionnelles.

Aussi, j'ai pour vous une courte vidéo issu de mon séjour à Washington D. C. pour la Marche annuelle pour la vie, marche qui attire vers la capitale américaine près de 100,000 personnes par année. Cette vidéo a pour but d'expliquer l'importance de Marcher pour la vie et d'encourager votre assistance à une première Marche pour la vie à Québec, le samedi, 1er juin 2024 (rassemblement à partir de 11h00 devant l'Assemblée Nationale).

Finalement, je partage avec vous un entretien que j'ai eu avec Jean-Francis Blais et Camille Bergeron, animateurs à Radio X de Québec. J'aimerais remercier ces derniers d'avoir poser de bonnes questions et de m'avoir permis de m'exprimer librement sur leur émission. 



Souper du 35e anniversaire de Campagne Québec-Vie

35 ans d’existence ça se fête ! Cela fait depuis 1989 que Campagne Québec-Vie se bat pour la foi, la famille et la vie, de la conception à la mort naturelle. Venez fêter en famille avec nous, en toute simplicité : nous tiendrons un souper pour notre 35e anniversaire le samedi 24 février 2024 à la salle de l’église Saint-Ambroise à Montréal (porte latérale située sur la rue de Normandville, église située au 1215 rue Beaubien E, Montréal, QC H2S 1T8) avec nul autre que le président de la Coalition nationale pour la vie, Jeff Gunnarson, et moi-même, Georges Buscemi, président du CQV ainsi que le Dr Paul Saba, récipiendaire cette année du prix Gilles Grondin, pour activiste québécois pro-vie exceptionnel. Soyez des nôtres ! Les portes ouvrent à partir de 16 h 30, le souper commence vers 17 h 30.

Les billets sont de 30 $ chacun (15 $ pour enfants 6-12 et 0 $ pour 5 et moins) et peuvent être achetés en ligne ou par téléphone : 1-855-996-2686 ou (514) 344-2686.

Colloque le samedi, 2 mars à Lévis — Préparer la société chrétienne de demain


Un colloque est organisé pour le samedi, 2 mars à Lévis, de 9 h 30 à 12 h 30. Trois intervenants montreront trois facettes d’une future société chrétienne qui protège la foi, la famille et la vie, de la conception à la mort naturelle : Le Dr Jean-Claude Dupuis, historien, présentera l’économiste catholique François-Albert Angers (1909-2003), Arpad Nagy, directeur des opérations politiques de CQV parlera de son voyage en Hongrie, ce pays de l’Europe centrale qui défend la culture chrétienne et la vie, de la conception à la mort naturelle. Finalement, Georges Buscemi, président de CQV parlera de la façon dont la première Marche pour la vie à Québec pourrait servir de bougie d’allumage pour une culture de vie ici au Québec et au Canada.

Où : Auditorium de l’école Sainte-Famille, 10425 bd Guillaume-Couture, Lévis, QC G6V 9R6.

Heure : 9 h 30, après la messe du 1er samedi du mois (qui débute à 8 h 15, avec chapelet à 7 h 20)

Café et collation seront servis. Vous êtes invité à donner ce que vous pouvez à l’entrée.

Pour la Vie,


Georges Buscemi
Président de Campagne Québec-Vie

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