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La congélation des tissus ovariens pour des accouchements dans la cinquantaine?

Sur le site de genethique.org du 23 juillet 2012:

 

(Carmen Bousada, mère à 67 ans, morte trois ans plus tard, laissant des orphelins derrière elle...)

 

En Italie, des chercheurs spécialistes de la procréation médicalement assistée viennent de lancer un débat : "les femmes pourraient bientôt avoir la possibilité de retarder leur ménopause – indéfiniment – en congelant leurs tissus ovariens et en attendant le bon moment pour se les faire greffer plus tard dans leur vie". Jusqu’à aujourd’hui, "cette technique expérimentale n’a globalement été utilisée que sur de jeunes patientes atteintes de cancers et risquant de devenir stériles à la suite de lourdes chimiothérapies". Après avoir effectué "plus de vingt congélations de tissus ovariens (i.e ayant débouché sur des naissances)", le Dr Gianluca Gennarelli a présenté cette technique au Congrès annuel de la Société européenne de reproduction et d’embryologie humaines. Elle a alors précisé que cette "méthode expérimentale devrait être ‘reconnue comme une pratique clinique courante susceptible d’être utilisée dans des cas appropriés’ ".(...)

Liberté 55 ou sénélité 55?

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Le témoignage du cinéma

Chaque semaine, ce sont des centaines de milliers de cinéphiles qui se regroupent au cinéma. Difficile à croire lorsque l’on regarde le choix de ce qui est présenté. Mais il est rare qu’on espère y voir quelque chose de bon, seulement de divertissant, pour passer les heures. On en ressort, comme après un film de Harry Potter, avec l’impression d’avoir réussi à passer l’après-midi, d’avoir perdu son temps.
 
C’est la vie qui s’écoule, qui est perdue… J’ai lu dernièrement ces quelques mots du mari d’une femme ayant donné sa vie pour son enfant à naître : « Nous n’avons jamais perdu de temps »… Jamais perdu de temps pour aimer…
 
Le cinéma et la télévision, c’est cela, la perte de temps, vivre sa vie par procuration, rêver plutôt que vivre et être incapable de réaliser que la vie, lorsqu’on sait la voir, est plus belle que le rêve et que le cinéma.
 
Une salle entière a pris conscience de ce qu’était une fusillade, une tuerie alors qu’elle en regardait une au cinéma et qu’un fou furieux a dégainé pour accompagner cette tuerie virtuelle. Pour une fois, la réalité a rejoint ceux qui se prélassaient. Personne ne s’est diverti. Pourtant ce qui était montré dans le film était censé divertir… Il y a de sains divertissements qui font réfléchir, rire, qui apporte un bien au spectateur. Et il y a un divertissement qui ne sert qu’à perdre le temps, quand il ne laisse pas un profond vide et parfois malaise au spectateur qui en sort.. On lui a enlevé quelque chose au fond du cœur.
 
De quel type était ce film de Batman? Est-ce que la diminution des présences au cinéma pour ce film est le résultat d'une prise de conscience de ce qu'est cette violence représentée pour divertir?
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Les femmes enceintes n'échappent pas à la pression de la mode...

Un article paru dans le Devoir du 23 juillet 2012:

 

(Quand manger est un problème...)

 

(...)Certains experts estiment que les images corporelles irréalistes colportées dans les médias et la culture des célébrités ont poussé plus de femmes à tenter de demeurer minces lors de leur grossesse, pour pouvoir se débarrasser de leur poids supplémentaire tout de suite après leur accouchement.
 

Le Dr Blake Woodside, directeur du plus important programme de traitement des problèmes d’alimentation du pays à l’Hôpital général de Toronto, mentionne que les cas de troubles de l’alimentation chez les femmes enceintes - souvent décrites comme une anorexie de la grossesse - étaient naguère rares.

Mais notre société, dit-il, est devenue « effrayée par le gras et discriminatoire envers les gros », même lorsqu’il est question de futures mamans.

« Lorsque j’ai commencé dans le domaine, il y a près de 30 ans, une femme enceinte anorexique était traitée comme toutes les autres, a-t-il dit. Désormais, elles sont immédiatement assignées à une unité de grossesse à haut risque, même si leur état n’est pas grave. »
 

La littérature officielle indique qu’une femme enceinte devrait gagner de sept à 18 kg pendant ses neuf mois de grossesse. La quantité de poids gagné varie avec la taille de la mère avant la grossesse et si celle-ci est enceinte d’un seul enfant, de jumeaux ou d’un plus grand nombre de foetus.
 

Les médecins affirment que les femmes affamées sont plus à risque de développer plusieurs problèmes de santé ; il en est de même pour leurs enfants.

Des femmes affamées pendant la grossesse et qui ne veulent pas manger. Les torts causés aux femmes et à la perception de l'amour, par les modèles irréalistes de la télévision et du cinéma, sont énormes.

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Un jeune marcheur pour la vie, fauché par une voiture, est mort sur le coup

Sur le site de Riposte Catholique du 22 juillet 2012:

Avant-hier, vendredi 20 juillet, un accident tragique est survenu à Stilesville (Indiana). C’est le magnifique site d’informations pro-vie LifeSiteNews, dirigé par des catholiques, qui nous le rapporte. Andrew More, un jeune californien de 20 ans, étudiant au Thomas More College de Santa Paula (Californie), qui participait avec l’association catholique pro-vie Crossroads, dont il était membre, à l’opération estivale Crossroads Walks for Life qui consiste à cheminer dans tous les États-Unis en priant et en témoignant pour la vie, a été accidentellement tué par une voiture. Le petit groupe de jeunes chrétiens cheminait en priant le chapelet sur le terre-plein central et herbeux d’une route à quatre voies très tôt, à 5 h du matin, avant-hier. L’obscurité n’aura sans doute pas permis à un conducteur de la voiture de discerner le groupe qu’il a fauché tuant sur le coup Andrew More. Andrew participait à l’une des quatre marches à destination de Washington D.C. : la sienne était partie de San Francisco. (...)

Nos prières accompagne la famille d'Andrew.

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Tour d'horizon de la question de l'euthanasie et du suicide assisté au Canada

Un article publié dans le Devoir du 14 juillet 2012 est reproduit sur le site de Philomage, Vieillir en Beauté et en Sagesse. En voici un extrait que nous vous invitons à compléter en allant sur le site de Philomage du 19 juillet 2012:

 

Ce n'est pas demain la veille que le suicide assisté sera autorisé au Canada. Le ministre fédéral de la Justice, Rob Nicholson, a annoncé hier qu'il porte en appel un récent jugement de Colombie-Britannique. « Le gouvernement est d'avis que les dispositions du Code criminel qui interdisent aux professionnels de la santé ou à qui que ce soit d'autre de conseiller ou d'aider quelqu'un à se suicider sont valides sur le plan constitutionnel, » a déclaré le ministre par voie de communiqué.

Le ministre rappelle que « les lois encadrant l'euthanasie et le suicide assisté existent pour protéger tous les Canadiens, y compris les personnes les plus vulnérables, telles que les personnes âgées, malades ou handicapés ». Or, souligne-t-il, la Cour suprême du Canada a déjà reconnu que l'État avait le droit de prendre des dispositions pour protéger ces personnes vulnérables dans la décision Sue Rodriguez en 1993.

En outre, fait valoir le ministre Nicholson, les élus ont déjà indiqué qu'ils ne voulaient pas changer la loi. « En avril 2010, une vaste majorité de parlementaires a voté de façon à ne pas modifier ces lois, ce qui constitue une expression de la volonté démocratique dans ce dossier. Il s'agit d'un enjeu qui soulève les passions et qui divise de nombreux Canadiens. »

En effet, la députée bloquiste Francine Lalonde avait déposé le projet de loi C-384 pour légaliser l'aide au suicide pour les personnes en phase terminale atteinte d'une maladie entraînant des douleurs physiques ou mentales aiguës sans perspective de soulagement. C-384 avait été défait à 228 voix contre 59. Le caucus bloqquiste avait voté pour le projet de loi, à l'exception de Gérard Asselin, de même que quelques libéraux, néodémocrates et les ministres conservateurs (aujourd'hui défaits) Lawrence Cannon et Josée Verner.(...)
 

La Coalition pour la prévention de l'euthanasie s'est réjouie de la décision d'Ottawa, hier. le directeur du groupe, Alex Schadenberg, estime que le suicide assisté constitue une pente glissante sur laquelle il ne faut pas s'aventurer. De la même manière que le suicide n'est pas considéré comme une option valable pour les personnes déprimées, il ne devrait pas l'être davantage pour les malades. « Si quelqu'un est déprimées, vit des problèmes et veut s'enlever la vie, est-ce que la société dit : « Oui, vas-y »? Non, la société tente de protéger ces gens. » Lui aussi suggère que cette question ne se poserait pas si les soins de vie étaient améliorés.

À lire également, les commentaires suite à cet article dans le journal Le Devoir du 14 juillet 2012. Celui-ci de Daniel Savard est très intéressant:

La seule raison pour laquelle le Québec se démarque, c'est qu'il veut réduire le budget de la santé et aux personnes âgées. Ça ne prend pas la tête à Papineau pour voir comment dans les CHSLD tout est mis en oeuvre pour rendre la vie misérable et exécrable aux pensionnaires afin qu'ils demandent un jour à se faire euthanasier.

Si j'avais la conviction que les choses se feraient correctement, je supporterais le suicide assisté, mais mon expérience de vie me démontre que notre système est très loin d'avoir les qualités requises et la fiabilité requise pour garantir que les droits des individus seront respectés, surtout ceux qui désirent continuer à vivre malgré la perte de qualité de vie. Ça aussi c'est une décision qu'il faut respecter.

Québec peut péter de la broue tant qu'ils voudront, l'euthanasie est du ressort du code criminel qui n'est pas de compétence provinciale.

Et juste pour clarifier mon propos. Permettre l'euthanasie des personnes âgées ou des handicapés chroniques risquent de devenir une porte de sortie facile pour éviter d'avoir à investir pour améliorer la qualité des services dans les institutions. C'est déjà exécrable présentement. Prenez la peine d'aller voir ce que l'on donne à manger aux gens dans les CHSLD (et sachez qu'il n'y a pas que des vieillards dans les CHSLD, il y a aussi des jeunes handicapés à vie). Allez voir en cette période de canicule comment ils sont traités. Allez voir comment ils sont exploités s'ils veulent la climatisation (tarifs exhorbitants sur l'installation et la location mensuelle d'appareils usagés de mauvaise qualité). Et je pourrais continuer longtemps.

Ouvrir la porte à cette solution facile lorsqu'un médecin considérera que la vie de son patient ne vaut plus la peine d'être vécue parce que nous aurons grugé tranquillement toute sa qualité de vie en s'en lavant les mains, c'est indigne d'une société qui se veut avancée et égalitaire. C'est vers ça que nous irons inexorablement en ouvrant la porte au suicide assisté.

Et ce commentaire complémentaire de Linda Couture:

(...) À qui profiterait réellement une décriminalisation de l’euthanasie et du suicide assisté ?
Dans une étude réalisée en Belgique et publiée en 2010 dans le CMAJ, on note que 31,7% des euthanasies ont été pratiquées sur des personnes n'ayant pas signé de formulaire de consentement; dans certains de ces cas le médecin jugeait que l'euthanasie était dans le meilleur intérêt du patient. Par ailleurs, comment peut-on parler d'autonomie et de liberté de la personne lorsque les balises légales ne sont évidemment pas respectées? Le réseau Vivre dans la Dignité (www.vivredignite.com) soutient qu'une fois bien renseignés, les Québécois rejetteront massivement l'option de l'euthanasie et du suicide assisté à cause des risques majeurs d'abus de personnes mal intentionnées.
Linda Couture
Vivre dans la Dignité
www.vivredignite.com
http://www.vivredignite.blogspot.ca/

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La Cour Européenne des Droits de l'Homme renvoie la question du suicide assisté aux États qui la composent

Sur le blogue de Jeanne Smits du 20 juillet 2012:

 

(La Cour Européenne des Droits de l'Homme)

La Cour européenne des droits de l’homme, invitée à condamner l’Allemagne pour avoir refusé à une femme presque complètement paralysée à la suite d’une chute le droit de bénéficier d’un suicide assisté, a refusé jeudi de s’engager dans cette voie. Elle n’a donc pas posé le principe d’un « droit » au suicide assisté, ce qui lui était demandé. En revanche, par un arrêt de chambre, les juges ont décidé à l’unanimité que l’Allemagne a violé l’article 8 de la Convention européenne des droits de l’homme (droit au respect de la vie privée et familiale) en raison du refus des juridictions allemandes d’examiner au fond l’action engagée par le requérant.

(...)

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Enrico Cancelli, atteint de la trisomie 21 et bachelier!

Sur le site de Zenit.org du 19 juilllet 2012:

 

(Enrico Cancelli au centre)

ROME, jeudi 19 juillet 2012 (ZENIT.org) – « Je souffrais comme un chien », mais désormais, « je cours irrésistiblement à la rencontre de ma vie rachetée » : c’est en ces termes que s’exprime le jeune Enrico Cancelli, atteint du « syndrome de Down » – la trisomie 21 - , qui vient d’asséner un coup fatal à sa pathologie. A l’épreuve du baccalauréat italien, la « maturità », il a obtenu la note de 20 sur 20. (...)

 

Enrico était, pendant les premières années de sa scolarité, un enfant joyeux, porté vers le chant et aimant plaisanter. A l’adolescence, la prise de conscience de sa différence et les premières gifles sont arrivées. Se repliant sur lui-même, il a cessé de parler, de chanter et de communiquer.

« Le tournant dans son parcours d’apprentissage, et de vie, est arrivé en 2009, quand nous nous sommes intéressés à la technique de la Communication facilitée, enseignée à l’association ‘Droit de Parole’, à Gorizia, qui met au centre de l’attention la personne handicapée avec des troubles de langage », explique Bianca Mestroni, la maman d’Enrico.

La Communication facilitée est née en Australie dans les années soixante-dix : c’est une technique qui permet de combler l’écart entre les capacités cognitives et les capacités d’expression, en se servant d’un clavier ou de lettres de l’alphabet. « La présence d’un facilitateur est prévue : une personne formée qui, sans intervenir, soutient la main, le pouce, le poignet ou le bras du patient pour l’aider à taper sur un clavier d’ordinateur », explique Michela Manca, enseignante de soutien d’Enrico. L’objectif final est d’atteindre l’autonomie communicative qui faisait défaut.(...)

Sans la Communication facilitée, Enrico aurait été considéré comme « atteint d’un retard mental grave ». Voici ce qu’il a écrit sur la première page de sa dissertation d’examen : « Monrupino, oasis heureuse où l’on retrouve la paix et les rêves dorés des aspirations poétiques ! J’emprunterai tous les moyens nécessaires pour continuer de travailler sur cette terre fertile, courant irrésistiblement à la rencontre de ma vie rachetée ! » 

 

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Le tribunal des droits de la personne oblige les gites touristiques à loger les partenaires de même sexe qui en font la demande

Un bel exemple d'intolérance et de déni de l'objection de conscience: le tribunal ordonne d'accueillir chez eux des partenaires de même sexe. Sur le site de Radio-Canada du 19 juillet 2012:

 

 

 

 

Dans un jugement rendu mardi, le Tribunal des droits de la personne de la Colombie-Britannique a estimé que les propriétaires d'un gîte touristique de Grand Forks, dans le sud-est de la province, avaient enfreint la loi contre la discrimination en refusant de louer une chambre à un couple d'homosexuels.

Brian Thomas et Shaun Eadie ont souffert « d'indignité et d'humiliation » lorsque les propriétaires du Riverbend B&B ont refusé de les héberger, il y a trois ans, en raison de leur orientation sexuelle.

Susan et Les Molnar ont été condamnés à verser 4400 $ au couple en dédommagement et en couverture des dépenses.

L'automne dernier, lors d'une audience du tribunal, le couple Molnar avait justifié son refus de louer une chambre au couple par ses croyances religieuses chrétiennes. (...)

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Justin Bieber: "Vraiment, je ne suis pas favorable à l'avortement"

Sur le site Nouvelles de France du 19 juillet 2012:

 

 

 

 

Calibri;mso-fareast-theme-font:minor-latin;mso-hansi-theme-font:minor-latin;
mso-bidi-font-family:"Times New Roman";mso-bidi-theme-font:minor-bidi;
mso-ansi-language:FR-CA;mso-fareast-language:EN-US;mso-bidi-language:AR-SA">Interrogé par le bimensuel américain Rolling Stone (progressiste), Justin Bieber confirme cet été ses propos tenus dans les colonnes du même bimensuel en février 2011 : « Vraiment, je ne suis pas favorable à l’avortement. Je pense [qu'un embryon] est un humain. Avorter, c’est tuer un bébé. » (...)

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Le nombre des avortements clandestins

On sait qu'en France, Simone Veil prétendait qu'il y avait 400 000 avortements par année, alors que la réalité était 10 fois moindre. De même pour le Québec, Lise Payette affirmait au début du combat pour la légalisation de l'avortement qu'il y avait 100 000 avortements clandestins par année au Canada, ce qui est le nombre d'avortements aujourd'hui alors qu'il est légalisé et que des médecins ont été formés pour investir tout le territoire canadien. Aujourd'hui, ce sont les chiffres pour le Mexique et la Colombie qui sont revus à la baisse. Un article paru sur le blogue de Jeanne Smits du 18 juillet 2012:

 

Et revoilà Elard Koch, universitaire, spécialiste d’épidémiologie moléculaire, master en sciences, directeur de recherches du département de Santé familiale de la faculté de médecine de l’Universidad de Chile. Lors de sa série d’interventions devant des universités mexicaines, après avoir explosé à celle d’Anahuac, de Cancun, quelques mythes sur l’avortement légalisé et la baisse de la mortalité maternelle, a avancé des données scientifiques pour montrer que les statistiques de l’avortement clandestin ont été délibérément surestimées pour peser en faveur de la légalisation à la fois auprès de l’opinion publique et des gouvernements. Cette conférence-ci se déroulait à l’université catholique du Valle de Atemajac, à Zapopan, Jalisco.

De telles exagérations ont été constatées en Amérique latine, et notamment au Mexique où l’institut Guttmacher – anciennement institut de recherche sur l’avortement et la contraception dépendant de la Fédération du Planning familial – qui avançait le chiffre de 750.000 à 1 million d’avortements clandestins par an dans ce pays en 2006 pour justifier la légalisation de l’« IVG ». Ces résultats étaient basés sur… des enquêtes d’opinion.

Une méthodologie pour le moins défaillante qui a été démentie récemment par une enquête publiée dans la revue Ginecologia y Obstetricia de Mexico : fondée sur des études épidémiologiques réalisées par le Centre de Médecine embryonnaire, couplées avec des statistiques sur la fécondité. On arrive alors à un total maximal d’environ 53.000 avortements clandestins par an pour l’ensemble du Mexique.

Aujourd’hui l’avortement est légal dans le district fédéral de Mexico.

Elard Koch a rappelé que les chiffres avancés pour la Colombie par l’institut Guttmacher affichaient quelque 400.000 avortements clandestins par an : 18 fois de plus que le maximum de 22.000 auquel aboutit le croisement des études épidémiologiques et des données statistiques sur la fertilité.

 (...)

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