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L'appui à l'euthanasie renommée «aide à mourir» diminue dans la population

Alors que dans les derniers mois, l'injection létale par un médecin recueillait plus de 80% d'approbation lorsqu'elle était renommée «aide à mourir», cet appui majoritaire fond graduellement. Le dernier sondage révèle que 76 % de la population appuie toujours cette forme d'homicide. Sur le site du journal Le Soleil du 20 juin 2013:

 

Le coup de sonde, réalisé entre le 12 et le 17 juin, donne l'humeur des habitants de la province en lien avec ces deux sujets qui ont fait les manchettes au cours des dernières semaines.
(...)
De son côté, le projet de loi 52 sur les soins en fin de vie déposé la semaine dernière est beaucoup plus consensuel, alors que 76 % des répondants se disent pour, 11 % contre et 13 % «ne savent pas». Une différence est encore une fois observée entre les deux groupes linguistiques, puisque les non-francophones sont moins nombreux (60 %) à être en faveur de l'aide médicale à mourir que les francophones (80 %).

Tranquillement, avec la prise de parole des médecins travaillant auprès des mourants, la population pourra se rendre compte que l'« aide à mourir » n'aidera en fin de compte que les finances du gouvernement...

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La Russie refuse de donner ses enfants en adoption aux partenaires de même sexe

Sur le site du journal Le Soleil du 21 juin 2013:

 

(Maman?)

 

 

 

La Douma russe a voté vendredi une loi interdisant l'adoption d'enfants russes par des couples homosexuels ou des célibataires dans les pays ayant légalisé les unions entre personnes de même sexe, un texte dénoncé par les défenseurs des droits de l'homme.
 
La chambre basse du Parlement russe a donné son aval définitif à ce texte, en troisième et dernière lecture, à l'unanimité des 444 députés présents.
 
La loi doit encore être adoptée par la chambre haute du Parlement - le Conseil de la Fédération - et promulguée par le président russe, ce qui apparaît comme une formalité, Vladimir Poutine ayant récemment déclaré qu'il apporterait son soutien à une telle législation.
 
Dans ce texte, l'adoption d'enfants russes est interdite aux «personnes de même sexe dont l'union est reconnue comme un mariage et qui a été enregistrée dans un État où une telle union est autorisée, ainsi qu'aux citoyens de tels États qui ne sont pas mariés».
 
Les couples mariés hétérosexuels peuvent, quant eux, encore adopter des enfants russes.
 
Un des auteurs de la loi, Elena Mizoulina, députée du parti Russie Juste, n'avait pas caché pendant son examen en deuxième lecture cette semaine que la sévérité du texte visait à empêcher de facto «toute possibilité que des étrangers ayant une orientation sexuelle non traditionnelle puissent adopter des enfants russes».
 
Les mariages entre personnes de même sexe sont autorisés actuellement dans 14 pays, dont le Canada, la Belgique, l'Espagne, et, plus récemment, la France.
 
La loi autorisant le mariage homosexuel est entrée en vigueur à la mi-mai dans ce dernier pays, avec sa promulgation par le président François Hollande, et la première union de deux hommes a été célébrée le 29 mai à Montpellier (sud).
 
(...)
 
La Russie a pris dans le même temps des mesures visant à encourager l'adoption par des familles russes.
 
Le texte de loi adopté vendredi prévoit ainsi que la prime accordée aux Russes adoptant des enfants handicapés ou âgés de plus de sept ans est augmentée pour atteindre 100 000 roubles (3157 $).
 
Parallèlement, une campagne de défense des «valeurs traditionnelles» a commencé en Russie ces derniers mois, et, la semaine dernière, la Douma a voté une loi controversée punissant tout acte de «propagande» homosexuelle devant mineur.
 
Selon des experts, le but d'une telle campagne est en réalité de consolider le cercle des partisans de Vladimir Poutine autour de valeurs traditionnelles opposées à celles de l'Occident, présenté comme «dépravé». (...)
 
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Description de l'arrestation de Nicolas, prisonnier politique français pour sa défense des enfants contre le «mariage» gai

Sur le site du Salon Beige du 21 juin 2013:

 

(Une nouvelle qui devrait faire les manchettes à travers le monde. La France a maintenant un prisonnier politique, un prisonnier dont les opinions ne sont pas permises par le gouvernement socialiste français.)

 

 

 "Sans raison particulière, j’ai été interpellée plusieurs fois. Ayant le simple de tort de défendre pacifiquement mes convictions, j’ai eu à subir de nombreuses fois l’extrême violence dont les forces de police font preuve à l’égard des jeunes français qui ont décidés de s’opposer pacifiquement à l’inique loi Taubira.
 
Dimanche dernier, j’ai participé à l’accueil de F. Hollande devant le siège de M6 et aux évènements qui ont suivis. [...] Dans la soirée après cet accueil, avec un groupe de jeunes nous nous sommes entendus spontanément tous ensemble pour nous promener de façon pacifique sur les trottoirs de Paris, sans fumigène  et évidemment sans dégâts matériels. Nous nous sommes entendus pour  déambuler simplement comme un groupe de jeunes qui a juste envie de se faire entendre et qui n’est absolument pas satisfait de la manière dont La Manif Pour Tous gère la mobilisation contre F. Hollande et sa politique et s’est laissée parquer pour cette manifestation à plus de 500m du président de la république. [...]
 
Donc spontanément nous sommes allés dans la rue. Nous étions 300 jeunes et on s’est promené dans les rues, on a pris le métro et on est sorti sur les champs Elysées. Nous étions sur le trottoir depuis quelques secondes, j’étais à côté de Nicolas, quand nous nous sommes fait charger par les CRS sans sommation. Nous nous sommes réfugiés dans une pizzeria ou des policiers en civils, probablement de la BAC, sont venus pour violemment interpeller Nicolas.
 
Je pense que la police le visait personnellement. Car la quarantaine de personnes qui ont été interpellées en même temps que lui ont été relâchées après un contrôle d’identité de plusieurs heures. De plus, il est parti dans la voiture de la BAC et non dans le panier à salade comme tous les autres. [...]
 
Les magistrats censés être neutres et impartiaux, se sont à plusieurs reprises moqués de lui pendant l’audience. Ce procès est une mascarade, c’est un procès politique car en bon droit le dossier est vide ! Son avocat a brillamment démonté les chefs d’inculpation, parfois au moyen de séquences vidéo sans appel. Malgré tout, le juge a suivi la réquisition du Parquet et a lourdement condamné le paisible et brillant étudiant en double cursus qu’est Nicolas, un garçon très bien, à une amende de plusieurs milliers d’euros et à 4 mois de prison dont 2 fermes avec mandat de dépôt, c’est-à-dire qu’il a été immédiatement incarcéré à Fleury-Mérogis.
 
Dans son amende, Nicolas a été condamné à payer pour les policiers qui avaient déposés plainte pour rébellion, en dépit des vidéos qui attestaient de son  bon comportement.  Mais eux, les policiers n’ont pas été condamnés pour les violences avérées qu’ils ont fait subir sans raison à Nicolas.
 
[...] A la sortie du palais de justice, nous étions un petit groupe de jeunes à vouloir aller saluer Nicolas au dépôt comme cela se fait couramment. On nous a violemment interdit l’accès au dépôt. La police nous a tapé dessus, nous a parqué et interdit de circuler comme on voulait. On nous a aussi arraché nos portables, et on s’est finalement fait escorter par la police jusqu’à 500 m de là."
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Un foetus découvert près d'une usine d'épuration à St-Lin, la mère pourrait être accusée de meurtre

Sur le site du Journal de Montréal du 21 juin 2013:

 

 

 

 

SAINT-LIN-LAURENTIDES - Des employés municipaux de l'usine d'épuration des eaux de Saint-Lin-Laurentides ont fait une découverte bouleversante, jeudi matin. Ils ont trouvé ce qui semble être un foetus humain dans un bac de décantation.
 
(...)
 
Certains médias ont avancé que le foetus était âgé d'environ 20 semaines, mais selon la police, même les enquêteurs qui ont vu la scène ignorent son âge.
 
Selon toute vraisemblance, le foetus aurait été jeté dans les toilettes avant de terminer dans le bac de décantation.
 
Selon nos informations, s'il s'agit réellement d'un foetus humain et que celui-ci était «viable», des accusations de meurtre pourraient être portées contre la femme qui s'en est débarrassé.

Le problème avec ce foetus est qu'il n'a pas été éliminé d'une façon hygiénique. S'il avait été torturé et démembré dans un CLSC ou une clinique d'avortement, on aurait félicité l'avorteur et lui aurait donné une médaille...

Un autre cas pose question également. Celui d'Ariel Castro, cet homme qui avait séquestré trois femmes aux États-Unis. Sur le site du Journal de Montréal du 7 juin 2013 :

Ariel Castro inculpé pour la mort d'un foetus
 
CHICAGO - Ariel Castro, inculpé pour la séquestration et le viol pendant une décennie de trois jeunes Américaines dans sa maison de Cleveland, sera jugé sur plus d'une centaine de chefs d'accusation dont la mort du foetus de l'une de ses victimes, ont rapporté vendredi les médias.
 
Un grand jury a ainsi fixé vendredi 329 chefs d'accusation contre Ariel Castro, 52 ans, en lien avec ces séquestrations, précise la presse locale.
 
L'acte d'accusation de 142 pages comprend en outre un chef d'inculpation de meurtre aggravé pour avoir provoqué la fin de la grossesse de l'une des captives.
 
L'accusation avance que l'une des jeunes femmes a fait une fausse couche après avoir été battue à de nombreuses reprises par Castro, soulignant qu'elle rechercherait la peine de mort contre lui. (...)

Ah! S'il avait fait ces crimes au Québec ou au Canada, on ne l'embêterait pas avec ces histoires de foetus qui, sur notre territoire, ont ce caractère distinct de ne pas être des êtres humains... Le pauvre, comment pouvait-il savoir qu'aux États-Unis les foetus sont différents de ceux du Canada?

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Lettre de soutien de Mgr Aillet aux jeunes défenseurs des enfants, à Nicolas, battu et emprisonné par le gouvernement français

Sur le site du Salon Beige du 20 juin 2013:

 

(Les jeunes français sont prêts à payer le prix pour veiller sur les enfants de la France)

 

"Dans un communiqué récent, le Conseil permanent de la Conférence des évêques de France a salué l’engagement de tous ceux (dont de nombreux jeunes) qui durant des mois, ont fait entendre leur voix de manière pacifique pour s’opposer à la loi Taubira, en  précisant qu’elle a modifié « radicalement l’un des fondements de la vie en société », engendré, comme il était prévisible, des clivages profonds, et provoqué des blessures et des craintes durables.
 
Devant le mépris politico-médiatique que ce mouvement social, d’une ampleur inégalée depuis des décennies, a rencontré, beaucoup sont déterminés à poursuivre leur action pour alerter l’opinion, éclairer, voire réveiller les consciences de nos concitoyens.  
 
Parce que la conscience est profondément blessée par la loi Taubira, il est parfaitement légitime d’en réclamer l’abrogation. Le Pape François, devant une délégation officielle de parlementaires français, ne déclarait-il pas : « Votre tâche, technique et juridique, consiste à proposer des lois, à les amender ou même à les abroger » ? L’association « la manif pour tous » demeure une force de proposition destinée à pérenniser ce mouvement. D’autres initiatives sont nées pour capitaliser l’engagement de nombreux citoyens : les veilleurs, les mères veilleuses, des rassemblements sporadiques pour interpeller l’opinion et les pouvoirs publics…
 
Pourvu qu’elle se déroule sans violence et dans le respect de l’intégrité physique des personnes et des biens, cette opposition de fond, que l’on a pu appeler à juste titre « résistance », est pleinement légitime dans une société démocratique où la liberté d’expression, de réunion et de manifestation est garantie par la Constitution.
 
Le Jeune Nicolas B., sympathisant de la manif pour tous, a été condamné le 19 juin par le tribunal correctionnel à deux mois de prison ferme, avec mandat de dépôt, pour avoir participé à une manifestation pacifique le 16 juin dernier contre la loi Taubira. Les chefs d’accusation semblent surréalistes et la lourdeur de la peine disproportionnée par rapport aux faits avérés. Il s’agit manifestement d’une forme politique de répression policière et judiciaire qui marque un tournant dans le traitement arbitraire des opposants au mariage et à l’adoption par des couples de même sexe.

Je salue l’engagement de ce jeune Nicolas et de tous ceux qui, comme lui, travaillent à défendre avec détermination et sans violence, le droit des enfants à être élevé par un père et une mère, engagement qui « aura encore à se déployer dans d'autres domaines où la vigilance est requise pour le respect de la personne humaine » (Conseil permanent). Ils sont la fierté et l’espérance de notre société. Leur courage, jusqu’à la prison s’il le faut, est déjà une victoire : car on ne peut pas enchaîner la Vérité !"
 
lettre de Mgr Aillet, évêque de Bayonne
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Un premier prisonnier politique en France, détenu pour son opposition au « mariage » gai

Une lettre de Grégoire Boucher, président du collectif famille mariage, explique la situation:

(Nicolas, jeune non violent, battu par la police et emprisonné pour avoir défendu la famille et les enfants en France)

 

 

Dans l’une de nos premières lettres, nous avions été les premiers à mettre en garde contre la dérive dictatoriale du gouvernement.
 
Dans notre dernier message, nous vous faisions part de notre immense inquiétude devant les violences policières inouïes dont sont victimes chaque jours les opposants pacifiques à la sinistre loi Taubira.
 
Ces violences n’ont eu de cesse, depuis, de s’aggraver, et c’est une véritable police politique dont se sert le gouvernement pour tenter de museler l’opposition.
 
Un pas de plus a été franchi hier : l’entrée en jeu de la justice politique aux ordres des idéologues mortifères au pouvoir. Mais pour combien de temps ?
 
Nicolas, un jeune militant pacifique, membre des Veilleurs, qui, après avoir été arrêté, tabassé par la police politique de Valls, humilié, et traité comme le dernier des criminels, a été condamné et emprisonné par la justice politique de Taubira. Son crime ? Avoir osé manifester contre la loi voulant imposer par la force la dénaturation du mariage et un changement de civilisation désastreux.
 
Comme le dénonce l’abbé de Tanoüarn, « Nous sommes devant un gouvernement terroriste, au sens précis où il utilise la terreur des gardes à vue abusives, le tabassage et des condamnations à la prison ferme pour éviter le débat public ».
 
Oui, la France s’enfonce dans la dictature et nous ne pouvons rester silencieux.
 
A l’heure où Taubira et l’indigne syndicat de la magistrature laissent en liberté les pires prédateurs, mercredi 19 juin 2013, Nicolas, 19 ans, jeune opposant au mariage homosexuel, a été condamné à 2 mois de prison fermes, plus deux mois avec sursis, en comparution immédiate, après être resté pendant 6 jours en garde à vue et en détention provisoire. Pire que les pires des terroristes et violeurs multirécidivistes. Procédure exceptionnelle et aggravante pour la magistrate qui s’est rendue coupable de cette forfaiture : avec effet immédiat, comme si Nicolas représentait une menace pour la société. Nicolas est donc en ce moment derrière les barreaux de la prison de Fleury-Mérogis. Le message de Me Frédéric Pichon, son avocat, est suffisamment éloquent et nous vous encourageons à le lire ci-dessous.
 
Et pour reprendre les mots de Mgr Marc Aillet : « Honte à un État qui s’arroge le droit d’exercer la force contre la force du droit, la violence contre la non violence ».
 
Quelle attitude doit être la nôtre ?
 
Le soutien à ce jeune de 19 ans tout d’abord : www.soutien-nicolas.com
 
Nicolas et sa famille ont besoin d’être soutenus et de sentir que le pays réel est derrière eux et ne les abandonnera jamais.
 
L’action ensuite : retrouver dès ce soir, dans toutes les villes de France, les Veilleurs, qui ne désarmeront jamais, pacifiquement, face à ce gouvernement qui a perdu toute légitimité. Nous vous retrouverons notamment à 21h30 devant la Cathédrale de Versailles.
 
L’espoir, enfin, et l’espérance.
 
Car il n’y a aucune raison de nous décourager ou de désespérérer. Bien au contraire. Un pouvoir qui use et abuse de telles méthodes dictatoriales est un pouvoir aux abois qui avoue implicitement son impuissance et ses faiblesses.
 
(...)
 
Pour Nicolas, pour la France, pour nos familles, pour nos enfants,
 
Nous ne lâcherons rien ! Jamais !
 
 
Grégoire Boucher
Président
Collectif Famille Mariage
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Un pas de plus vers l'euthanasie des jeunes en Belgique

Sur le site de Yahoo.fr du 20 juin 2013:

 

 

 

 

Quatre sénateurs --deux socialistes et deux libéraux, francophones et néerlandophones-- ont présenté quatre propositions de loi visant à modifier la loi de 2002 qui avait légalisé l'euthanasie pour les adultes sous certaines conditions.

(...)

La loi ne s'applique actuellement qu'aux personnes âgées de plus de 18 ans, mais des experts ont déclaré "évident" que l'euthanasie était déjà pratiquée chez des mineurs, hors du cadre légal. Certains de ces cas ont été très médiatisés en Belgique.

L'un des principaux points de discussion au Sénat a été la question de l'âge minimum. Finalement, les quatre partis lui ont préféré la notion de "capacité de discernement" du mineur qui devra être évaluée par un pédo-psychiatre.

Les sénateurs socialistes et libéraux ont par ailleurs proposé qu'un médecin qui refuserait de pratiquer une euthanasie soit obligé de transférer le dossier de son patient à un confrère qui y soit favorable. Enfin, ils souhaitent que la "clause de conscience" ne puisse être invoquée que par un médecin à titre individuel, et non par un hôpital dans son ensemble.

(...)

La Belgique a enregistré en 2012 un nombre record d'euthanasies, avec 1.432 déclarations, en hausse de 25% sur un an. Elles représentent moins de 2% de l'ensemble des décès.

 

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Un sondage sur l'avortement au Québec

Sur le site de cimsfm.com du 19 juin 2013, une question très simple:

Êtes-vous pour ou contre l'avortement? Les résultats pour l'instant sont de 53% pour et 47% contre...

Pour aller voter, cliquez ici.

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Des usines à bébé au Nigeria et des mères porteuses au Canada et au Québec

Sur le site de La Presse du 20 juin 2013:

(Les femmes pauvres surtout sont victimes de la légalisation de la location de leur ventre)

 

La police nigériane a annoncé jeudi avoir libéré seize femmes enceintes apparemment forcées à avoir des bébés destinés à être vendus, au cours d'un raid dans une maison du sud du Nigeria.
 
(...)
 
«Seize femmes enceintes âgées de 17 à 37 ans ont été découvertes» dans la maison qui abritait une institution du nom de Cross Foundation, a déclaré à l'AFP le porte-parole de la police de l'État, Geofrey Ogbonna.
 
«Le suspect est un trafiquant d'êtres humains en série. Il affirme être médecin. Je me souviens que le même homme avait été arrêté en mai 2011 et que 32 adolescentes avaient été sauvées à son domicile», a dit le porte-parole de la police.
 
Les jeunes filles avaient alors expliqué qu'on leur avait proposé de vendre leurs bébés 25 000 à 30 000 nairas (autour de 200 dollars) selon le sexe de l'enfant, a-t-il poursuivi.
 
(...)
 
Une série d'«usines à bébés» ont été découvertes ces dernières années au Nigeria, en particulier dans le sud-est du pays.
 
Le mois dernier, déjà, six adolescentes enceintes y avaient été libérées lors d'un raid dans une maison d'Enugu. Trois personnes ont été arrêtées pour avoir projeté de vendre les bébés.
 
Auparavant, la police avait libéré 17 adolescentes de 14 à 17 ans également enceintes ainsi que 11 jeunes enfants dans la ville d'Umuaka, dans l'État voisin d'Imo. Les jeunes femmes avaient dit avoir été mises enceintes par un même homme de 23 ans, arrêté, tandis que le propriétaire de la maison est en fuite.

 

Pas cher, pas cher! 

Et pour le Canada? Sur le site de canadiensensante.gc.ca : 

Si vous n'êtes pas en mesure de porter vous-même un bébé, vous pourriez souhaiter faire appel à une mère porteuse.
 
Une mère porteuse, ou gestatrice, est une femme qui accepte de porter un embryon conçu au moyen d'une technique de procréation assistée pour une autre personne ou un couple dans le but de remettre l'enfant à la naissance à cette personne ou à ce couple.
 
Il existe deux grandes catégories de maternité de substitution :
 
génétique : l'ovule de la mère porteuse est utilisé;
non génétique : l'ovule de la mère porteuse n'est pas utilisé.
(...)
Si vous faites appel à une mère porteuse ou à un donneur que vous connaissez, vous devez vous assurer que vous êtes d'accord au sujet de certains points, comme le nombre de dons et comment (le cas échéant) vous ferez part de ces renseignements aux autres, particulièrement à l'enfant conçu grâce au don. Vous pouvez vous demander si le lien génétique qui unit le donneur et l'enfant aura une incidence sur le rôle que le donneur joue ou jouera au sein de votre famille.
(...)
Votre médecin ou votre clinique de fertilité peut vous aider à trouver une mère porteuse ou un donneur d'ovule ou de sperme. Ce ne sont pas toutes les cliniques qui offrent des services de don ou d'entreposage d'ovules, de sperme ou d'embryons. Certaines cliniques peuvent vous orienter vers d'autres fournisseurs si elles ne peuvent offrir ces services et peuvent vous aider à mener à bien le processus d'importation de sperme.

Et pour le Québec? Sur le site d'Éducaloi :

Une mère porteuse, c’est une femme qui accepte de porter un enfant pour rendre service à quelqu’un d’autre. L’enfant peut être ou non issu d’un de ses ovules. Lorsque l’enfant vient au monde, la mère porteuse le remet à la personne ou au couple qui a retenu ses services, que ce soit gratuitement ou contre paiement. 

Même si ce n’est pas un crime de faire porter un enfant par une mère porteuse, la payer pour ses services est une infraction, tout comme il est interdit de demander ce service à une personne de moins de 21 ans. En outre, la loi prévoit que l’entente conclue avec une mère porteuse n’a aucune valeur au Québec. C’est donc un contrat très risqué puisque:

la mère porteuse peut très bien décider de garder le bébé;

les clients, eux, pourraient décider qu’ils ne veulent plus de l’enfant;

si on a utilisé le sperme du «client», il sera le père de l’enfant, avec tous les droits et les devoirs qui se rattachent à ce statut, ce qui peut compliquer singulièrement les choses;

aux yeux de la loi, c’est la mère porteuse qui sera la vraie mère de l’enfant et elle ne pourra être remplacée dans ce rôle que si l’enfant peut ensuite être adopté. Dans ce type de cause, l'adoption a déjà été refusée et le droit est loin d'être clair.

La solution la plus courante pour les couples qui ne peuvent pas engendrer un enfant demeure l’adoption traditionelle.

Les recommandations du Québec sont plus sages que celles du Canada...

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Les Québécois se marient plus tardivement...

Sur le site du journal La Presse du 20 juin 2013:

 

 

 

« (...)C'est ce qui ressort des plus récentes statistiques dévoilées jeudi par l'Institut de la statistique du Québec dans son bulletin intitulé Coup d'oeil sociodémographique.
 
Ainsi, en 2012, l'âge moyen au premier mariage est de 32,8 ans chez les hommes et 31,3 ans chez les femmes. Depuis 1972, il s'agit d'une hausse de 7 à 8 ans.
 
De façon générale, en 2012, 23 491 mariages ont été enregistrés au Québec, dont 530 entre conjoints de même sexe.
 
(...)
 
Pas étonnant qu'il y ait ainsi moins de familles nombreuses. Avec un taux de fécondité de seulement 1,7 enfant par couple, le Québec fait partie des nombreux États dépressifs de l'Occident... »
 
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