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Des partenaires de même sexe condamnés pour avoir adopté un enfant afin de l'exploiter sexuellement

Sur le site de contre-info.com du 2 juillet 2013, ce que vous ne lirez pas dans nos médias québécois:

(Peter Truong, l'enfant martyre et Mark Newton)

 

 (...)« Mark Newton et de son petit ami australien Peter Truong. Voulant, selon leurs dires, éprouver les « joies de la paternité », ils avaient en 2005, après de longues démarches, obtenu en Russie pour la somme de 8000 dollars un enfant conçu par GPA (gestation pour autrui) avec les gamètes d’un des deux hommes.

A l’age de 22 mois, le petit garçon a commencé a être abusé sexuellement, et quotidiennement, par ses « parents » et par au moins huit autres adultes en Australie, en France, en Allemagne et aux États-Unis.

Le degré d’exploitation sexuel avait atteint un tel niveau que l’enfant a grandi croyant que les agissements dont il était victime étaient la vie normale. Il était même coaché sur la façon de nier si jamais on lui posait des questions.

(...)

Quand les deux hommes ont commencé à être soupçonnés, ils ont accusé les autorités de les stigmatiser en raison de leur orientation sexuelle.

En 2010, interviewés par une radio australienne, le couple avait voulu donner l’image d’une « famille comme les autres ». Pour les enquêteurs, il apparaît clairement qu’ils ont acheté l’enfant dans l’unique objectif de l’exploiter sexuellement.

La « famille comme les autres » vivait à Los Angeles, États-Unis. Le dénommé Newton vient d’être condamné à 40 années de prison. Le dénommé Truong attend toujours que sa peine soit prononcée. »

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Réflexions sur deux façons d'envisager la mort...

Deux jeunes ont fait un choix de vie complètement différent. Il est difficile de trouver un contraste plus frappant :

Terry Fox a parcouru le Canada sur une jambe et une prothèse, pour ramasser des fonds pour combattre le cancer par la recherche. Il a trouvé la force dans un amour surnaturel de se donner pour que d’autres puissent vivre…

Une jeune fêtarde de 26 ans fait plutôt le choix d’être euthanasiée, elle sait que sa maladie progresse et qu’elle ne pourra plus bientôt jouir de la vie comme elle l’a fait jusqu’à aujourd’hui. Elle choisit, après une nuit bien arrosée, d’être précipitée en dehors de cette vie qu’elle rejette.

Accepter ou rejeter. S’oublier ou se choisir. Vivre ou mourir. Vivre dans la dignité ou s’enfuir dans la mort.

Notre société, nous, avons ce choix. Nous pouvons choisir de vivre en combattant la souffrance. Nous pouvons choisir de mourir en quittant précipitamment la vie de peur qu’elle ne nous fasse souffrir.

La peur est mauvaise conseillère, elle détruit tout sur son passage. Elle est le choix du gouvernement québécois qui ouvre la porte à l’euthanasie. Une porte de sortie désolidarisée qui entraînera vers la mort dans la précipitation. Comme cette jeune fille à la fin absurde. Comme si la vie ne consistait qu’à s’amuser…

Et non pas à aimer et se donner...

Comme si cette vie, soulagée de sa souffrance par les soins palliatifs, n’avait aucune valeur parce qu’elle ne permet pas cet amusement, cette folie d’un peuple qui ne veut pas vieillir…

Pour beaucoup d’aînés, la souffrance de ne voir personne les visiter est la raison de choisir l’euthanasie. Plutôt que d’attendre seuls la mort, beaucoup ne supporteront pas ce moment, où intolérablement seuls avec eux-mêmes, leur espérance d’être aimé par un enfant, un proche, sera cruellement détruite un instant après l’autre par cette absence de visite.

Beaucoup de Québécois veulent choisir la mort surtout parce qu’ils ont des enfants, parce qu’ils croient qu’ils seront seuls… même s’ils ont des enfants.

La non-reconnaissance des enfants est l’aiguille qui servira à injecter le poison à nos aînés, pour qu’ils meurent « dans la dignité », avec la bénédiction du ministre des Finances.

Nous sommes une société qui n’a pas le temps d’aimer… et pas les moyens d’avoir un système de garderie de fin de vie pour des personnes qui ne pourront rien rapporter à l’État.

Entre Terry Fox et la jeune fêtarde, notre gouvernement a choisi la seconde pour modèle…

Mourir dans la « dignité »? Comme si l’on pouvait se suicider collectivement dans la dignité…

L'euthanasie? Une question que les peuples pourtant plus pauvres, aux familles nombreuses, ne se posent pas...

Ils ont le temps pour être ensemble...

 

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Campagne Québec-Vie a besoin de votre appui

Dans la lutte pour le droit des enfants à naître, des enfants déjà nés et des personnes en danger d’être euthanasiées, Campagne Québec-Vie joue un rôle irremplaçable.

— Campagne Québec-Vie vous donne l’information que les médias traditionnels aimeraient censurer.

— Nous vous tenons au courant de l’actualité québécoise, canadienne et mondiale sur la question de l’avortement.

— Nous vous faisons part des nombreux combats pour le droit à la vie à travers la planète.

— Nous sommes un outil d’information, de formation où vous pouvez trouvez de nombreux arguments pour défendre les plus faibles, ainsi qu’un outil de sensibilisation, de mobilisation pour encourager chacun à défendre la vie dans son milieu.

Un outil sur le terrain

Campagne Québec Vie, c’est aussi l’organisation des veilleurs des 40 jours pour la Vie :

-40 Jours de prière et de présence auprès des enfants en voie d’être avortés, pour être une présence de compassion dans ces moments difficiles.

40 Jours de présence, de 7 h le matin, à 19 h le soir, pour offrir notre aide aux femmes enceintes en difficulté, pour faire le lien avec les centres d’aide aux femmes enceintes en difficulté.

À chaque campagne des 40 jours pour la Vie, des enfants sont sauvés, des mères, soulagées.

Pour toutes ces œuvres, nous avons besoin de vos prières, de votre soutien, pour qu’ensemble nous puissions de plus en plus sauver des vies.

Nous comptons sur vos prières. Ce combat est avant tout spirituel… Comme le dirait Paul de Tarse, nous ne combattons pas des hommes...

Nous avons besoin de votre présence, tout bénévolat serait apprécié et surtout, n’hésitez pas à vous joindre aux 40 Jours pour la Vie ou à nous appeler pour organiser un groupe de veilleurs près de chez vous.

Enfin, nous avons aussi besoin d’aide financière. Là aussi le combat est important. Bien qu’il y ait des organismes qui peuvent remettre un reçu de charité, ce bénéfice n'a jamais été confié à Campagne Québec-Vie, pour des raisons qui devraient être évidentes: nous dérangeons un peu trop le consensus mou. Ce qui n’est habituellement pas le cas pour nos opposants…

Ceci vous demande un effort supplémentaire, nous en sommes conscients, mais combien nécessaire pour la bonne marche de notre œuvre. Campagne Québec-Vie, c’est une équipe de bénévoles et quelques employés permanents nécessaires au maintien de l’œuvre.

Nous comptons sur vous, en cette période estivale, pour soutenir cette œuvre si nécessaire dans ce Québec qui ne voit pas la réalité de l’avortement telle qu’elle est. Campagne Québec Vie est lu par des milliers de Québécois. Seule une petite minorité contribue à sa pérennité. Voulez-vous vous ajouter à ce nombre pour qui l’enfant à naître mérite un sacrifice, même pécuniaire?

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Comme le disait le maire du Plateau  Mont-Royal à l’un des veilleurs des 40 jours pour la Vie, et ce compliment revient également à tous ceux qui nous soutiennent : « Vous dérangez beaucoup, beaucoup plus de monde que vous ne pensez »

Et nous savons que par ces actions, des enfants ont été sauvés au Québec.

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Lettre du Dr Paul Saba dans La Presse sur les motivations financières derrière la volonté de légaliser l'euthanasie

Sur le site du journal La Presse du 3 juin 2013:

(Le gouvernement veut proposer actuellement l'euthanasie, et pour 20% de la population, un service de soins palliatifs est disponible...)

 

 

L'Assemblée nationale du Québec étudiera l'automne prochain le projet de loi 52, qui propose de reconnaître comme légale l'euthanasie (ou l'«aide médicale à mourir») pour les patients porteurs d'une maladie sévère et incurable associée à une détérioration importante et irréversible de leur condition médicale.
 
(...)
 
Les soins palliatifs sont-ils une alternative à l'euthanasie?
 
Plusieurs études ont montré que les soins palliatifs sont efficaces pour soulager les patients en phase terminale. Cependant, il faut que les gouvernements accordent une priorité aux soins palliatifs en terme de médication et de support à des équipes de professionnels qui sont en mesure d'apporter un support médical, psychologique et social à ces malades. 
 
À l'heure actuelle, au Québec, seulement 20% des patients en phase terminale ont accès aux soins palliatifs. La majorité des patients concernés montrent donc une inquiétude bien légitime vis-à-vis la souffrance de la fin de leur vie. Si on offrait des soins palliatifs adéquats à ces patients, l'euthanasie deviendrait inutile.
 
Y a-t-il des risques de dérapage?
 
En 2002, l'adoption d'une loi autorisant l'euthanasie en Belgique entraîna 24 décès assistés. En 2011, ce nombre s'éleva à 1,133 décès. L'an passé, des jumeaux identiques physiquement actifs et âgés de 43 ans furent euthanasiés après avoir montré un trouble génétique provoquant une cécité progressive. Actuellement, le Sénat belge discute de la possibilité d'élargir l'accès à l'euthanasie aux mineurs souffrants et affectés par une maladie sévères.
 
Les balises sont-elles suffisantes?
 
Un médecin peut-il, par une évaluation de 30 à 60 minutes, faire un examen en profondeur d'un patient en phase terminale pour certifier que l'euthanasie est une option de choix? Le tiers des patients euthanasiés en Belgique n'auraient pas été en mesure de donner un consentement libre et informé. Toujours en Belgique, 50% des cas d'euthanasie n'ont pas été rapportés aux autorités.
 
L'euthanasie peut-elle vraiment être un choix libre?
 
Le système de santé au Québec manque de ressources financières et il vient de subir des compressions de l'ordre de 100 millions. Entre autres conséquences, les patients âgés dans des résidences doivent demeurer souillés par l'urine ou les selles pendant des heures, et un certain nombre de personnes développeront des plaies de lit. Plusieurs d'entre elles souffrent de déshydratation et de malnutrition. Et lorsque ces patients entrent en phase terminale, ils n'ont pas accès aux soins palliatifs.
 
Il faut donc s'interroger davantage avant d'ajouter l'euthanasie aux soins médicaux. Le gouvernement du Québec a-t-il l'intention de prioriser l'accès aux soins palliatifs? Si les patients en phase terminale n'ont pas accès à de tels soins, peuvent-ils vraiment faire un choix libre et informé pour décider d'utiliser un cocktail létal? L'euthanasie représenterait elle la solution finale d'un système de santé déficient pour les patients en phase terminale?
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La Fédération des médecins omnipraticiens du Québec reconnaît avoir laissé mourir des enfants né vivants après avortement

Sur le site de la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (tiré de la revue Le Médecin du Québec, volume 42, numéro 4, avril 2007, p.111):

(Sur la photo : ce qu'une équipe médicale aurait dû faire suite à la naissance d'un enfant vivant : le soigner et tenter de le sauver!)

 

En septembre 2004, le Collège des médecins du Québec émettait des lignes directrices concernant une interruption médicale de grossesse à la suite de l’évolution des différentes techniques médicales utilisées.4 Plusieurs techniques ayant recours à différents protocoles sont suggérées.Toutefois, dans tous les cas, le col nécessite une préparation par misoprostol ou à l’aide de tiges laminaires. 
 
Avec la technique de déclenchement du travail, dans la majorité des cas, le bébé si fragile ne résiste pas à l’accouchement et est mort à la naissance. Il est toutefois possible qu’il vive de quelques minutes à quelques heures. À moins de 24 semaines, le bébé n’est pas viable à cause de sa grande prématurité. Il est important que les parents soient préparés à l’éventualité que le bébé présente des signes de vie. Il faut leur suggérer de profiter de ces moments pour accompagner leur bébé avec amour dans sa courte vie. Ces instants peuvent permettre aussi d’ondoyer le bébé si les parents le désirent. En général, les parents chérissent ces moments précieux passés avec leur bébé vivant. Il faut, toutefois, que les intervenants soient formés à l’accompagnement des parents et puissent être guidés par un protocole de soins palliatifs pédiatriques.
 
Selon les lignes directrices (2004) du Collège des médecins du Québec4, «à partir de 20 semaines, afin de faciliter l’évacuation et d’éviter l’expulsion d’un fœtus vivant, il est suggérer de faire une injection intra-amniotique ou
intrafœtale de digoxine ou de chlorure de potassium (KCl) au moment de l’insertion des tiges laminaires. »
 
4. Lignes directrices du Collège des médecins du Québec.
L’interruption volontaire de grossesse ;2004. Site Internet :www.cmq.org/DocumentLibrary/UploadedContents/CmsDocuments/
ligne_interruptionvolontaire_grossesse.pdf(Date de consultation : le 30 janvier 2007).

Des enfants prématurés sont sauvés à 21 semaines de grossesse actuellement. Ces enfants sont reconnus comme des personnes par tous. La Charte des droits et libertés de la personne du Québec affirme :

1. Tout être humain a droit à la vie, ainsi qu'à la sûreté, à l'intégrité et à la liberté de sa personne. Il possède également la personnalité juridique. 1975, c. 6, a. 1; 1982, c. 61, a. 1. 2.

2. Tout être humain dont la vie est en péril a droit au secours. Toute personne doit porter secours à celui dont la vie est en péril, personnellement ou en obtenant du secours, en lui apportant l'aide physique nécessaire et immédiate, à moins d'un risque pour elle ou pour les tiers ou d'un autre motif raisonnable. 1975, c. 6, a. 2.

Ces enfants dont la vie était en péril, avaient le droit que toute personne leur porte secours, d'autant plus qu'ils étaient entourés du personnel infirmier et de médecins. Les soins palliatifs ne sont pas des soins qui visent à assurer la survie du patient. Selon cette charte , ces médecins et infirmiers sont coupables de non assistance à personne en danger. 

Pour éviter ces cas où l'enfant à naître est reconnu comme une personne, il est « suggéré » de lui faire une injection létale auparavant. Ni vu, ni connu.

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Une nouvelle maison de soins palliatifs à Ottawa

Sur le site du journal Le Droit du 28 juin 2013:

 

(Petite ville à l'ouest d'Ottawa accueillant une nouvelle maison de soins palliatifs)

 

 

Le projet de doter l'ouest de la Ville d'Ottawa d'une nouvelle maison de soins palliatifs a franchi une étape importante, jeudi.
 
Les responsables de la Maison de soins palliatifs d'Ottawa ont pris possession de l'édifice de l'ancienne église presbytérienne Trinity, dans le secteur Kanata. Cet édifice abritera les bureaux administratifs de l'organisme, ainsi qu'une grande salle de réunion. Le véritable but de cette acquisition reste toutefois de construire un hospice de dix lits pour des gens en fin de vie.
 
En vertu d'un partenariat avec la fondation de Soins continus Bruyère, et avec l'aide financière de 170 000 $ de Mme Shirley Greenberg, les responsables de la Maison de soins palliatifs ont pu acheter l'ancienne église, mais il leur reste encore à amasser quelque 4 millions$ pour construire l'aile de soins pour dix personnes.
 
Du travail à faire
 
«Nous avons encore beaucoup de travail à faire», a déclaré le président du conseil d'administration, Chris Warburton. «Le gouvernement de l'Ontario finance le fonctionnement de l'hospice, mais pas la construction. Nous sommes donc dépendants de la générosité de la communauté. Nous espérons amasser suffisamment d'argent pour accueillir les patients dans deux ans», a-t-il ajouté.
 
(...)
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Réflexion judicieuse du Gouverneur Rick Perry, sur le parcours de la sénatrice Wendy Davis...

Sur le site du journal La Presse du 28 juin 2013:

 

(Le Gouverneur Rick Perry)

 

«Elle est la fille d’une mère célibataire. Elle a été elle-même une mère adolescente. Elle a réussi à décrocher un diplôme de la faculté de droit de Harvard et à servir au sein du sénat du Texas. C’est dommage qu’elle n’ait pas appris de son propre exemple. Chaque vie mérite de se réaliser pleinement et chaque vie compte.»

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L'Île-du-Prince-Edouard résiste à l'ingérence du conseil consultatif sur la condition de la femme

Sur le site de Radio-canada du 28 juin 2013:

 

(Robert Ghiz, premier ministre de l'Île-du-Prince-Edouard)

 

 

Le Conseil consultatif sur la condition de la femme de l'Île-du-Prince-Édouard se montre particulièrement sévère envers le gouvernement, car l'avortement n'est toujours pas offert dans la province.
 
L'Île-du-Prince-Édouard est la seule province canadienne qui n'offre pas le service d'avortement. Les femmes qui veulent une interruption de grossesse doivent se rendre en Nouvelle-Écosse ou au Nouveau-Brunswick pour subir cette intervention. Selon les circonstances, le gouvernement provincial peut en payer les coûts.
 
« Cette situation est injuste et ce n'est pas acceptable », lance Jane Ledwell, directrice générale du Conseil consultatif sur la condition de la femme. Elle ne voit aucune volonté de la part du gouvernement d'offrir ces services, malgré le fait que l'avortement est légal au Canada depuis 25 ans.
 
Selon Mme Ledwell, les femmes de l'île n'ont pas les mêmes droits que les autres Canadiennes.
 
(...)
 
Jane Ledwell estime d'ailleurs que l'Île-du-Prince-Édouard contrevient à la loi canadienne sur la santé.
 
Le premier ministre Robert Ghiz a répété à maintes reprises que le statu quo était tout à fait acceptable. Le gouvernement provincial indique qu'il n'a pas les moyens d'offrir tous les services en santé, dont l'avortement.
 
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Pays-Bas : Euthanasie d'une fêtarde de 26 ans...

Sur le blog de Jeanne Smits du 24 juin 2013:

 

(La veille d'être euthanasiée, Priscilla a passé la nuit à faire la fête...)

 

Lundi soir de nombreux Néerlandais seront vissés à leurs écrans de télévision pour voir un documentaire de 55 minutes sur la « mort choisie » de Priscilla Brouwer, euthanasiée à 26 ans pour ne pas subir la lente dégradation associée à la maladie héréditaire dont était morte sa propre mère alors qu'elle était encore enfant.
 
Le film sera diffusé par une chaîne d'Etat, Nederland 2, sous le titre Nachtvlinder, « Papillon de nuit », le surnom de la jeune fille qui dès le diagnostic de sa maladie, à l'âge de 16 ans, a décidé de profiter de chaque instant, jour et nuit. Devenue une figure de la vie nocturne à Amsterdam, elle a tôt décidé qu'elle partirait lorsqu'elle estimerait « souffrir sans perspective » selon la terminologie officielle de la loi autorisant l'euthanasie, issue qu'elle avait envisagée et étudiée dès la maladie et la mort de sa propre mère.
 
Le documentaire, goulûment filmé pour montrer la jeune Priscilla et tous ceux qui l'ont soutenue en exemple, la suit pendant ses derniers jours. Derniers jours décrétés inéluctables par la jeune femme lors de son 25e anniversaire : c'est là qu'elle estime souffrir davantage qu'elle ne tire de jouissance et de choses positives de la vie. Deux amies proches l'accompagnent dès lors dans ses démarches : aller voir le médecin de famille, par exemple, pour réclamer la mise à mort prochaine.
 
Sans être en pleine forme, Priscilla n'en est pas pour autant en phase terminale. Mais elle dit préférer partir à 26 ans que d'attendre les quelques années de vie supplémentaire qu'elle pense pouvoir espérer dans un état diminué.
 
Alors, elle s'offre ses derniers plaisirs. Un tour en taxi dans Amsterdam, pour saluer une dernière fois sa ville. Boire. « Cueillir le jour ». Pour ses 26 ans, elle va s'offrir une fête à tout casser, avant de partir définitivement le lendemain, entourée de ses amies.
 
Aussi Papillon de nuit montre-t-il sans fard cette dernière soirée où Priscilla danse, rit, boit, crie, grimpe sur les comptoirs, joue aux stars de la fête.
 
Avec tout ce que cela peut avoir de choquant : c'est une jeune femme pleine de vie qui va être piquée le lendemain, au terme d'une vie dont il est évidemment interdit de penser qu'elle est vide et triste, sans but et sans direction. Non : il faut exprimer respect, admiration, compassion, compréhension et saluer son « courage ». Pour une conduite que la presse aura tôt fait de présenter comme exemplaire, à l'instar de l'association néerlandaise pour la mort volontaire.
 
L'association sus-dite, la NVVE, voudrait justement que ce documentaire serve d'outil pédagogique pour les plus jeunes, et souhaite le projeter dans cet esprit avec organisation de « débats » pour les sensibiliser à l'option de la mort choisie. La dynamique de groupe fonctionnant à plein, on s'en doute.
 
(...)
 
Comment ne pas comprendre que sa mort est d'abord un acte d'accusation contre une société qui a tout réduit à la jouissance matérielle, et qui est devenue collectivement incapable de comprende autre chose ?

« Souffrir sans perspectives » est la situation normale des athées, puisque toute personne souffre souvent dans sa vie, mais que les croyants ont une espérance. Prions pour ces personnes qui prônent la légalisation du suicide pour tous, sous la forme d'une euthanasie...

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La violence du gouvernement français et des idéologues LGBT, censurée par nos médias

Le magazine français Valeurs Actuelles du 27 juin 2013 fait le point sur la situation de Nicolas, ce jeune condamné à 4 mois de prison pour avoir manifesté son opposition au « mariage » gai :

(Une véritable révolution, un printemps français pour les droits de la famille et des enfants se joue actuellement en France, censurée par nos médias...)

 

En emprisonnant un manifestant contre le mariage homosexuel, le pouvoir a fait une faute terrible. Nicolas est le premier « prisonnier politique » depuis cinquante ans.

Nicolas a 23 ans. C’est un étudiant comme beaucoup d’autres. Comme vos enfants ou vos petits-enfants. C’est un garçon qui a des convictions, qu’il a défendues comme des centaines de milliers d’autres au cours des nombreuses manifestations contre le mariage homosexuel. Et ses convictions, il continue de les faire vivre au sein du pacifique mouvement des Veilleurs. C’est ce qui l’a amené le 16 juin dernier à se joindre aux 1 500 autres Français de toutes sortes non loin de M6, pendant que le président de la République y prêchait la vacuité de sa politique.

Nicolas n’a pas touché à une seule vitrine, un Abribus, pas même une poubelle publique, à la différence des décérébrés qui ont défiguré il y a un mois, en toute impunité, la place du Trocadéro. Il n’a pas lancé le moindre pavé sur l’un des 108 cars de CRS mobilisés pour assurer la protection de ce président « normal » venu parler « en toute simplicité » aux Français. Il s’est contenté de manifester ensuite avec d’autres opposants au mariage homosexuel dans le XVIe arrondissement, où il a été interpellé, avant de refuser de se livrer à un prélèvement d’empreintes ou à un prélèvement ADN. Ordre donné par le sectaire Manuel Valls à l’encontre de ces opposants non violents, comme s’ils étaient des brigands de grand chemin.

Pour avoir défié ainsi ce pouvoir policier, le jeune Nicolas a été présenté en comparution immédiate, le mercredi 19, devant une juge aussi sectaire que le pouvoir dont elle dépend. Ce qui lui a valu d’être condamné à quatre mois de prison, dont deux mois fermes, par le tribunal correctionnel de Paris. Depuis, Nicolas dort à la prison de Fleury-Mérogis, avec des braqueurs, des violeurs et des tueurs.

C’est la première fois depuis les événements d’Algérie que la France compte un prisonnier politique. Un gamin qui n’a commis aucun acte de délinquance et dont le seul tort est d’avoir exprimé une opinion contraire à celle du gouvernement. Si cette affaire mérite d’être soulignée, c’est parce qu’elle est très grave. Sur le plan juridique, politique, et même philosophique.

Juridique d’abord. Car Nicolas n’a pas été jugé en droit, mais en circonstances. Parce qu’il fallait au pouvoir la nécessité de « faire un exemple ». Mais quelle est donc cette justice qui met au cachot un jeune usant du droit constitutionnel de manifester, et qui dans le même temps vient de relaxer dix-neuf voyous qui ont attaqué en mars dernier une rame de RER, aspergeant une trentaine de passagers de gaz lacrymogène avant de repartir avec leurs téléphones et leurs portefeuilles? Cette justice politique fait peur. Elle fait écho aux pages les plus terribles de notre histoire. Et ce n’est pas par hasard si un nombre croissant de magistrats commencent à s’en inquiéter.

(...)

Cette incarcération montre enfin ce que nombre de grands auteurs, de Suétone jusqu’à Alain en passant par Montesquieu, nous ont enseigné : un gouvernement qui se réfugie dans la violence est un gouvernement en perdition. Comme l’écrivait le philosophe Vladimir Jankélévitch : « La violence n’est rien d’autre qu’une force faible. » (…)

Car que va-t-il rester de tout cela? Un Nicolas qui sortira dans deux mois de prison en héros d’une révolution morale et pacifique. (...)

Il faut le dire, aucun groupe LGBT n’a dénoncé cette incarcération injuste.

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