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Le Parlement européen dénonce l'avortement sélectif

Sur le site de canoe.ca du 8 octobre 2013 :

 

(Des survivantes au «massacre de masse systématique» des enfants du monde entier.)

 

Le Parlement européen s'est élevé mardi contre l'avortement sélectif des foetus féminins, un fléau qui sévit principalement en Asie.
Un rapport, demandant notamment aux institutions européennes d'exiger l'éradication de cette pratique lors de négociations concernant l'aide humanitaire avec des pays tiers, a été approuvé par 567 voix contre 37.

L'élimination des filles avant leur naissance est un phénomène toujours présent en Chine, en Inde et au Vietnam mais aussi en Albanie, en Arménie, en Azerbaïdjan et en Géorgie. En raison de ce «généricide», terme choisi par le Parlement pour désigner le «massacre de masse systématique, délibéré et sélectif» selon le sexe des personnes, la Chine comptait 113 naissances masculines pour 100 filles en 2012, a dénoncé la socialiste chypriote, Antigoni Papadopoulo, qui présentait le rapport.

Les termes sont justes, mais s'appliquent tout autant aux garçons...

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La joie des enfants de la « Grande noirceur »...

Sur le site du journal Le Devoir du 8 octobre 2013, ce texte sur l'insouciance des enfants d'une époque :

(Jean Béliveau, Maurice Richard et Dickie Moore à l'époque de la « grande noirceur ». On raconte qu'ils auraient été obligés de servir la messe et que même Guy Lafleur aurait été tellement endoctriné par ses parents qu'il aimait être enfant de choeur. Pauvres enfants martyrs de la grande noirceur...)

 

(...)Je parle ici d’un phénomène que j’observe en moi, mais aussi chez des parents qui ont le même âge que moi, dont les enfants ont le même âge que les miens, et que je fréquente depuis plusieurs années autour des garderies, parcs, écoles primaires, camps de jour, piscines publiques et autres YMCA : s’il me fallait décrire en un mot cette cohorte de parents et souligner ce qui les distingue non seulement de leurs propres parents, mais aussi de tous les parents de toutes les générations précédentes, je dirais qu’ils sont globalement inquiets. Je le vois d’autant mieux que je côtoie aussi, dans mon quartier, des parents qui le sont apparemment beaucoup moins ; je parle des juifs hassidiques qui élèvent leurs enfants avec une sorte de sérénité dont je conçois bien qu’elle soit digne d’envie, mais que je ne puis m’empêcher de trouver extravagante. Mon fils de quatre ans l’a remarquée et m’a demandé pourquoi ces gens laissaient leurs petits, à peine plus vieux que sa soeur et lui, se promener dans le quartier sans être accompagnés d’adultes, ce qui chez nous, bien entendu, est inconcevable. « Peut-être qu’ils s’occupent mal de leurs enfants », a-t-il avancé à titre d’hypothèse devant mon embarras. Je sentais bien que c’était faux et qu’il aurait fallu dire quelque chose ; mais il m’aurait été difficile de le faire sans condamner implicitement ma propre prudence, à laquelle je suis attaché malgré moi et dont je n’arrive pas à me défaire. On peut vivre dans la même rue et habiter des mondes différents ; l’écart qui me sépare de ces voisins est aussi infranchissable que celui qui me sépare des siècles passés. Ces mères envoient leurs enfants jouer dehors en toute tranquillité parce que dehors, ils sont encore chez eux. En chemin vers le parc ou la boulangerie cachère, ils passeront devant la maison de M. Werzberger, salueront les cousins Moshe et Daniel, diront bonjour à leur tante Feldman et se feront doubler par les bicyclettes de Yehudit et Dinah, les jumelles de madame Ginsberg. Ils ont quitté la maison familiale et gagné la ruelle, le trottoir ou le parc ; mais ils n’ont pas quitté la maison invisible que forment autour d’eux les regards bienveillants de la communauté. Bien entendu, nous ne voulons pas de ces regards, trop attachés que nous sommes à notre individualisme ; mais on peut en comprendre la valeur, et je la comprends d’autant mieux que j’ai connu, enfant, un monde qui ressemblait encore un peu à celui-là, ou qui du moins n’était pas encore aussi étrangement et insidieusement défait que celui dans lequel je tâche d’élever mes enfants aujourd’hui. (...)

Jean Béliveau raconte dans sa biographie que, dans sa jeunesse, il ouvrait le coffre de sa voiture où les enfants du voisinage venaient cueillir quantités de bonbons qu'il avait déposés là à leur intention. Il remarquait avec justesse qu'une personne voulant refaire ce même geste aujourd'hui, se ferait embarquer par la police... C'était, dans les années 50, les années où les enfants étaient martyrisés...

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Quelques photos de la chaîne de la Vie à Québec

 

 

 

 

 

Pour voir plus de photos sur la Chaîne pour la Vie à Québec, cliquez ici.

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Martine Desjardins décrit les enfants à naître comme des bombes à retardement...

Un texte inacceptable dans le Journal de Montréal du 8 octobre 2013, produit d'une idéologie féministe inhumaine, décrit les enfants à naître comme des bombes à retardement. L'auteur, Martine Desjardins, ancienne porte-parole du mouvement étudiant Feuq (à droite sur la photo), ignore complètement les ravages de l'avortement sur des personnes qui ont déjà subi le traumatisme du viol.

Vendredi, le gouvernement du Canada, par la bouche de son ministre du Développement international, Christian Paradis, a annoncé que l’aide du Canada ne servira pas à financer des avortements en temps de guerre, même si ces grossesses sont les résultats de viols ou encore de mariages forcés d’enfants.
 
Cette nouvelle, présentée très tard en fin de journée, n’a pas fait de vagues et, pourtant, elle est importante. Elle s’inscrit dans une démarche du gouvernement fédéral qui nie les droits des femmes à l’international.

(...) 
NOUVELLE ARME
 
Les mariages précoces et le viol sont devenus en temps de guerre une nouvelle arme. D’une part, à des fins politiques: par exemple, dans le cas de la Yougoslavie (1992-1995), plusieurs analystes ont parlé de purification ethnique. D’autre part, pour montrer aux forces en place leur impuissance à protéger leurs plus faibles. Les femmes et les fillettes sont utilisées comme des armes pour atteindre les troupes alliées. Ces femmes et ces enfants, victimes de violence et de sévices sexuels, se retrouvent parfois avec une bombe à retardement: un enfant à naître.
 
Une grossesse qui leur montre les sévices qu’elles ont subis. Un enfant qui leur rappellera tous les jours cette cicatrice. Le gouvernement fédéral ne peut pas imposer à ces femmes l’obligation de rendre à terme un enfant non désiré issu d’un viol. Non seulement nous leur faisons subir à long terme leur cauchemar, mais pour celles qui choisissent de mettre malgré tout un terme à leur grossesse, nous les obligeons à avoir recours à des services douteux et parfois cruels.
 (...)

Mme Desjardins, n'a jamais entendu parler de ces femmes qui furent guéries du traumatisme du viol par cette grossesse même. Pour lire un témoignage parmi d'autres, cliquez ici.

Mme Desjardins, n'a jamais entendu parler de ces femmes qui ont souffert d'avoir ajouté au traumatisme du viol, celui de l'avortement. Pour lire un témoignage, cliquez ici. La conclusion de ce témoignage est la suivante :

Toute personne incitant à l’avortement ne pense pas à l’avenir d’une femme violée. Avec le recul, je constate que l’avortement n’a pas été un bon choix: en plus du viol, je me suis chargée de la responsabilité de l’avortement de mon propre enfant. Une femme violée devrait pouvoir bénéficier d’un soutien psychologique et matériel pour mieux accepter l’enfant innocent qu’elle porte contre son gré. A long terme, il est certainement plus facile d’accepter un enfant issu d’une telle tragédie que de vivre avec un avortement sur sa conscience. Inciter une femme violée à avorter est une alternative qui ne fera qu’amplifier sa souffrance.

Ensuite Mme Desjardins s'arroge le droit de décider qu'un enfant à naître doit mourir parce que les conditions de sa conception ne sont pas acceptables. Voici une personne née d'un viol qui lui répond... Cliquez ici pour voir cette réponse.

Enfin, Mme Desjardins voudra certainement de nouveau retomber dans le pathos de l'histoire d'une petite fille tombée enceinte à la suite d'un viol, comme si cela pouvait avoir un lien avec la décision de la faire avorter. Mais les enfants, lorsqu'ils ne sont pas dirigés par l'entourage vers des « solutions » qui «sauvent» surtout l'entourage de trouver une famille pour un nouvel enfant, sont capables d'avoir des décisions pleinement humaines et aimantes. Voici un témoignage d'une fillette de 11 ans, violée par son beau-père, qui a voulu donner naissance à son enfant, malgré ce qu'Amnistie Internationale et tous les groupes féministes de la planète voulaient pour elle... Cliquez ici pour voir ce témoignage.

Mme Desjardins débute dans le métier de journaliste. Malheureusement, elle débute en suivant les traces de son collègue Richard Martineau, traitant trop souvent de sujet qu'il ne maîtrise pas. Nous ne pouvons que recommander à Mme Desjardins de s'attarder à des sujets qu'elle connaît déjà, ou alors de prendre le temps de faire des recherches approfondies...

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Le PC n'écoutera pas Thomas Mulcair et Justin Trudeau qui demandent le financement de l'avortement à l'étranger par le Canada

Sur le site de pharmablogue.com du 7 octobre 2013 :

(Une très bonne initiative du gouvernement qui désire aider vraiment les femmes victimes de viol et ne désire surtout pas ajouter le traumatisme de l'avortement aux souffrances déjà pénibles causées par le viol. Sur la photo, Stephen Harper en compagnie de son ministre Christian Paradis)

 

4 oct. 2013 – La semaine dernière, Ottawa a signé une déclaration internationale pour dénoncer le viol en temps de guerre. En même temps, le Canada faisait une sortie pour dénoncer les mariages forcés. Mais le ministre du Développement international, Christian Paradis, affirme que ces prises de position ne se traduiront pas en financement de services d’avortement pour les femmes victimes de viols ou de mariages forcés.
 
Le ministre Paradis prononçait un discours, vendredi matin dans un symposium, sur l’initiative de Muskoka, engagement pris au G8 de 2010 pour financer des projets améliorant la santé des mères, des nouveau-nés et des enfants dans les pays en développement.
 
Lors de l’annonce de cette initiative à laquelle Ottawa consacre 3 milliards $, le gouvernement Harper avait assuré qu’aucun de ces dollars ne servira à fournir des services d’avortement.
 
Aujourd’hui, M. Paradis se rapporte donc à cette initiative.
 
“Ça va probablement suivre la même logique que Muskoka. Je pense qu’on était clair sur ça”, a-t-il expliqué après avoir dit que “non”, Ottawa ne financerait pas des avortements pour les victimes de viols et de mariages forcés.
 
(...)

 
À Ottawa, libéraux et néo-démocrates ont immédiatement dénoncé le refus du gouvernement conservateur de financer des services d’avortement pour les victimes de viol.
 
“Les femmes victimes de cette violence ont le droit de recevoir tous les soins, y compris un accès à un avortement sécuritaire”, a insisté Thomas Mulcair, le chef du NPD.
 
“Le gouvernement conservateur laisse passer l’idéologie avant le gros bon sens et la santé des femmes et c’est une vraie honte”, a-t-il tonné, lors d’un point de presse sur la colline parlementaire, vendredi après-midi.
 
Le chef libéral, quant à lui, s’en est remis à Twitter où il a relayé le commentaire d’une de ses députées “Le ministre Paradis a tort. Les victimes de violence sexuelle ont besoin de l’appui de pays comme le Canada. Point final”, pouvait-on lire sur le compte Twitter de Justin Trudeau.
 
“C’est définitivement une bonne chose”, estime, pour sa part, Matthew Wojciechowski, de l’organisme Campaign Life Coalition.
 
“Les viols en temps de guerre et les mariages forcés sont des situations horribles, (mais) les groupes pro-avortement détournent complètement cette question pour faire avancer leur cause en faveur de l’avortement”, a-t-il dit dans une entrevue téléphonique.
 
Selon le ministre Paradis, le Canada trouvera d’autres moyens pour aider les victimes de viol.
 
“Il y a sûrement d’autres mesures qui peuvent être prises et c’est là qu’il y a du travail en cours. Et on va évaluer, voir où est-ce qu’on peut venir en aide”, a assuré le ministre.
 
(...)

 
Au printemps, Ottawa avait promis 5 millions $ pour aider les victimes de violence sexuelle dans les zones de conflit armé. Jusqu’à maintenant, 1 million $ a été utilisé en Afghanistan pour une ligne téléphonique qui offre des références aux victimes pour de l’aide légale, médicale et psychologique.
 

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Je porte ma croix

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En plus des 40 jours pour la vie qui ont sauvé déjà 132 bébés, il y a des manifestations pro-vie à Québec et Montréal

Sur le site du Journal de Québec du 7 octobre 2013 :

 

 

 

 

 

 

Pro-Vie Québec a tenu sa manifestation annuelle anti-avortement dimanche, devant le Centre hospitalier de l’Université Laval.

Les représentants de l’organisme étaient présents avec des affiches contenant des messages «pro-vie», tels que «L’avortement tue les enfants» et «La vie : le premier droit inaliénable». Pro-Vie Québec se réunit chaque premier dimanche d’octobre à cet endroit pour militer contre l’avortement. (...)

Une manifestation semblable se déroulait également à Montréal, intitulée la Chaîne de la Vie.

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Détails sur une usine à bébés indienne...

Sur le site de sud-ouest.fr du 5 octobre 2013 :

 

 

Autorisée depuis 2002 en Inde, la gestation pour autrui est devenue une gigantesque industrie et attire de plus en plus de convoitises.

La gestation pour autrui et le recours aux mères porteuses sont encore beaucoup discutés en France, mais certains pays du monde sont déjà passés à la vitesse supérieure. En Inde, une immense clinique est en train de sortir de terre à Anand, dans la province du Gurajat, sous l'impulsion de Nayna Patel, une femme médecin, spécialiste de la fécondation in vitro, formée à Singapour, en Angleterre et en Corée du Sud. L'établissement abritera des centaines de mères porteuses qui aideront des couples occidentaux infertiles à concevoir un enfant.
 
Selon BBC news, le marché indien de la gestation pour autrui est estimé à plus d'un milliard de dollars par an, dans un pays où un tiers de la population vit avec moins de 0,6 dollar par jour. Pour porter un enfant, une femme pourra espérer toucher jusqu'à 8000 dollars.

(...)

 
Le médecin reçoit énormément de demandes, et a établi des critères de sélection stricts. "Les femmes doivent avoir moins de 45 ans, être en bonne santé et avoir déjà eu au moins un enfant, pour éviter qu'elles ne s'attachent au bébé" explique-t-elle dans un reportage de la National Geographic Channel.
 

Nayna Patel demande tout de même 28 000 dollars aux parents souhaitant concevoir un enfant, une marge plus que confortable mais toujours inférieure aux tarifs pratiqués aux Etats-Unis.
 
(...)

 
Depuis le début du projet, Nayna Patel aurait déjà accompagné la naissance de plus de 500 bébés. Les couples viennent de partout : Angleterre, Allemagne, Canada, et beaucoup des Etats-Unis, occultant les dérives du système par le bonheur d'être enfin parents.
 
(...)

 
Mais voir de riches étrangers payer des Indiennes pauvres pour avoir un enfant soulève des questions éthiques chez beaucoup d'Indiens. Interrogée par l'Express, l'association pour le droit des femmes All India Democratic Women's s'inquiète de "la pratique même de la gestation pour autrui dans un pays où les femmes n'ont pas de ressources financières".
 
Après l'interdiction du recours aux mères porteuses pour les célibataires et couples gays en début d'année, le gouvernement indien pourrait de nouveau opérer des régulations dans les mois à venir.
 

 

 

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Une aveugle se suicide en Hollande, avec la bénédiction de la loi...

Sur le blog de Jeanne Smits du 7 octobre 2013 :

 

 

 

 

 

Le quotidien néerlandais Trouw rapporte cette double information : l'an dernier, aux Pays-Bas, une femme de 70 ans a bénéficié d'une assistance au suicide parce qu'elle était devenue aveugle et ne le supportait pas, et – deuxième fait remarquable – l'acte vient d'être évalué comme conforme à la loi. Exceptionnellement, les cinq commissions régionales d'évaluation se sont toutes penchées sur le cas jugé inhabituel. Elles l'ont toutes approuvé.
 

La victime était malvoyante de naissance. Ces dernières années sa vision avait été réduite à néant et elle manifestait depuis huit ans le désir de mourir, aggravé par la mort de son mari et par le fait qu'elle vivait seule. Elle ne souffrait d'aucune autre maladie ou affection. Elle avait fait plusieurs tentatives de suicide et avait essayé de cesser de boire et de manger, sans parvenir à « tenir bon » assez longtemps pour mourir.
 

(...) « Ainsi elle était très soignée et elle trouvait cela épouvantable de ne pas pouvoir voir les éventuelles taches sur ses vêtements. Acheter des vêtements, une activité qui lui avait procuré tant de plaisir, était devenu une corvée insupportable. » 

Vous avez bien lu : c'est pour des questions d'apparence que cette femme s'est fait supprimer. Et une incroyable dose d'amour-propre : elle ne voulait pas être en maison de soins et elle refusait d'avoir un chien guide d'aveugle  « Je veux bien sortir le chien, disait-elle ; je ne veux pas qu'il me sorte. »
 

Etait-elle dépressive ? Un psychiatre l'a entendue et, bien qu'elle pleurait tous les jours, a décidé que non.
 

Et ce sont d'autre médecins : Mme Bruin et les responsables de la clinique de fin de vie, qui ont décidé qu'en effet sa souffrance – psychique en l'occurrence – était insupportable et sans perspectives, la condition nécessaire mais aussi suffisante pour qu'une personne en mesure d'exprimer sa volonté puisse réclamer une euthanasie ou une assistance au suicide. Dans cette décision « médicale » il y a aussi une part de subjectivité… Il n'a pas été question d'une interprétation plus large de la loi, assure Steven Pleiter, directeur de la clinique.
 

La patiente s'est donc suicidée l'an dernier, en présence de ses enfants et de Lia Bruin qui n'avait jamais assisté à une « fin de vie volontaire ». C'est elle qui lui a tendu le cocktail lytique. Bruin raconte qu'elle n'a jamais vu personne boire avec autant d'avidité une mixture aussi infecte.
 

Commentaire de la clinique de fin de vie : on a peut-être évité un suicide inhumain.

Tous les suicides sont inhumains...

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Encore des avortements forcés en Chine...

Sur le site de 7sur7.be du 4 octobre 2013 :

 

(Liu Xinwen)

 

Un couple de Chinois témoigne du calvaire vécu vendredi dernier. Pour faire respecter la politique de l'enfant unique, la police a forcé une future mère enceinte de six mois à avorter.
Ce couple de jeunes Chinois a vécu un enfer vendredi dernier. Sur le coup de 4 heures du matin, 16 fonctionnaires de police ont débarqué chez eux pour forcer la jeune femme de 33 ans, enceinte de six mois, a avorté. La police a défoncé la porte de l'habitation du couple et Liu Xinwen a été transportée de force dans un hôpital de Frangzi dans la ville de Weifang. Elle y a reçu une dose de médicament destiné à tuer le bébé in utéro. Le bébé, un garçon, est mort le lendemain dans le ventre de la jeune femme. Il a fallu un jour de plus pour qu'il en sorte. 
 
Six jours après le drame, le couple a confié à Sky News "Je n'ai pas pu voir mon bébé. Mais je serais encore plus bouleversée si je l'avais vu."
 
Le couple, déja parent d'un garçon de dix ans, a été victime de la brutale politique de l'enfant unique en Chine. La loi est conçue pour maintenir la population du pays sous contrôle. Reste que si un couple conçoit un deuxième enfant, il est puni par des sanctions financières et non pas par un avortement forcé. Mais dans certaines provinces de Chine, certains responsables locaux font de l'excès de zèle. "Ils n'ont aucun humanité", confie la mère blessée. 
 
Le papa a pleuré en cachette quand il a appris que son enfant était mort. "Je ne voulais pas que ma femme me voit en larmes. Elle était si triste. Elle pleure jour et nuit. J'ai perdu mon enfant. Je suis sans voix, les mots ne peuvent pas décrire mes sentiments."
 
(...)

Pas un pays occidental ne dit mot...

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