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Éducation chrétienne : la cause qui oppose Loyola au ministère de l'Éducation du Québec sera entendue à Ottawa le 24 mars

Rappels à nos nombreux sympathisants :

(Photo : thomas1313 sur wikimedia.org, licence creative commons)

La cause qui oppose Loyola, école secondaire montréalaise pour garçons, au ministère de l'Éducation du Québec sera entendue à Ottawa le 24 mars 2014. Rappelons que Loyola demande à pouvoir enseigner un cours ECR dans une perspective catholique. Le MELS lui a refusé ce droit considérant que le programme ECR doit s'enseigner d'une manière « laïque ».

L'entrée à l'audience est libre. Le public peut donc assister au débat.

Les audiences commencent habituellement à 9 h 30, mais il arrive qu’elles commencent à 9 h sans préavis au public.

L'adresse de la Cour :
Cour suprême du Canada
301, rue Wellington
Ottawa (Ontario)
K1A 0J1
Téléphone : 613-995-4330 ou 1-888-551-1185

Le carnet Pour une école libre nous informe qu'il publiera des articles de fond sur le sujet ainsi qu'un compte rendu de l'audience


www.coalition-cle.org

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Un discours courageux à l'ONU, à voir, dénonçant les avortements tardifs

ONU : Les infanticides néonataux et les avortements tardifs dénoncés par l'ECLJ (European Center for Law and Justice)

//www.youtube.com/embed/699jchXCwNw

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Si on condamne l'avortement sélectif (selon le sexe), pourquoi ne condamne-t-on pas l'avortement des personnes handicapées?

Une intéressante réflexion sur le site du Canadian Family Physician (Merci à S.F de nous l'avoir transmise) :

(photo : wikimedia sans copyright)

 

 

Socialement répugnant ou norme de soins

Y a-t-il une distinction entre l’avortement sélectif en fonction du sexe ou de la capacité?

Rebecca Lobo, MD

Pourquoi la plupart des autorités médicales acceptent-elles, endossent-elles et encouragent-elles le dépistage génétique prénatal tout en s’opposant à l’avortement sélectif en fonction du sexe? La juxtaposition de ces 2 pratiques soulève des questions lorsqu’on les compare et que l’on se demande s’il y existe un fondement éthique crédible pour donner son aval à l’une tout en condamnant l’autre. Nous espérons susciter cette conversation sans soulever de questions plus larges concernant la moralité de l’avortement ou à savoir si les droits de la personne devraient s’appliquer aux fœtus. Nous avons pour objectif de mettre en évidence les différences dans la façon dont on envisage l’avortement sélectif de divers genres de fœtus et d’explorer s’il est éthiquement possible de défendre leur traitement de manières radicalement différentes.

Si nous sommes d’accord d’empêcher des parents de connaître le sexe de leur enfant avant la naissance, nous le faisons pour prévenir la discrimination fondée sur le sexe. Nous cherchons à affirmer l’égalité des hommes et des femmes et nous acceptons de limiter les droits des femmes lorsqu’elles penchent vers un sexisme évident et expressément «répugnant socialement». Ce faisant, nous cherchons à cultiver une société qui appuie les principes des Nations Unies concernant les droits de la personne qui sont déclarés comme suit:

Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Par conséquent, personne ne doit souffrir de discrimination fondée notamment sur la race, la couleur, l’ethnicité, le sexe, l’âge, la langue, l’orientation sexuelle, la religion, l’opinion politique ou toute autre opinion, l’origine nationale, sociale ou géographique, l’incapacité, la fortune, la naissance ou toute autre situation établie par les principes des droits de l’homme.

La pratique généralisée du dépistage génétique et du diagnostic prénatal, dont les résultats peuvent inciter à mettre un terme à la grossesse, accomplit presque l’opposé. Si les médecins semblent inconfortables avec les femmes qui interrompent leur grossesse motivées par le choix du sexe, ils continuent d’accepter, et parfois même d’encourager, le choix des femmes qui se font avorter lorsqu’elles reçoivent un diagnostic génétique imprévu. Notre société semble fermement opposée à la discrimination fondée sur le sexe mais elle omet de se conformer à l’esprit du code des droits de la personne des Nations Unies lorsque nous donnons notre aval à une politique qui endosse la discrimination fondée sur la capacité. Laissant de côté la question de savoir s’il s’applique au fœtus, le code semble considérer les différences de sexe et de capacité d’une manière semblable.

Résidente de deuxième année au Département de médecine familiale de la University of Alberta à Edmonton.

Correspondance:

Dr Rebecca Lobo, University of Alberta, 
Department of Family Medicine, 
85 Ave and 116 St, 
Edmonton, AB T6G 2R3; 
​courriel [email protected]

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Le European Center for Law and Justice (ECLJ) dénonce les avortements tardifs et l'infanticide néonatal au Canada

(photo : EU Humanitarian Aid and Civil Protection sur flickr.com, licence creative commons)

Le Canada passe souvent inaperçu dans  les nouvelles internationales. Mais avec des politiques sur l'avortement comparables aux dictatures chinoise et nord-coréenne, il était inévitable que l'ONU soit renseignée sur notre cas. Sur le site de news.catholique.org du 14 mars 2014 :

(Au Canada, on les laisse mourir s'ils étaient destinés à l'avortement...)

Le 14 mars 2014, dans une déclaration orale prononcée devant le Conseil des droits de l’homme des Nations Unies, à Genève, à l’occasion du débat sur la violence contre les enfants, Grégor Puppinck, directeur du European Centre for Law and Justice (ECLJ) a dénoncé la pratique des avortements tardifs et de l’infanticide néonatal. En effet, dans une importante proportion, des enfants naissent vivants à la suite d’avortements tardifs et sont abandonnés à la mort ou tués par l’équipe médicale.

Voici le texte de la déclaration :

Infanticide et avortement tardif  : violence contre les enfants

L’ECLJ souhaite attirer l’attention du Conseil sur la violence à l’égard des enfants constituée par l’infanticide et l’avortement tardif. En effet, d’une part des enfants naissent vivants après des avortements et sont abandonnés à la mort sans soins ou tués, d’autre part certaines méthodes d’avortement tardifs, extrêmement violentes, constituent de véritables actes de torture.

Avec les avancées médicales, il est possible de sauver des enfants prématurés nés à 21 semaines. (Dès 16 semaines, l’enfant peut survivre quelque temps). Or, dans certains pays comme la Suède et le Royaume-Uni l’avortement sur demande est légal jusqu’au-delà du seuil de viabilité, et même jusqu’à la fin de la grossesse en cas de malformation, comme en France. Plus un avortement est effectué tard, plus il est probable que l’enfant naisse vivant  : à 23 semaines, cette probabilité est de 9,7 %. En 2005 en Angleterre, 66 enfants sont nés vivants après un avortement. Au Canada, 622 enfants sont nés vivants entre 2000 et 2011  ; tous ont été abandonnés à la mort ou tués par injection ou asphyxie. Depuis, l’Angleterre a cessé de publier ces statistiques.

Les enfants nés vivants après un avortement sont laissés seuls, jusqu’à ce qu’ils meurent, parfois au bout de dix heures ou plus. Un enfant avorté à 22 semaines a ainsi été retrouvé vivant au bout de 20 heures en Italie, il a encore vécu jusqu’au lendemain.

Il arrive même que les enfants nés vivants soient tués par asphyxie ou injection létale. Ainsi le Royal College of Obstetricians and Gynaecologists recommande aux médecins de tuer par injection létale les bébés nés vivants après un avortement, alors que ces mêmes médecins mettent tout en œuvre pour sauver des enfants prématurés nés au même terme. Tuer un enfant né vivant est un infanticide.

Les enfants nés vivants après un avortement ont pourtant le même droit que toute autre personne. Les mêmes soins doivent être donnés à tous les enfants prématurés, quelles que soient les circonstances de leur naissance.

D’autre part, certaines méthodes d’avortement, surtout tardif, sont particulièrement cruelles. La plus utilisée dans certains pays, notamment en Angleterre et aux Etats-Unis, consiste à dilater le col de l’utérus puis à évacuer le bébé avec une pince, souvent par morceaux  : le médecin attrape ce qu’il peut, tire et arrache ce qui vient. L’enfant est démembré, ce qui constitue une épouvantable torture. Des études montrent que le fœtus réagit au toucher dès huit semaines, et qu’il ressent la souffrance à partir de 14 semaines.

L’ECLJ invite le Conseil à condamner ces violations graves des droits des enfants causées par les l’infanticides et les avortements tardifs et à s’engager pour l’interdiction universelle de l’avortement au-delà du seuil de viabilité.
 

Une vidéo de l'intervention de l'ECLJ:

//www.youtube.com/embed/699jchXCwNw?list=UUDDw2rQ1psjjhN8HcQtun5g

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Une pétition contre la candidature de Louise Mailloux pour le Parti Québécois

Sur le site change.org, vous pouvez signer la pétition pour que la candidature inacceptable de Louise Mailloux soit rejetée. À moins qu'elle ne fasse de véritables excuses et rejette catégoriquement comme relevant d'un fanatisme outrancier ses écrits affirmant que le baptême et la circoncision sont des viols.

(Photo : spooneater sur flickr.com, licence creative commons)

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Une suggestion pour lutter contre l'hypersexualisation

Sur le site de Radio-Canada du 29 janvier 2014, cet avis de Guylaine Demers, professeure au département d'éducation physique à l'Université Laval :

(Photo :  Mairie de Pontault-Combault sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

(...)Quand elles commencent une activité sportive, les filles ont une très grande fierté de porter le chandail de l'équipe. Elles trouvent ainsi un groupe d'appartenance. Elles se définissent par leur groupe sportif et non par leur apparence. Selon des études, les filles qui pratiquent un sport régulièrement ont des relations sexuelles plus tard. Elles ne sentiront pas cette pression de plaire aux garçons à tout prix. Elles acquièrent une fierté d'elles-mêmes. »  (...)

Le sport et la discipline sont deux des éléments humains importants qui contribuent à développer la maturité et l'équilibre de la chasteté. Mais dans notre société, il ne faut pas oublier les éléments spirituels...

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Magnifique chanson sur les personnes déficientes intellectuelles : À voir et entendre!

Chanson d'Amélie Larocque :

//www.youtube.com/embed/LJ1SQx1AKQU

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Pétition pour empêcher le financement public de l'avortement sur demande à Ste-Anne (renommée Frédéricton) (Nouveau-Brunswick)

Sur le site de citizengo.org :

(Frédéricton)

(Photo : Chris Campbell sur wikimedia.org, licence creative commons)

 

Pétition à l’attention de: L'honorable Hugh J. Flemming

M. le ministre,

     Je vous demande instamment de ne pas financer l'avortement sur demande à la Clinique Morgentaler à Fredericton NB. L'avortement sur demande ne satisfait pas au critère juridique de «nécessité médicale» requis par Assurance Maladie N.-B. Aucune loi ou tribunal canadien a reconnu que la femme a un droit constitutionnel à l'avortement sur demande, ou qu`une province a l'obligation légale de financer l'avortement sur demande.

     Plus de 10 000 avortements ont été pratiqués sur demande à cette clinique. Notre système de soins de santé devrait soutenir la vie et aider les femmes enceintes. Le Nouveau-Brunswick ne peut se permettre de payer pour que les vies de tant de bébés soit prématurément terminées. Nous avons tous un droit à la vie - et pour moi ce droit a commencé dans le ventre de ma mère! La violence prénatale ne devrait pas faire partie de la routine des soins de santé maternelle.

     Je vous invite également à faire enquête sur la clinique, pour s'assurer qu'elle rencontre les normes raisonnables de santé et de sécurité publique, y compris un consentement dûment informé avant un avortement et ainsi que la disposition appropriée de restes humains. Je crains que la clinique ne veuille pas informer correctement les femmes sur le développement du fœtus, les alternatives à l'avortement, et les malheureuses conséquences médicales pouvant résulter d'un avortement.

     Le Nouveau-Brunswick est la seule province qui possède un centre d'avortement privé qui n'est pas financé par l'État. Voilà quelque chose à nous rendre fiers, et non à considérer comme un objet de honte, comme le font certains.

     De grâce ne faites rien qui puisse faire tord aux enfants à naître et à leurs mères. Votre refus de financer cette clinique d`avortement sur demande est conforme aux bons soins de santé, et juridiquement correct.

 

Salutations,
[Votre Nom]

Signer la pétition.

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Pauline Marois endosse les propos de Louise Mailloux, qui ne s'excuse pas vraiment...

Sur le site du Journal de Montréal du 15 mars 2014 :

(Photo : BMeunier sur flickr.com, licence creative commons)

 

La candidate péquiste Louise Mailloux s’excuse pour ses écrits comparant le baptême et la circoncision au viol, même si Pauline Marois les «respectait» vendredi.

«Concernant mes déclarations sur certaines pratiques religieuses, je tiens à dire que je n’ai jamais voulu offenser ou blesser qui que ce soit. Si tel a été le cas, je m’en excuse très sincèrement», a affirmé Louise Mailloux dans un communiqué de presse envoyé aux médias samedi après-midi.

Ce qui fait dire au chroniqueur Vincent Marissal, dans un gazouillis du 14 mars 2014 : 

Si je comprends bien Pauline Marois, une candidate peut dire n'importe quoi, tant qu'elle appuie la #charte 

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Magnifique vidéo d'enfants trisomiques répondant aux craintes d'une maman d'un enfant à naître trisomique

//www.youtube.com/embed/Ju-q4OnBtNU

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