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Abolition de la liberté religieuse ?

Le Parti québécois veut à tout prix mettre en vigueur une Charte des valeurs (ses valeurs) le plus tôt possible.

Pendant qu'une ridicule commission parlementaire reçoit et écoute les mémoires de quelque deux cents groupes ou individus, le gouvernement nous a annoncé cavalièrement en janvier 2014 qu'il ne changera pas d'idée.

Tout ce palabre hautement médiatisé n'est qu'une hypocrite façade qui prépare l'abolition de la liberté religieuse au Québec,  grâce à ce gouvernement composé très majoritairement d'athées.

Depuis quelques mois, tous les militants athées du Québec qui ont depuis deux décennies noyauté les médias (radio, télévision, journaux, milieu artistique, magazines, etc.) préparent le terrain pour leurs amis du Parti québécois.

Depuis plusieurs semaines, on entend et on lit toutes sortes de remarques sordides sur les religions et la foi en Dieu. Plusieurs enseignants invitent leurs élèves à mettre Dieu à la porte de la classe avant d'entrer à leurs cours. Certaines vedettes de l'information au Québec disent en ondes que les croyants sont des tarés, des névrosés et des fous furieux. Il y en a qui vont même jusqu'à revendiquer l'abolition pure et simple de toutes les religions qui à leurs yeux abrutissent les êtres humains. D'autres plus conciliants se contentent de revendiquer l'interdiction de toutes les religions pour les enfants avant l'âge de 16 ans. Une incroyable croisade de l'athéisme se déroule actuellement dans notre «belle» province.

Avec la séparation du Canada (40 % pour l'indépendance lors du dernier sondage),  le gouvernement du Parti québécois veut créer ici un pays soi-disant « neutre », socialiste et athée. Voilà pourquoi l'abolition de la  liberté religieuse pointe à l'horizon.

Notre « intelligentsia » est prête à aller très loin pour mettre à mort les Églises, la religion et l'idée de Dieu. Plusieurs personnalités annoncent haut et fort qu'aussitôt la nouvelle Charte de la laïcité votée à l'Assemblée nationale, il faudra entreprendre des poursuites judiciaires pour accuser devant les tribunaux l'Église catholique sous les motifs suivants : la prêtrise n'est pas accessible aux femmes, l'homosexualité et le mariage gai ne sont pas reconnus et acceptés, l'avortement et l'euthanasie sont combattus par cette même Église, etc. L'Église catholique devra se conformer à la nouvelle Charte sous peine de terribles sanctions.

Certaines personnes très influentes dans ce parti ont comme ambition de changer tous les noms à connotation religieuse de nos rues, villes, villages, cours d'eau, montagnes, écoles, etc. Il faut mettre Dieu dehors partout et effacer toute trace du religieux au Québec. Une enseignante athée en philosophie au cégep du vieux-Montréal a déclaré le 12 mars 2014 dans le Journal La Presse «que le baptême des enfants est un viol ». Avec cette Charte, il faut s'attendre au pire ! Pour obtenir un poste important faudra-t-il se déclarer athée dans ce nouveau Québec postmoderne ?

L'abolition de la liberté religieuse nous pend au bout du nez. Tous les signes religieux vont bientôt devenir une supposée provocation inacceptable. L'Église catholique ne pourrait même plus enseigner et promouvoir sa doctrine et ses dogmes.  Nous serons comme en France, en face d'une religion républicaine, c'est-à-dire la religion officielle du laïcisme : un athéisme d’état.

Avec sa Charte, le Québec sombre dans l'abus de pouvoir, dans l'intégrisme athée. Nous aurons une laïcité neutre et athée imposée de force par des dirigeants politiques qui ne croient ni à Dieu ni au diable. Le rationalisme pur et dur et les Lumières vont faire une œuvre de destruction massive à tous les niveaux de la société grâce à cette Charte des valeurs québécoises.

Devant cette catastrophe nationale qui nous menace collectivement, il faut résister et prier très fort, car actuellement le bon peuple québécois porte des lunettes roses. Il est fortement contaminé et intoxiqué par les fausses promesses et les sulfureuses idéologies d'un gouvernement socialo-marxiste ; celui-ci lui promet le paradis terrestre grâce à une promesse d'indépendance … de Dieu.

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Refuser la communion aux politiciens pro-avortement est un geste de miséricorde

Sur le site de Media-presse.info du 15 mars 2014

(Mgr Philip Egan)

(Photo :  Catholic Church (England and Wales) sur flickr.com, licence creative commons)

 

L’évêque de Portsmouth, Mgr Philip Egan a assuré que chaque évêque, chaque prêtre, doit rappeler publiquement que si un politicien catholique vote en faveur de l’avortement ou du « mariage » homosexuel, il s’auto-exclut de la réception de la communion. Mgr Egan explique que, plus qu’une punition, la privation de communion est « toujours un acte de miséricorde ». Il faut, dit-il « espérer et prier pour que la personne puisse être attirée de nouveau à la pleine communion avec l’Eglise ». (...)

Y-a-t-il un seul député élu qui puisse communier au Québec?

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Tuer sa fille handicapée, un acte d'amour?

Sur le site du journal Le Monde du 19 mars 2014 :

(Photo : markustrois sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

 (...)Ne supportant plus le lourd handicap moteur et mental de sa fille de 6 ans, cet homme de 44 ans l'a étouffée dans son sommeil. « Un acte d'amour pour soulager son enfant, pour qu'elle soit enfin tranquille, plaide son avocat, Me Hubert Delarue, mais aussi un acte de désespoir. » Née prématurée, Johana était tétraplégique, épileptique et souffrait d'un fort retard mental. (...)

C'est précisément sur cette perception de la souffrance de Johana que la cour devra réfléchir d'ici le verdict, vendredi. Car la petite fille apparaissait au reste de son entourage comme une enfant heureuse, toujours souriante. « Les spécialistes qui la prenaient en charge faisaient part de ses progrès sur tous les plans », rappelle l'avocate générale, demandant à ce que la cour s'interroge sur un acte qui visait peut-être plus à soulager l'accusé lui-même que la victime.

Le jour des faits, Johana, très coquette, était venue montrer sa nouvelle robe à l'école. (...)

Son père avait refusé les multiples offres d'aide pour ensuite s'enfoncer dans la dépression. S'il n'était pas fou, il devrait être déclaré coupable... et il sera possiblement enfermé à perpétuité...

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L'icône de Notre-Dame de Czechostowa voyage et fait une visite aux 40 Jours pour la Vie à Montréal!

Sur le site de Notre-Dame-de-France :

(L'icône se trouvait aux 40 jours pour la Vie, lundi soir, à Montréal.) 

(Photo : CampagneQuebecVie sur flickr.com, licence creative commons)

 

Partie depuis le mois de mai 2012 de Czestochowa et de la Biélorussie, la Vierge Marie a entrepris un pèlerinage de l'Océan Pacifique à l'Océan Atlantique à travers chaque pays d'Europe et chaque ville pour rejoindre le Sanctuaire de Notre-Dame de Fatima au Portugal.

Aujourd'hui elle est maintenant de ce côté de l'Océan et poursuit son parcours pour la Vie. Après nous avoir visités aux 40 pour la Vie, elle est maintenant à la cathédrale Notre-Dame d'Ottawa, puis à la basilique St-Patrick à  partir de 14 h 00 et ensuite à la paroisse St-Hyacinthe à partir de 17h30.

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Le 21 mars sera la journée internationale de la trisomie 21 : 96 % sont éliminés avant la naissance

Sur le site de genethique.org du 19 mars 2014, une interview avec Bruno Daniel-Leurant, auteur de "Eloge des phénomènes - Trisomie: un eugénisme d'Etat", aux éditions Max Milo. :

(Photo Jenniffer 1982 sur wikimedia.org, licence creative commons)

 

(...)J’ai simplement la conviction que le sort réservé aujourd’hui aux fœtus porteurs d’un chromosome surnuméraire, massivement victimes d’interruptions médicales de grossesse (IMG), annonce la généralisation des ravages eugénistes de demain. D’une certaine façon, l’hypocrite aversion dont ils sont aujourd’hui les victimes n’est que le prototype des gigantesques procès en légitimité qui seront demain dressés contre tous les humains génétiquement "imparfaits".

96 % des fœtus trisomiques détectés sont éliminés dans le ventre de leur mère. C’est un chiffre qui devrait tous nous ébranler. Ce processus mortifère n’ayant – à ma connaissance – pas tendance à diminuer, il est un scandale de chaque jour, et il est donc « urgent », en ce sens, de le dénoncer ou au minimum de l’interroger. (...)

Il n'est pas possible que dans un monde dit civilisé, on pratique l'eugénisme sans aucun remords de conscience.

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Excellent article sur la « montée » de l'intégrisme religieux au Québec dans le journal Le Soleil

Sur le site du journal Le Soleil du 18 mars 2014 :

(Le Québec a une tradition de pacifisme qui lui vient de ses racines chrétiennes)

(Photo : tango7174 sur wikimedia.org, licence creative commons)

 

(...)Mais quatre indicateurs indirects suggèrent très fortement que la soi-disant «montée» n'existe pas.

D'abord, s'il y avait de plus en plus de musulmans qui faisaient une lecture très rigide du Coran, cela se refléterait dans leurs demandes d'accommodements raisonnables, qui deviendraient à la fois plus nombreuses et plus tatillonnes. Or, le juriste et spécialiste des accommodements de l'Université Laval Louis-Philippe Lampron n'a rien vu de tel au cours des dernières années. En fait, dit-il, les demandes d'accommodements religieux proviennent principalement de la majorité chrétienne. (...)

Et la majorité chrétienne sera pénalisée pour des craintes produites par une imagination politique très fertile en période électorale...

 

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Déjà 142 enfants sauvés de l'avortement aux 40 Jours pour la Vie!

Sur le site de Riposte Catholique du 17 mars 2014 :

(40 jours pour la Vie au Michigan)

 

 

C’est la bonne nouvelle du jour ! Au treizième jour de la campagne de Carême lancée Mercredi des Cendres, 142 enfants à naître ont déjà été sauvés de l’avortement grâce à la présence paisible et priante des vigiles devant 253 avortoirs, grâce aux “conseillers de trottoirs” qui proposent aux mamans qui envisagent l’avortement des solutions concrètes pour qu’elles y renoncent, grâce aux jeûneurs, et grâce, aussi, aux “prières de l’arrière” de ceux qui, sans participer sur place aux vigiles, prient aux intentions des 40 Days for Life.

N'hésitez pas à venir nous rejoindre!

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Éducation chrétienne : la cause qui oppose Loyola au ministère de l'Éducation du Québec sera entendue à Ottawa le 24 mars

Rappels à nos nombreux sympathisants :

(Photo : thomas1313 sur wikimedia.org, licence creative commons)

La cause qui oppose Loyola, école secondaire montréalaise pour garçons, au ministère de l'Éducation du Québec sera entendue à Ottawa le 24 mars 2014. Rappelons que Loyola demande à pouvoir enseigner un cours ECR dans une perspective catholique. Le MELS lui a refusé ce droit considérant que le programme ECR doit s'enseigner d'une manière « laïque ».

L'entrée à l'audience est libre. Le public peut donc assister au débat.

Les audiences commencent habituellement à 9 h 30, mais il arrive qu’elles commencent à 9 h sans préavis au public.

L'adresse de la Cour :
Cour suprême du Canada
301, rue Wellington
Ottawa (Ontario)
K1A 0J1
Téléphone : 613-995-4330 ou 1-888-551-1185

Le carnet Pour une école libre nous informe qu'il publiera des articles de fond sur le sujet ainsi qu'un compte rendu de l'audience


www.coalition-cle.org

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Un discours courageux à l'ONU, à voir, dénonçant les avortements tardifs

ONU : Les infanticides néonataux et les avortements tardifs dénoncés par l'ECLJ (European Center for Law and Justice)

//www.youtube.com/embed/699jchXCwNw

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Si on condamne l'avortement sélectif (selon le sexe), pourquoi ne condamne-t-on pas l'avortement des personnes handicapées?

Une intéressante réflexion sur le site du Canadian Family Physician (Merci à S.F de nous l'avoir transmise) :

(photo : wikimedia sans copyright)

 

 

Socialement répugnant ou norme de soins

Y a-t-il une distinction entre l’avortement sélectif en fonction du sexe ou de la capacité?

Rebecca Lobo, MD

Pourquoi la plupart des autorités médicales acceptent-elles, endossent-elles et encouragent-elles le dépistage génétique prénatal tout en s’opposant à l’avortement sélectif en fonction du sexe? La juxtaposition de ces 2 pratiques soulève des questions lorsqu’on les compare et que l’on se demande s’il y existe un fondement éthique crédible pour donner son aval à l’une tout en condamnant l’autre. Nous espérons susciter cette conversation sans soulever de questions plus larges concernant la moralité de l’avortement ou à savoir si les droits de la personne devraient s’appliquer aux fœtus. Nous avons pour objectif de mettre en évidence les différences dans la façon dont on envisage l’avortement sélectif de divers genres de fœtus et d’explorer s’il est éthiquement possible de défendre leur traitement de manières radicalement différentes.

Si nous sommes d’accord d’empêcher des parents de connaître le sexe de leur enfant avant la naissance, nous le faisons pour prévenir la discrimination fondée sur le sexe. Nous cherchons à affirmer l’égalité des hommes et des femmes et nous acceptons de limiter les droits des femmes lorsqu’elles penchent vers un sexisme évident et expressément «répugnant socialement». Ce faisant, nous cherchons à cultiver une société qui appuie les principes des Nations Unies concernant les droits de la personne qui sont déclarés comme suit:

Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Par conséquent, personne ne doit souffrir de discrimination fondée notamment sur la race, la couleur, l’ethnicité, le sexe, l’âge, la langue, l’orientation sexuelle, la religion, l’opinion politique ou toute autre opinion, l’origine nationale, sociale ou géographique, l’incapacité, la fortune, la naissance ou toute autre situation établie par les principes des droits de l’homme.

La pratique généralisée du dépistage génétique et du diagnostic prénatal, dont les résultats peuvent inciter à mettre un terme à la grossesse, accomplit presque l’opposé. Si les médecins semblent inconfortables avec les femmes qui interrompent leur grossesse motivées par le choix du sexe, ils continuent d’accepter, et parfois même d’encourager, le choix des femmes qui se font avorter lorsqu’elles reçoivent un diagnostic génétique imprévu. Notre société semble fermement opposée à la discrimination fondée sur le sexe mais elle omet de se conformer à l’esprit du code des droits de la personne des Nations Unies lorsque nous donnons notre aval à une politique qui endosse la discrimination fondée sur la capacité. Laissant de côté la question de savoir s’il s’applique au fœtus, le code semble considérer les différences de sexe et de capacité d’une manière semblable.

Résidente de deuxième année au Département de médecine familiale de la University of Alberta à Edmonton.

Correspondance:

Dr Rebecca Lobo, University of Alberta, 
Department of Family Medicine, 
85 Ave and 116 St, 
Edmonton, AB T6G 2R3; 
​courriel [email protected]

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