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Le jugement Roe vs Wade bloque les avancées dans la reconnaissance des droits de l'enfant à naître aux États-Unis

Sur le site de genethique.org du 17 avril 2014 :

(Photo : AnyaLogic sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

Le Dakota du Nord avait approuvé l’an dernier une loi interdisant l’avortement à partir du moment où les battements du cœur de l’enfant sont perceptibles, ce qui peut arriver dès la sixième semaine de grossesse.

Le juge fédéral Daniel Hovland a déclaré cette loi "invalide et inconstitutionnelle" au regard de la jurisprudence de la Cour Suprême Roe v. Wade de 1973.

Rappelons que Jane Roe est devenue l'une des plus grande défenderesse de l'enfant à naître. Il faut lire son témoignage.

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En Pologne, des sages-femmes obligées de collaborer à des avortements : un témoignage

Sur le site de Nouvelles de France du 9 avril 2014 (via Mère de Miséricorde) :

(Photo : gigile sur flickr.com, licence creative commons)

« La sage-femme raconte ce qu’elle a dû vivre dans une interview accordée à l’hebdomadaire catholique Gość Niedzielny du 16 mars dernier :

C’était à la fin de l’année dernière. Je suis venue prendre mon service de nuit. Mes collègues semblaient énervées et même consternées. Elles m’ont indiqué qu’il y avait une patiente à qui on administrait des médicaments destinés à provoquer des saignements, mais personne n’a appelé la chose par son nom et moi je n’ai pas deviné tout de suite. Pendant ce temps un médecin est venu et il m’a ordonné de lui mettre un goutte-à-goutte intraveineux avec des médicaments pour provoquer des contractions. Je croyais qu’il s’agissait d’une fausse couche car la procédure est très similaire dans ce genre de cas. Je me suis retrouvée en tant que seule sage-femme dans le service à ce moment-là. J’ai fait venir une collègue d’un autre service pour me faire aider puis, alors que j’étais occupée à d’autre tâches, ma collègue est arrivée en courant et elle m’a dit : «Agata, ta patiente a fait une fausse couche, que dois-je faire ?». Je ne savais toujours pas ce qui se passait, je croyais qu’il s’agissait d’un avortement spontané. Ma collègue a pris l’enfant, elle l’a enroulé dans un linge et l’a porté dans une autre salle et elle ne savait plus quoi faire. Même si elle est plus âgée et plus expérimentée que moi, elle était très secouée et m’a dit qu’elle n’avait jamais eu affaire à une telle situation. Puis quand j’ai eu fini avec mes autres patientes, je suis venu voir l’enfant et je l’ai baptisé même s’il était déjà mort. Puis j’ai dû mettre son corps à tremper dans du formol car c’est la procédure. Il a fallu que je le regarde, que je prenne ce petit corps dans mes mains. Qui pourra me dire que la sage-femme n’a qu’un rôle marginal dans tout cela ?

C’était le premier cas de ce type que nous avions, au troisième cas je me suis mise en arrêt maladie. J’étais complètement écrasée, en tant que femme, en tant que mère et en tant que catholique. Le troisième cas d’avortement pendant mon service, c’était le 1er janvier. J’ai appelé le médecin et je lui ai dit de s’occuper lui-même de la patiente, que moi je n’allais pas prendre part à cet avortement parce que je suis catholique et que je veux recevoir les sacrements et pouvoir regarder mes enfants droit dans les yeux demain matin. Mais quand l’accouchement a commencé il n’y avait personne d’autre que moi et une collègue avec le médecin dans le service et nous avons dû nous occuper de la patiente. On a d’abord vu sortir une petite jambe, puis le médecin a tiré et le reste est sorti. L’enfant est tombé dans un récipient métallique. Nous l’avons posé sur un linge et nous l’avons baptisé. Je suis sortie dans le couloir. Je n’ai pas vu ça moi-même, mais ma collègue m’a dit que sur le linge il avait soulevé sa cage thoracique et qu’après avoir inspiré une fois il était mort. Elle l’a répété en réunion avec le médecin en disant qu’il ne pouvait en être ainsi, que les enfants meurent sous nos yeux…

La clinique n’a pas prolongé le contrat de travail de Mme Rejman et elle a agi de même avec deux autres sages-femmes qui avaient invoqué la clause de conscience pour signifier qu’elles ne participeraient pas à des avortements. »

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Décès d'une grande éducatrice du Québec : Mme Isabelle Bayard Pallascio

Sur le site du journal La Presse du 17 avril 2014 :

(Photo : bob august sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

Femme de convictions, Isabelle Bayard Pallascio a milité pendant des années pour que les enfants québécois profitent d'une éducation basée sur les valeurs catholiques. (...) Mme Pallascio, véritable pilier de l'Association des parents catholiques du Québec (APCQ), s'est éteinte le 27 mars à l'âge de 94 ans.

Membre fondatrice de l'association, Isabelle Bayard Pallascio y a travaillé bénévolement pendant une quarantaine d'années, notamment à titre de présidente de la section Montréal. «Son but était de veiller à l'éducation des enfants et à la transmission des valeurs familiales et religieuses», indique Diane Joyal, actuelle présidente de l'APCQ. Depuis 1966, l'APCQ a entre autres lutté contre la déconfessionnalisation des écoles, pour le droit à l'exemption des cours d'éducation sexuelle et pour la conservation des écoles privées.

Une contribution majeure dans le combat pour la liberté de conscience au Québec!

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Une découverte pour soigner l'infertilité?

Sur le site de Radio-Canada du 17 avril 2014 :

(Processus de fécondation)

(Photo : wikimédia sans copyright)

 

La protéine nécessaire à l'ovule pour reconnaître le sperme et permettre la fertilisation a été découverte par des chercheurs du Wellcome Trust Sanger Institute. Cette trouvaille pourrait ouvrir de nouvelles possibilités de traitement contre l'infertilité, (...)

Sur le site de genethique.org du 17 avril 2014, ces précisions:

Des chercheurs de Cambridge (Royaume- Uni) publient aujourd’hui dans la revue scientifique Nature une étude mettant en lumière le rôle de deux protéines dans le processus de fécondation, baptisées Izuma et Juno. (...)

Izumo est la protéine (découverte en 2005) située dans la membrane des spermatozoïdes pour leur permettre de fusionner avec la membrane de l’ovocyte. Son pendant féminin vient d’être identifié, il s’agit de la protéine Juno, située à la surface de l’ovocyte. Les chercheurs ont révélé que la fécondation commence par l’interaction de ces deux protéines

Une déficience de l'une des protéines pourrait être la cause d'iinfertilité. Les recherches ont débuté sur les couples infertiles.

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Une histoire extraordinaire d'un amour d'une famille pour leur enfant, malgré ses médecins...

Sur le site de blog.brokenarms.org du 2 avril 2014 :

Annick Richard est la maman de Robin, un jeune homme qui, il y a 6 ans, fut frappé par la foudre pendant une sortie scolaire en forêt. Plongé dans un profond coma, les médecins ont souhaité le débrancher mais la famille s’est battue pour qu’ils n’en fassent rien et quelques mois plus tard, Robin est sorti de sa léthargie. (...)

à voir :

//www.youtube.com/embed/VKLkbOWGl4c?list=UUwbYy92XD47Mk2Hh-1BxSUw

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Aux États-Unis, sa liberté de parole sera respectée...

Arrêté en Saskatchewan pour son discours critique sur l'homosexualité, il sera heureux de retourner chez lui  Sur le site de Radio-Canada du 14 avril 2014 :

M. LaBarbera préside l'organisme Americans For Truth About Homosexuality ,« Américains pour la vérité sur l'homosexualité ».

Il avait momentanément été empêché d'entrer au pays jeudi dernier avant de se rendre finalement librement au congrès de l'Association pro-vie de la Saskatchewan à Weyburn, où il devait livrer un discours samedi.

Sur le site de Radio-Canada du 15 avril 2014 :

Le militant antigais américain Peter LaBarbera a affirmé mardi être heureux de rentrer aux États-Unis après avoir passé la nuit en détention à la demande de l'Agence des services frontaliers du Canada.

Les agents fédéraux désiraient interroger le président de l'organisme Americans For Truth About Homosexuality, « Américains pour la vérité sur l'homosexualité ».

Radio-Canada utilise à tort et à travers le terme « antigais » qu'il joint à tout discours critique sur l'homosexualité. Cet Américain gardera tout un souvenir de la liberté d'expression « à la canadienne »!

Pour un autre regard sur cette histoire, vous pouvez consulter le site LifeSiteNews du 14 avril 2014.

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À 12 et 13 ans, ils sont les plus jeunes parents d'Angleterre!

Sur le site de TVA Nouvelles du 16 avril 2014 :

(Photo : PierrePorte sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

 

 

La jeune adolescente de 12 ans, qui est encore élève dans une école primaire de Londres, a donné naissance la semaine dernière à une petite fille, avec le plus grand soutien des nouveaux grands-parents, rapporte le Daily Mail.

Il s'agit d'un record de jeunesse pour la Grande-Bretagne, où l'on dit que les grossesses précoces sont très nombreuses.

Le Journal de Québec du 16 avril 2014 apporte cette précision : 

Le titre de la plus jeune maman est détenu par la Péruvienne Lina Medina, qui a donné naissance à son enfant alors qu’elle avait 5 ans et sept mois en 1939.

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Des enfants avortés jusqu'à la naissance en Angleterre

Sur le site de Lifesitenews du 15 avril 2014 :

(Dans certains pays, les enfants avec une fente labiale sont soignés ; en Angleterre, on les avorte...)

(Photo : James Heilman, MD sur wikimédia.org, licence creative commons)

 

 

Aujourd'hui, un bébé avec un pied bot ou une fente palatine peut et est avorté jusqu’à la naissance en Angleterre. La loi autorise l'avortement jusqu’« à la naissance » si les tests indiquent que l'enfant peut être handicapé lorsque né, alors qu'il y a une limite légale de 24 semaines pour les avortements pour d'autres motifs. (....)

Au Canada, il n'est pas nécessaire d'avoir ce type d'handicap, d'invoquer l'eugénisme, pour être avorté à n'importe quel moment de la grossesse.

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Commentaire de l'urgentologue Claude Morin sur le projet de loi 52

Sur le site du Journal de Québec du 16 avril 2014 :

(Photo : pixabay sans copyright)

 

 

Pendant la campagne électorale, le Parti libéral a scandé haut et fort qu’il allait s’occuper des vraies affaires… Et voilà qu’il s’apprête à remettre à l’agenda le projet de loi 52 qui introduirait définitivement l’euthanasie dans notre système de santé. Pincez-moi quelqu’un! On a autant besoin de l’euthanasie au Québec qu’on a besoin de plus de cancers! Ce dont on a besoin, ce sont des soins palliatifs de qualité universellement accessibles, pas d’une patente camouflée en «soin» de fin de vie, en «aide » médicale à mourir pour autoriser les médecins à tuer leurs patients par compassion! Et la compassion pour qui? Le patient ou le portefeuille des payeurs de taxes qui le soutiennent?

Dr Claude Morin, urgentologue

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Très belle lettre d'un ancien avorteur franc-maçon à une ministre française

(L'avortement n'apporte aucune solution au désespoir)

(Photo : vanz sur flickr.com, licence creative commons)

Une lettre qui résume l'expérience d'un ancien avorteur franc-maçon :

Le 17 avril 2000

à Madame Martine Aubry, Ministre de l'Emploi et de la Solidarité. (Lettre publiée dans mon livre: "Hédonisme ou christianisme".

                                              Madame le Ministre

Différents articles de presse font état de l'intention du gouvernement de reprendre la loi de 1975-1979 sur l'IVG.
Militant de l'abolition de la loi de 1920 et pionnier de l'application de la loi Veil en 1975, à Rennes, je me permets de vous soumettre les réflexions suivantes:

1°) Les causes principales des IVG que j'ai été amené à pratiquer sont des problèmes de logement, d'emploi, d'endettement, d'abandon par le géniteur, plus rarement un rejet par la famille d'une fille trop jeune: dans tous ces cas, la solution n'aurait pas dû être chirurgicale, mais sociale.

2°) L'IVG est un acte contre nature pour le médecin, comme pour le personnel infirmier, l'un et l'autre ayant pour vocation et formation de défendre la vie; c'est rapidement un acte écoeurant, quelle que soit la technique, car force est de voir des fragments d'embryon, ayant déjà forme humaine; l'expérience a montré que peu de personnel soignant est capable de jouer longtemps ce rôle destructeur.

3°) L'IVG engendre des séquelles psychologiques parfois irréparables chez la maman qui a été poussée par les circonstances ou par son entourage à détruire l'enfant qu'elle désirait, consciemment ou inconsciemment.

La solution n'est pas d'étendre le champ de la loi actuelle à douze semaines, mais de prévenir le recours à l'IVG par une série de cinq mesures:

a) par une éducation au respect de l'autre et à l'amour responsable, dès la classe de 3°, allant contre la "sexualité précoce et normative" dénoncée par Mme Ségolène Royal;

b) par une augmentation des allocations familiales, en valeur absolue et au prorata du nombre d'enfants;

c) par une augmentation des congés parentaux et des indemnités afférentes pendant les deux ou trois premières années de l'enfant;

d) par un soutien psychologique aux femmes acculées à l'IVG, avant et après;

e) par une facilitation de l'adoption et une aide aux femmes aceptant de mener à terme leur grossesse en vue d'adoption.

Toutes ces mesures auraient, en outre, le mérite de résoudre un problème démographique qui met en péril les retraites et qui conduit l'ONU à nous proposer une immigration importante.

Il est regrettable que l'IVG, acte d'exception et grave, se soit banalisée dans l'esprit de nombreuses femmes, ce qui explique les quelques 200.000 avortements annuels dans notre pays vieillissant.

Veuillez agréer, Madame le Ministre, l'expression de ma considération respectueuse.

Signé: Docteur Maurice Caillet, Ancien Interne des Hôpitaux de Paris, ancien chirurgien-gynécologue, ancien Vice-Pésident de l'Observatoire Régional de Santé de Bretagne.

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