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Trois femmes et un enfant...

Sur le site du Journal de Québec du 23 avril 2014 :

(Quel modèle pour une enfant ?)

(Photo : peasap sur flickr.com, licence creative commons)

 

Trois femmes, qui seraient le seul trio légalement marié au monde, attendent leur premier enfant. Doll, Kitten et Brynn, qui demeurent au Massachusetts, sont unies depuis août 2013 et seront mamans pour la première fois en juillet prochain.

Mais pourquoi seulement trois et pas quatre? Est-ce qu'on ne pourrait pas marier toute une commune ensemble?

Ce serait ridicule s'il n'y avait pas, réellement, un enfant qui sera pris avec ça... Là, c'est tragique.

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Nouvelle plainte contre le président de la commission de contrôle de l'euthanasie en Belgique...

Sur le site de rtl.be du 24 avril 2014 :

(Photo : wikimedia  sans copyright)

 

 

La fille d'une dame dépressive qui a été euthanasiée porte plainte. Elle estime que sa mère ne lui avait jamais dit qu'elle voulait mourir. Le médecin visé affirme que tout s'est passé dans le respect de la loi. Un autre proche de patient euthanasié avait également porté plainte contre lui dans les mêmes circonstances.

Une jeune femme de 20 ans a affirmé mercredi avoir porté plainte contre le Dr. Wim Distelmans, médecin à l'hôpital universitaire néerlandophone UZ Brussel et président de la commission de contrôle de l'euthanasie en Belgique, peut-on lire dans Het Laatste Nieuws et Dag Allemaal. Elle dit ne pas avoir été informée de la demande d'euthanasie introduite par sa mère et de la procédure médicale qui a suivi.

Mais qu'est-ce qu'ils ont, tous ces gens, à embêter le président de la commission de contrôle des euthanasies en Belgique, qui ne peut plus euthanasier en paix... sans avoir les familles qui n'étaient pas au courant sur le dos ! Mais où va-t-on si on ne peut pratiquer sa petite euthanasie tranquille?

À quand, une commission de protection des « euthanasieurs tranquilles »?

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Les médecins belges discutent maintenant de l' «euthanasie involontaire »

Sur le site du Salon Beige du 24 avril  2014 :

(Photo : foxypar4 sur flickr.com, licence creative commons)

 

(La pente glissante n'existe pas...)

 

L'euthanasie non volontaire est un traitement médical acceptable, selon un récent communiqué de la Société belge de médecine intensive.  Bien que, dans certaines circonstances, l'euthanasie volontaire soit légale en Belgique, l'euthanasie non volontaire est fondamentalement illégale.  Mais la société veut être en mesure d'euthanasier les patients qui ne semblent pas avoir longtemps à vivre

(...)

Réponse d'un médecin :

"Je suis profondément choqué et révolté par la prise de position de la Société Belge de Médecine-de-Soins-Intensifs, qui veut que ses membres s'arrogent le droit de tuer.

Il ne s'agit pas d'arrêter des soins qui seraient déraisonnables ou relèveraient de l'« acharnement thérapeutique », il ne s'agit pas de débrancher des appareils maintenant artificiellement en vie un patient qui sans cela serait mort, il ne s'agit pas d'arbitrer entre soulagement de la douleur et l'abrègement de la vie, il s'agit purement et simplement de faire une injection létale « pour le bien du malade », adultes, enfants, et bébés.

Il s'agit de faire cette injection létale sans aucun accord du patient, ni de sa famille, ni de ses proches, sur décision unilatérale du médecin agissant « en conscience » lorsque lui seul juge souverainement qu'une vie « ne vaut plus la peine d'être vécue » !

Il s'agit même de faire cette injection mortelle contre l'accord du patient « les directives anticipées sont pires qu'inutiles ». Que ces directives puissent être un (bien faible) obstacle à la toute puissance médicale ne fait pas de doute.

(...)

Heureusement qu'il n'y a pas de pente glissante, selon les dires des promoteurs du projet de loi 52 sur l'euthanasie au Québec, parce que déjà, personne ne semble plus pouvoir échapper à la pente non glissante en Belgique...

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En France, Joël Legendre serait passible de trois années de prison et 63 000 $ d'amende... avec raison!

La France combat la marchandisation de l'être humain, sur le site du Journal de Montréal du 23 avril 2014 :

(Photo : Peter Potrowl sur wikimédia.org, licence creative commons)

 

 

En France, recourir à une mère porteuse est une infraction passible de trois ans de prison et 63 000 $ d’amende.

La peine de prison peut atteindre 10 ans dans le cas d’une fausse déclaration de l’état civil.

Il est inacceptable de payer pour transformer en marchandise négociable le corps des femmes et des enfants. On se paie des enfants, on se paie des mères porteuses en camouflant cela en remboursement généreux des frais encourus, personne ne se soucie de ce qui est le mieux pour un enfant. Et l'« homoparentalité » prive expressément l'enfant d'un père dans le cas de partenaires féminins de même sexe, ou d'un mère dans le cas de partenaires masculins. Qui des deux « papa » allaitera le bébé? La situation québécoise laisse la voie libre à des manipulations. Sur le site du Journal de Montréal du 23 avril 2014 :

L’article 541 du Code civil du Québec stipule que «toute convention par laquelle une femme s’engage à procréer ou à porter un enfant pour le compte d’autrui est nulle de nullité absolue.»

Que le contrat soit une simple entente verbale ou écrite et même s’il y a eu échange d’argent (versé à la mère porteuse), il ne sera donc pas reconnu devant les tribunaux.

Celle qui accouche est la mère légale de l’enfant même si elle n’a aucun lien génétique avec lui.

Mais rien n'empêche qu'elle donne ensuite son enfant en adoption... Et comme le Québec fait partie des quelques États barbares qui acceptent de fabriquer expressément des enfants orphelins de père ou de mère pour répondre au désir de tout un chacun, sans tenir compte des besoins primordiaux de l'enfant, on se retrouve dans des situations absurdes comme celle qui fait les manchettes actuellement.

 

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À lire ! Des experts médicaux écrivent au Premier Ministre Philippe Couillard pour lui demander de rejeter l'euthanasie

Sur le site de quebechebdo.com du 23 avril 2014 :

(Photo : Jeangagnon sur wikimedia.org, licence creative commons)

 

 

 

Lettre ouverte au Dr. Philippe Couillard. Nous vous félicitons pour votre victoire lors de l'élection du 7 avril. Cependant, nous nous sentons obligés d’exprimer notre profonde déception, et celle de nombreux collègues médecins et autres citoyens du Québec, concernant votre annonce, dès le lendemain de l’élection, que vous aviez l’intention de réintroduire le Projet de loi 52, y compris ses dispositions sur l’aide médicale à mourir.

(...)

Balfour Mount, MD, OC, OQ, FRCSC professeur émérite de médecine à l'Université McGill; et Serge Daneault, MD, M.Sc., Ph.D., CSPQ, chef de soins palliatifs au Centre hospitalier de l’Université de Montréal

Il faut lire la suite de cette lettre choc qui met les pendules à l'heure.

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Message de l'OCVF pour la Marche pour la Vie du 8 mai 2014 à Ottawa

Sur le site de l'Organisme Catholique pour la Vie et la Famille :

(photo : fedfil sur flickr.com, licence creative commons)

À l’occasion de la Marche nationale pour la vie, l’Organisme catholique pour la vie et la famille (OCVF) nous invite à réfléchir au fait que, depuis des décennies, les promoteurs du « droit » à l’avortement ont réussi à convaincre les Canadiens et Canadiennes que l’avortement est une bonne chose pour les femmes. Quel odieux mensonge!

On dit qu’à force de répéter souvent un mensonge, haut et fort, on finit par le croire. Tragiquement, tant de Canadiens ont cru le mensonge de l’avortement que le quart des enfants conçus chaque année sont volontairement éliminés avant leur naissance (dont un nombre disproportionné de filles). Il s’agit des premières victimes de l’avortement parmi les femmes. Les secondes victimes sont les femmes qui subissent cette procédure; beaucoup d’entre elles souffriront en silence de séquelles physiques, psychologiques et spirituelles jusqu’à la fin de leurs jours. Toute référence à leur souffrance demeure aujourd’hui taboue.

Loin de promouvoir le bien-être des femmes, l’avortement constitue plutôt une menace à leur bien-être et à celui de la société. Il est donc normal de se demander pourquoi tant de citoyens et citoyennes continuent de croire le mensonge de l’avortement, et comment ils parviennent à ignorer le fait vérifiable que l’avortement blesse les femmes.

Qui en profite?

Il suffit de se demander QUI profite de l’avortement pour trouver un début de réponse à cette question. En décembre 2013, le Journal de l’Association médicale canadienne annonçait qu’une compagnie pharmaceutique avait demandé un permis pour introduire au Canada la pilule abortive RU-486, aussi connue sous le nom de mifépristone. Il s’agit de la même drogue synthétique qui a été bannie par notre pays en 2001 après qu’une femme soit décédée d’un choc septique durant les tests pharmaceutiques. Aux États-Unis, selon la U.S. Food and Drug Administration, pas moins de 14 femmes sont mortes en 2011 après avoir consommé la pilule RU-486; et le même rapport fait état de 2207 effets secondaires pouvant découler de l’utilisation de la RU-486.

Le fait que nous soyons à nouveau confrontés à la possibilité de l’introduction de cette pilule abortive sur le marché pharmaceutique canadien illustre bien que certains groupes ont des avantages financiers à voir perpétuer le mensonge de l’avortement.

Quand donc nous déciderons-nous à dire : « Assez, c’est assez ! »? Combien de femmes doivent encore mourir, être mutilées ou subir des séquelles psychologiques durables – combien d’enfants à naître doivent encore mourir – avant que nous réduisions au silence le mensonge de l’avortement ? Pour y parvenir, unissons nos voix et nos gestes pour proclamer la dignité inhérente de chaque être humain du moment de sa conception à sa mort naturelle. Êtes-vous pour la vie?

Le 8 mai, joignez-vous à la Marche nationale pour la vie à Ottawa ou à l’une des marches provinciales qui auront lieu le même jour.

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Vous devez avorter! La politique de l'enfant unique de la Chine en images

par Steven W. Mosher et Anne Roback-Morse du Population Research Institute (traduction Campagne Québec-Vie)

Il est difficile pour les personnes vivant dans des sociétés démocratiques de comprendre comment le parti-État de la Chine peut contrôler la fertilité des millions de Chinois. L'effort du gouvernement en ce sens commence par un barrage de propagande anti-enfant dans les écoles et sur les lieux de travail, puis se poursuit par l'intimidation par des banderoles et des slogans affichés dans les lieux publics. Voici quelques photos de la nature des menaces publiques des autorités contre les femmes qui pourraient être enceintes d’enfants « illégaux ».


该 流 不 流 扒 握 牵 牛
Traduction : « Si elle doit être avortée et qu’elle ne l’est pas, votre maison sera détruite et votre vache sera prise. »


宁可 血流成河,不准 超生 一个
Traduction : « Même si vous saignez assez pour faire une rivière, il ne faut pas donner naissance à un enfant supplémentaire! » La province du Hunan.


该 扎 不 扎,关 人 作 押,该 流 不 流,折 房 牵 牛.
Traduction : « . . Si vous devriez être stérilisée et que vous ne l’êtes pas, vous serez arrêtée et poursuivie. Si vous devez avorter et que vous n’avortez pas, votre maison sera démolie et votre bétail serez emmené »


外出 的 叫 回来,隐瞒 的 挖出 来 计划 外 怀孕 的 坚决 引 下来 该 扎 的 坚决 拿下 来
Traduction : « Appelez-moi celles qui sont situées loin, déterrez celles qui sont cachées. Celles qui sont enceintes en dehors de la politique (de l’enfant unique) doivent absolument voir leur travail (d’accouchement) induit. Celles qui devraient être stérilisées doivent être absolument couchées. »


该 环 不 环,该 扎 不 扎,见了 就 抓.
Traduction : « Si vous êtes censée porter un stérilet, mais que ce n’est pas le cas, ou que vous êtes censée avoir une ligature des trompes, mais que vous ne le faites pas, vous serez consignée à vue! “


Traduction :” Celles d'entre vous qui n'ont pas avorté ou n’ont pas été stérilisées, et qui sont heureuses d'avoir des naissances excédentaires et de payer des amendes... [image peu claire]. »

Ce type de propagande à la vue de tous, combinée avec la manière forte sur celles qui refusent d’obéir, talonne la plupart des femmes. Ensuite, il y a des moyens de pression de groupe, utilisés dans la province du Liaoning en Chine du nord et ailleurs. Dans ces provinces, les secondes naissances ne sont autorisées que s’il n’y a aucune naissance illégale. Si même un seul enfant illégal est né, aucune deuxième naissance n’est autorisée, et les femmes portant un deuxième enfant sont avortées.

Steven Mosher , qui a vécu en Chine pendant plusieurs années et fut témoin d’avortements forcés commente ainsi : « Il est difficile d'imaginer l'hostilité intense, même hystérique, que ces moyens de pression de groupe produisent dans une petite communauté rurale soudée, envers quiconque menace de rompre les règles. »

Dans les rues ou dans les lieux de travail, à la télévision et dans les journaux, le peuple chinois est bombardé de propagande antipeuplement. Jour après jour, ce processus de lavage de cerveau se poursuit, de sorte que lorsque le coup de minuit s’abat sur la porte, de nombreuses femmes enceintes et leurs maris n'essaient même pas de se battre. La semaine prochaine, nous allons parler de quelques-uns qui se sont battus, et du châtiment auquel ils ont été confrontés par le Parti-État chinois.

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France : radiation du Dr Bonnemaison pour euthanasie. En Belgique, il n'aurait pas été inquiété...

Sur le site de allodocteurs.fr du 17 avril 2014 :

(Photo : xornalcerto sur flickr.com, licence creative commons)

(En Belgique, la majorité des euthanasies sont faites sans même le consentement du patient...)

 

 La radiation de l'urgentiste bayonnais Nicolas Bonnemaison, accusé d'avoir empoisonné sept patients en fin de vie et qui comparaîtra en juin 2014 devant les assises, a été confirmée en appel par le le Conseil de l'ordre des médecins.

(...)

Il encourt la réclusion criminelle à perpétuité.

En Belgique,  il aurait rédigé lui-même le rapport sur l'euthanasie de ses patients, remis à la commission de contrôle des euthanasies... et aurait dormi tranquille.

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661 enfants sauvés de l'avortement à la dernière campagne des 40 jours pour la Vie!

Sur le site de Riposte Catholique du 18 avril 2014 :

(David O. Bereit, fondateur des 40 Jours pour la Vie)

(Photo : American Life League sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

 

Voici quatre jours, c’était le dimanche des Rameaux et dernier jour de la campagne des 40 Days for Life, je vous annonçais qu’à la date du samedi 13 avril le nombre des enfants à naître sauvés de l’avortement dans le cadre de cette campagne, s’élevait déjà à 547. Le “compteur de la vie” n’a, depuis, cessé de grimper avec les informations remontant quotidiennement à la coordination des 40 Days for Life. Aujourd’hui – selon les derniers chiffres obtenus hier jeudi – ce sont désormais 661 enfants à naître qui sont signalés avoir été sauvés de l’avortement !

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Le mouvement Vivre dans la Dignité rappelle l'importance d'intervenir maintenant pour contrer l'euthanasie au Québec

Vous vous demandez peut-être où était Vivre dans la Dignité pendant la récente campagne électorale. Nous avons gardé un certain silence dans l’espoir que personne ne ferait de promesse électorale de légaliser « l’aide médicale à mourir ». Malheureusement, M. Couillard et Mme Marois ont tous deux fait cette promesse quelques jours avant l’élection.

Le lendemain de l’élection, Monsieur Couillard a de plus  déclaré vouloir  rapidement réintroduire le Projet de loi 52 à l’Assemblée nationale. Il n’y a donc plus de raison de nous taire. Il est temps d’agir. Une  mobilisation maximum s’impose au cours des  prochaines semaines. Pour pouvoir réintroduire un projet de loi au stade où il en était avant la dissolution de l’Assemblée,  il faut une décision unanime de l’Assemblée nationale (articles 47 et 48 du Règlement de l’Assemblée nationale). Il faudra donc que TOUS les députés donnent leur accord pour que  M. Couillard puisse  réintroduire le Projet de loi 52 au stade où il en était au moment du déclenchement des élections.  Si un seul député s’y oppose, il faudra tout recommencer.

C’est le moment de contacter votre député(e), que ce soit par le biais d’une rencontre, par téléphone, par la poste, ou par courriel. Les coordonnées de tous les députés se trouvent  sur le site de l’Assemblée nationale :

http://www.assnat.qc.ca/fr/deputes/index.html#listeDeputes

Faites comprendre à votre député(e) que de ne pas s’objecter à la réintroduction du Projet de loi 52 revient à s’assurer que le projet de loi sera adopté lors du vote final en troisième lecture, puisque tous les députés du  PQ et de  la CAQ voteront POUR (ligne de parti non avouée). Il est extrêmement important que le vote de réintroduction soit considéré comme une reprise du  vote de principe (2e lecture).  Compte tenu de la gravité de cet  enjeu éthique, chaque député devrait pouvoir voter en conscience, sans être soumis à une ligne de parti.  

Écrivez aux journaux. Les lettres à l’éditeur de 500 mots ou moins ont la meilleure chance d’être publiées.

Parlez-en à vos amis et dans votre famille. Demandez-leur d’intervenir dans ce débat crucial. Que ce soit clair que les Québécois ne veulent pas que l’homicide entre dans le système de santé déguisé en soin médical.

Points de discussion :

  • Exigez un vote libre à toutes les étapes du projet de loi.
  • Si votre député(e) est contre le Projet de loi 52, demandez-lui de refuser sa réintroduction.
  • Il faut assurer l’accès aux soins palliatifs de qualité pour tout le Québec au lieu de légaliser « l’aide médicale à mourir ».
  • « L’aide médicale à mourir » va à l’encontre du Code criminel canadien. Une loi qui  l’autoriserait  sera contestée devant les tribunaux et sera source de confrontation avec le gouvernement fédéral.
  •  
  • (...)

Nicolas Steenhout
Directeur général
Vivre dans la Dignité

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