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Magnifique vidéo sur l'adoption

À voir. « Cette vidéo a été inspirée d’une histoire vraie qui s’est déroulée dans un orphelinat en Iraq pendant la guerre. »

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« Certains d’entre nous, à l’opposé des plus privilégiés, ne désirent simplement qu’une seule chose : l’amour d’une mère. Aimez, et soyez aimé inconditionnellement. Adoptez un enfant. » (texte à la fin du vidéo)

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Le recours aux tribunaux contre l'euthanasie au Québec

(Photo :  Agência Brasil sur wikimédia.org, licence creative commons)

Maints procès auront lieu concernant le fait que l'euthanasie permise au Québec va à l'encontre du droit criminel canadien. Sur le site du journal Le Devoir du 10 juin 2014 :

 

Un médecin québécois, le Dr Paul Saba, et une malade handicapée, Lisa D’Amico, ont intenté une contestation judiciaire à la Cour supérieure du Québec, à la fin mai. Leur démarche met en cause le gouvernement fédéral et plaide le fait que, comme l’ont laissé entendre des ministres conservateurs, la loi de Québec contrevient au Code criminel. (...)

Le Collectif des médecins opposés à l’euthanasie — qui regroupe 500 praticiens — a en outre annoncé cette fin de semaine qu’il s’adresserait à son tour aux tribunaux, citant les mêmes arguments.

Le Premier Ministre Stephen Harper attend l'avis de ses avocats sur les dispositions à prendre... Il devra faire vite, car l'Association Médicale Canadienne entreprend le processus « d'écoute » des citoyens pour ouvrir la porte à l'euthanasie pour le Canada tout entier.

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Réflexions d'un partisan de l'euthanasie sur les raisons économiques de favoriser l'euthanasie

Sur le site de antagoniste.net du 9 juin 2014, cette réflexion, à vérifier :

(Photo : tsaiid sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

Au Québec, depuis le début de 2013, le taux d’approbation par le gouvernement des nouveaux médicaments contre le cancer est de 31%, alors qu’il était de 77% en 2012 et de 69% en 2011. En fait, depuis 2013, 1 médicament sur les 13 soumis a été recommandé. Ces médicaments représentent la dernière génération de molécules pour lutter contre le cancer, des médicaments extrêmement efficaces qui peuvent non seulement allonger la vie des patients, mais aussi améliorer leur qualité de vie de manière significative. Mais ces récentes découvertes sont aussi très dispendieuses, par conséquent le Québec refuse de les utiliser pour traiter ses citoyens.

À titre d’exemple, l’Afinitor, l’Alimta, le Tarceva et l’Iressa, la Cadillac de l’arsenal pharmacologique contre certains cancers, n’ont pas été approuvés par le gouvernement du Québec, par contre ils sont tous couverts par des assurances privées aux États-Unis. (...)

Ici on soigne les gens avec du stock cheap.  C’est comme si on décidait de soigner les cancéreux avec de l’aspirine et qu’on se disait que ce n’est pas grave puisque quand la personne va trop souffrir, on pourra la faire piquer. Mais ne vous en faites pas, quand on va piquer la personne qui a été soignée avec du stock cheap pour économiser quelques dollars, on le fera dans la dignité, il y aura du personnel syndiqué pour lui tenir la main.

Mais que voulez-vous, faire mourir les gens dans la dignité, ça coûte moins cher que de soigner les gens dans la dignité…

Ce qui est sûr, c'est que le gouvernement va de l'avant même si la plupart des Québécois mourants n'ont pas accès à des services de soins palliatifs de qualité. On  tiendra compte de la situation financière du Québec pour les financer, ce qui signifie que le premier choix, c'est l'euthanasie.

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Rassemblement de tous les chrétiens du Québec à Montréal

Le Comité de La Marche chrétienne annonce que samedi, le 14 juin 2014 se tiendra au Parc Angrignon à Montréal un évènement qui rassemblera des milliers de chrétiens issus des diverses confessions chrétiennes québécoises. Ils seront catholiques, protestants, évangéliques, coptes égyptiens, orthodoxes et plusieurs autres à témoigner publiquement de leur attachement à Jésus-Christ.

Au menu, animation et musique, ainsi que quatre orateurs de renoms : Mgr Christian Lépine, Archevêque de Montréal, Jeffrey Laurin, pasteur et fondateur de l’Église La Bible Parle, Antoine Malek, copte égyptien, président de l’Association de la Communauté Copte orthodoxe du Grand Montréal, et Douglas B. Farrow, professeur et titulaire de la chaire Kennedy Smith en études catholiques de l'université McGill.

Le tout se déroulera dans une ambiance champêtre et familiale qui sera l’occasion de fraterniser, de prier et de pique-niquer tous ensemble au nom de notre foi en Jésus-Christ et de son enseignement. L’évènement débutera à 10h et se terminera à 14h.  La programmation débutera à 10h30.

Nous vous encourageons à prendre les  NAVETTES  GRATUITES  à partir du Métro Angrignon.  Portez un T-shirt blanc ou autre chose de blanc.

Po

Pour information:  Réal  GAUDREAULT, porte-parole
                                       [email protected]
                                       Cel. (514) 609-8222
                                       Marche Chrétienne: http://www.marchechretienne.com/
                                       Facebook: https://www.facebook.com/marche.chretienne
 

Informations importantes
Quelques infos importantes à retenir pour ceux qui viennent au Rassemblement chrétien 2014 au Parc Angrignon.
- Amenez vos lunchs et apportez de l’eau : il y aura tout de même une cantine mobile sur place.
- Amenez des chaises pliantes pour votre confort
- Amenez des parasols en cas de soleil, et du chasse moustique
- Métro : deux navettes gratuites effectueront le trajet entre le métro Angrignon et le lieu de rassemblement
- Nous suggérons de revêtir un vêtement blanc
- Nous nous rassemblons sous le seul symbole commun à tous les chrétiens: la croix

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Une copie conforme de la Manif pour Tous française en Allemagne!

Sur le site de Aleteia du 9 juin 2014 :

(Photo : Peter Potrowl sur wikimédia.org, licence GNU)

 

 

 

La création de Demo Für Alle en Allemagne a également été motivée par le désir de rassembler le plus grand nombre pour défendre la famille, et de constituer un mouvement de taille à lutter contre le lobby LGBT. « La Manif pour Tous, c’est un peu notre modèle. On a copié les couleurs, les symboles avec la famille. C’est génial ! C’est une grande chose.

(...)

Si la situation en Allemagne diffère de celle de la France*, « ce sont un peu les mêmes objectifs, car tout est lié. Il y a la question de l’adoption pour les couples homosexuels en Allemagne, il y a la question du mariage. 

Il faut que le « On ne lâche rien! » devienne un slogan mondial et que le combat pour la Culture de Vie devienne une priorité pour tous!

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Israël légalise l'euthanasie...

Sur le site de i24news.tv du 8 juin 2014 :

(Photo : P0W3RGSK sur wikimédia.org, licence creative commons)

 

 

Le comité ministériel israélien sur la législation a approuvé dimanche le projet de la loi "suicide médicalement assisté", rapporte le quotidien Haaretz. (...)

Le médecin qui prescrira la dose mortelle au malade, n'encourera pas de peine et sera déchargé de toute responsabilité.

Sous forme d’ordonnance prescrite par un médecin, le patient recevra une injection létale qui mettra fin à ses jours. (...)

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Dr Casteur : « C’est une illusion que de croire qu’une loi permettant l’euthanasie peut se limiter aux gens en phase terminale »

Sur le site du journal Métro du 8 juin 2014 :

(Photo : Loïc Raynard sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

 

 

Le médecin belge Georges Casteur s’est adressé à une centaine de personnes réunies à l’Hôtel-Dieu. (...)

Le spectre des personnes éligibles à l’aide médicale à mourir est selon lui voué à s’élargir, comme ça a été le cas en Belgique. (...)

Dr Casteur a relevé plusieurs similitudes entre la loi québécoise et la loi belge.

On a répertorié 200 euthanasies en Belgique en 2003. En 2013, on en comptait 1816. Mais il ne s'agit que du petit nombre d'euthanasies comptabilisées, la majorité n'étant pas soumise au contrôle de la Commission sur l'euthanasie...

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Le député Gerry Sklavounos révèle la manipulation de la Commission Mourir dans la Dignité et signe un discours magistral

Sur le site de l'Assemblée Parlementaire, lors des discours sur le refus ou l'approbation du projet de loi 52 sur l'euthanasie :

(Photo : Jbwolfe82 sur wikimédia.org, licence creative commons)

« M. Sklavounos : Merci, M. le Président. C'est une obligation pour moi de pouvoir m'exprimer sur ce sujet avant qu'on puisse voter, les parlementaires. Et j'aimerais que ce soit clair et noté que tout ce que je vais dire est personnel et ne reflète en rien une mauvaise opinion ou un manque de respect envers les collègues et les autres qui se sont exprimés ici, mais, parce que ça risque d'être plus passionné que d'habitude, je veux juste que ce soit clair.

J'ai aussi été nommé à cette commission itinérante, M. le Président. J'ai fait le tour, j'ai écouté les citoyens, et je suis retourné avec les collègues en essayant d'écrire des recommandations. À un moment donné, je me suis rendu compte que le courant en faveur de l'aide médicale à mourir était fort, que j'étais contre le courant et que je risquais d'être emporté par le courant. J'ai choisi, à ce moment-là, de ne plus participer, de démissionner, en quelque sorte, de cette commission au lieu de signer des recommandations avec lesquelles je n'étais pas d'accord. Et, à ce moment-là, j'ai décidé de ne pas inscrire une dissidence. J'aurais pu. J'aurais dû. Considérez, M. le Président, cette intervention comme ma dissidence. (Note de CQV : la majorité des spécialistes et organismes qui se sont présentés à la commission ont refusé l'euthanasie, mais le courant était certainement fort chez les membres de la commission qui voulaient l'euthanasie malgré l'avis des spécialistes... Plusieurs autres députés ont quitté la commission, pour quelle raison?)

J'ai réfléchi, j'ai lu, j'ai écouté, j'ai consulté. Je ne peux d'aucune façon considérer l'acte de provoquer la mort comme un soin. Lorsque j'ai des questions difficiles de ce genre-là, lorsque je suis confronté à des questions difficiles, je retourne aux sources, à mes origines, dont je suis fier, M. le Président. Permettez-moi de faire juste une citation, je ne vais pas en faire d'autres, le reste, ça va être dit très personnellement : (S'exprime dans sa langue). «Je ne remettrais pas à personne une drogue mortelle si on me la demandait, ni ne prendrais l'initiative d'une telle suggestion.» Évidemment, ce ne sont pas mes mots. Ce sont les mots du père de la médecine, comme il est souvent mentionné, Hippocrate, cinq siècles avant Jésus-Christ.

Mais, lorsque je retourne à ces sources et lorsque je réfléchis c'est quoi, un soin… On soigne pour guérir. On soigne pour aider une personne à être plus confortable. On soigne pour enlever des symptômes. Je ne peux pas considérer l'acte de provoquer la mort comme un soin. Un soin se passe durant une vie, en essayant de l'améliorer. Provoquant la mort, c'est l'arrêt des soins, c'est l'arrêt des efforts, c'est la fin du processus de la vie. Et, pour moi, ça ne peut en aucun temps être un soin.

Ça nous rassure peut-être d'utiliser cette terminologie, puisque nous voyons tous à l'horizon ce dossier se rendre devant les tribunaux. Et nous savons… Nous soupçonnons qu'un autre palier de gouvernement va nous dire : Écoutez, si le droit criminel ne peut pas décider qui vit et qui meurt, bien là le droit criminel, à sa base, ne vaut pas grand-chose. La base, la première règle d'une société — je pense que c'est le premier commandement aussi, ça fait longtemps que je ne les ai pas regardés — c'est de ne pas tuer, ne pas enlever la vie. C'est ce que le droit criminel gère. Et ce n'est définitivement, pour moi, pas un soin.

On peut toujours refuser des soins qu'on ne veut pas, des collègues l'ont mentionné, c'est dans notre droit. Il faudrait que ça soit clair. Parce qu'il y en a, des gens, qui ont répondu à des sondages, que j'ai croisés et qui m'ont dit : Vous savez, me forcer à recevoir des soins alors que je suis apte, bien là je ne suis pas d'accord avec ça. Moi, je serais en faveur de ce projet de loi. J'ai dû clarifier ce concept-là avec certaines personnes. Ces sondages m'inquiètent. Je le dis avec respect.

J'ai d'autres inquiétudes. Le fait que, oui, c'est, à la fin, une personne qui dit décider mais qui peut subir, de manière consciente ou inconsciente, des pressions, et, je dis, bien des fois inconsciemment, des membres de sa famille, des membres du personnel, d'autres personnes. La personne peut même subir des pressions de lui-même ou d'elle-même. Il y en a peut-être qui sont familiers avec le terme, la phrase «duty to die». Vous savez, lorsqu'on est pris dans une situation où nous sommes malades, où nous voyons nos proches venir nous voir à tous les jours, notre femme, nos enfants, pleurer, où, à certains endroits, ça peut engendrer des coûts, des pressions sur les finances, des fois on peut être tenté de poser ce geste, mais pas pour nous-même, poser ce geste pour soulager, pas nous-même, mais soulager les membres de notre famille, les gens qu'on aime, qu'on voit souffrir. Ça pourrait même être qualifié d'acte héroïque, de vouloir se donner la mort pour empêcher les autres de souffrir.

Je ne suis pas certain que nous avons une façon claire, précise, sûre de pouvoir vérifier avant qu'une décision, qu'on dit être prise par un individu, peut avoir écarté ces deux possibilités-là. Et, tant que ces deux possibilités ne sont pas écartées, je trouve difficile de pouvoir simplement dire : C'est un choix personnel, quelqu'un a signé, des médecins ont confirmé qu'il n'est pas fou ou qu'elle n'est pas folle. Je ne pense pas que la personne qui veut que ça réussisse pour aider les proches va décliner le mobile ou la réflexion. Il va simplement dire : Je suis prêt.

Je dois aussi vous dire qu'en lisant… Et, je vous dis, c'est difficile. Même à l'intérieur de notre propre maison, il y a une dissension. Ma femme est d'origine hollandaise, ça dit beaucoup. Cette extension, qui est possible à d'autres catégories de gens et à d'autres catégories de conditions, m'inquiète. Une fois que les portes sont ouvertes, nous allons avoir des gens qui vont, au nom de leurs droits individuels, plaider l'égalité pour dire qu'eux aussi devraient avoir droit à ça. Et ça ne sera pas nécessairement les mêmes conditions, ce sera d'autres conditions. Et ça m'inquiète énormément, M. le Président.

Les soins palliatifs, M. le Président, ne sont pas disponibles partout, ne sont pas disponibles également. On dit vouloir les développer. C'est difficile pour moi de croire qu'on veut vraiment développer en mettant en même temps une deuxième option sur la table, qui est celle de provoquer la mort. Et je crois que, pour pouvoir prendre une décision libre et éclairée, il faudrait que la personne ait accès… on ait pu faire toutes les tentatives possibles pour essayer de diminuer la douleur et la souffrance, pour qu'ensuite cette personne puisse prendre une décision libre.

Dernier point — j'aurais pu parler pendant trois heures, M. le Président — dernier point : je trouve difficile de faire en sorte que je ne voie pas de contradiction avec la lutte contre le suicide. Si je vois quelqu'un sur un pont et je l'écoute, des fois je peux être convaincu que sa vie va tellement mal qu'à sa place je sauterais aussi. Je m'empêche, je ne voudrais jamais embarquer dans ce raisonnement-là. Je vois une contradiction. Si c'est pour la maladie, ça pourrait être pour d'autres raisons. Et je ne peux accepter d'évaluer une vie. N'importe quelle vie est sacrée. Merci, M. le Président.

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La Dre Francine Léger qui pratiquait des avortements à la clinique Morgentaler, est décédée

À placer dans vos prières pour le repos de son âme, sur le site du journal La Presse du 4 juin 2014 :

(Photo : X Compagnion sur wikimédia.org, sans copyright)

 

 

(...)la Dre Léger faisait partie d'une poignée de médecins à accepter de parler ouvertement d'avortement dans les médias. Au début de sa carrière, elle a d'ailleurs pratiqué cet acte dans l'illégalité pendant cinq ans au Centre de santé des femmes à Montréal (CSF).  (...)

Un mois avant son décès, elle travaillait encore à la clinique Morgentaler de Montréal. (...)

Elle a maintenant pris conscience ou même rencontré tous les enfants qu'elle a avortés. Prions pour elle.

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Liste des députés qui ont voté contre le projet de loi 52 (euthanasie), tous du Parti libéral du Québec

(Photo : Jbwolfe85 sur wikimédia.org, licence creative commons)

Sur le site de l'Assemblée Nationale du Québec, vous pouvez lire les interventions des députés sur le sujet, dont quelques unes très fortes de Gerry Sklavounos et de M. Saul Polo. Voici la liste des députés qui se sont opposés au projet de loi 52 permettant  l'euthanasie des patients:

 Mme Lise Thériault (Anjou—Louis-Riel)

M. Pierre Paradis (Brome-Missisquoi)

M. Sam Hamad (Louis-Hébert)

M. Robert Dutil (Beauce-Sud)

M. Pierre Moreau (Châteauguay)

M. Robert Poëti (Marguerite-Bourgeoys)

M. Jean D'Amour (Rivière-du-Loup—Témiscouata)

M. Laurent Lessard (Lotbinière-Frontenac)

M. Pierre Arcand (Mont-Royal)

Mme Kathleen Weil (Notre-Dame-de-Grâce)

M. Stéphane Billette (Huntingdon)

Mme Christine St-Pierre (Acadie)

M. Norbert Morin (Côte-du-Sud)

M. Guy Ouellette (Chomedey)

Mme Lucie Charlebois (Soulanges)

Mme Nicole Ménard (Laporte)

M. Gerry Sklavounos (Laurier-Dorion)

M. Raymond Bernier (Montmorency)

Mme Filomena Rotiroti (Jeanne-Mance—Viger)

M. Richard Merlini (La Prairie)

Mme Marie-Claude Nichols (Vaudreuil)

M. Saul Polo (Laval-des-Rapides)

Aucun de ces députés, alors qu'une seule opposition était nécessaire, n'a eu la force et le courage de bloquer le retour du projet de loi 52 à l'Assemblée nationale après la dissolution de l'Assemblée après les élections. Ce député aurait été expulsé du Parti Libéral... Seul Raymond Bernier a participé à une manifestation contre l'euthanasie.

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