M'INSCRIRE
DONNER

Joignez-vous au mouvement

CQV défend la personne humaine, de la conception à la mort naturelle.

ou

×

Pays-Bas : Euthanasie d'une fêtarde de 26 ans...

Sur le blog de Jeanne Smits du 24 juin 2013:

 

(La veille d'être euthanasiée, Priscilla a passé la nuit à faire la fête...)

 

Lundi soir de nombreux Néerlandais seront vissés à leurs écrans de télévision pour voir un documentaire de 55 minutes sur la « mort choisie » de Priscilla Brouwer, euthanasiée à 26 ans pour ne pas subir la lente dégradation associée à la maladie héréditaire dont était morte sa propre mère alors qu'elle était encore enfant.
 
Le film sera diffusé par une chaîne d'Etat, Nederland 2, sous le titre Nachtvlinder, « Papillon de nuit », le surnom de la jeune fille qui dès le diagnostic de sa maladie, à l'âge de 16 ans, a décidé de profiter de chaque instant, jour et nuit. Devenue une figure de la vie nocturne à Amsterdam, elle a tôt décidé qu'elle partirait lorsqu'elle estimerait « souffrir sans perspective » selon la terminologie officielle de la loi autorisant l'euthanasie, issue qu'elle avait envisagée et étudiée dès la maladie et la mort de sa propre mère.
 
Le documentaire, goulûment filmé pour montrer la jeune Priscilla et tous ceux qui l'ont soutenue en exemple, la suit pendant ses derniers jours. Derniers jours décrétés inéluctables par la jeune femme lors de son 25e anniversaire : c'est là qu'elle estime souffrir davantage qu'elle ne tire de jouissance et de choses positives de la vie. Deux amies proches l'accompagnent dès lors dans ses démarches : aller voir le médecin de famille, par exemple, pour réclamer la mise à mort prochaine.
 
Sans être en pleine forme, Priscilla n'en est pas pour autant en phase terminale. Mais elle dit préférer partir à 26 ans que d'attendre les quelques années de vie supplémentaire qu'elle pense pouvoir espérer dans un état diminué.
 
Alors, elle s'offre ses derniers plaisirs. Un tour en taxi dans Amsterdam, pour saluer une dernière fois sa ville. Boire. « Cueillir le jour ». Pour ses 26 ans, elle va s'offrir une fête à tout casser, avant de partir définitivement le lendemain, entourée de ses amies.
 
Aussi Papillon de nuit montre-t-il sans fard cette dernière soirée où Priscilla danse, rit, boit, crie, grimpe sur les comptoirs, joue aux stars de la fête.
 
Avec tout ce que cela peut avoir de choquant : c'est une jeune femme pleine de vie qui va être piquée le lendemain, au terme d'une vie dont il est évidemment interdit de penser qu'elle est vide et triste, sans but et sans direction. Non : il faut exprimer respect, admiration, compassion, compréhension et saluer son « courage ». Pour une conduite que la presse aura tôt fait de présenter comme exemplaire, à l'instar de l'association néerlandaise pour la mort volontaire.
 
L'association sus-dite, la NVVE, voudrait justement que ce documentaire serve d'outil pédagogique pour les plus jeunes, et souhaite le projeter dans cet esprit avec organisation de « débats » pour les sensibiliser à l'option de la mort choisie. La dynamique de groupe fonctionnant à plein, on s'en doute.
 
(...)
 
Comment ne pas comprendre que sa mort est d'abord un acte d'accusation contre une société qui a tout réduit à la jouissance matérielle, et qui est devenue collectivement incapable de comprende autre chose ?

« Souffrir sans perspectives » est la situation normale des athées, puisque toute personne souffre souvent dans sa vie, mais que les croyants ont une espérance. Prions pour ces personnes qui prônent la légalisation du suicide pour tous, sous la forme d'une euthanasie...

Laissez un commentaire

La violence du gouvernement français et des idéologues LGBT, censurée par nos médias

Le magazine français Valeurs Actuelles du 27 juin 2013 fait le point sur la situation de Nicolas, ce jeune condamné à 4 mois de prison pour avoir manifesté son opposition au « mariage » gai :

(Une véritable révolution, un printemps français pour les droits de la famille et des enfants se joue actuellement en France, censurée par nos médias...)

 

En emprisonnant un manifestant contre le mariage homosexuel, le pouvoir a fait une faute terrible. Nicolas est le premier « prisonnier politique » depuis cinquante ans.

Nicolas a 23 ans. C’est un étudiant comme beaucoup d’autres. Comme vos enfants ou vos petits-enfants. C’est un garçon qui a des convictions, qu’il a défendues comme des centaines de milliers d’autres au cours des nombreuses manifestations contre le mariage homosexuel. Et ses convictions, il continue de les faire vivre au sein du pacifique mouvement des Veilleurs. C’est ce qui l’a amené le 16 juin dernier à se joindre aux 1 500 autres Français de toutes sortes non loin de M6, pendant que le président de la République y prêchait la vacuité de sa politique.

Nicolas n’a pas touché à une seule vitrine, un Abribus, pas même une poubelle publique, à la différence des décérébrés qui ont défiguré il y a un mois, en toute impunité, la place du Trocadéro. Il n’a pas lancé le moindre pavé sur l’un des 108 cars de CRS mobilisés pour assurer la protection de ce président « normal » venu parler « en toute simplicité » aux Français. Il s’est contenté de manifester ensuite avec d’autres opposants au mariage homosexuel dans le XVIe arrondissement, où il a été interpellé, avant de refuser de se livrer à un prélèvement d’empreintes ou à un prélèvement ADN. Ordre donné par le sectaire Manuel Valls à l’encontre de ces opposants non violents, comme s’ils étaient des brigands de grand chemin.

Pour avoir défié ainsi ce pouvoir policier, le jeune Nicolas a été présenté en comparution immédiate, le mercredi 19, devant une juge aussi sectaire que le pouvoir dont elle dépend. Ce qui lui a valu d’être condamné à quatre mois de prison, dont deux mois fermes, par le tribunal correctionnel de Paris. Depuis, Nicolas dort à la prison de Fleury-Mérogis, avec des braqueurs, des violeurs et des tueurs.

C’est la première fois depuis les événements d’Algérie que la France compte un prisonnier politique. Un gamin qui n’a commis aucun acte de délinquance et dont le seul tort est d’avoir exprimé une opinion contraire à celle du gouvernement. Si cette affaire mérite d’être soulignée, c’est parce qu’elle est très grave. Sur le plan juridique, politique, et même philosophique.

Juridique d’abord. Car Nicolas n’a pas été jugé en droit, mais en circonstances. Parce qu’il fallait au pouvoir la nécessité de « faire un exemple ». Mais quelle est donc cette justice qui met au cachot un jeune usant du droit constitutionnel de manifester, et qui dans le même temps vient de relaxer dix-neuf voyous qui ont attaqué en mars dernier une rame de RER, aspergeant une trentaine de passagers de gaz lacrymogène avant de repartir avec leurs téléphones et leurs portefeuilles? Cette justice politique fait peur. Elle fait écho aux pages les plus terribles de notre histoire. Et ce n’est pas par hasard si un nombre croissant de magistrats commencent à s’en inquiéter.

(...)

Cette incarcération montre enfin ce que nombre de grands auteurs, de Suétone jusqu’à Alain en passant par Montesquieu, nous ont enseigné : un gouvernement qui se réfugie dans la violence est un gouvernement en perdition. Comme l’écrivait le philosophe Vladimir Jankélévitch : « La violence n’est rien d’autre qu’une force faible. » (…)

Car que va-t-il rester de tout cela? Un Nicolas qui sortira dans deux mois de prison en héros d’une révolution morale et pacifique. (...)

Il faut le dire, aucun groupe LGBT n’a dénoncé cette incarcération injuste.

Laissez un commentaire

Les évêques américains refusent le verdict injuste de la Cour suprême des États-Unis

Sur le site du Salon Beige du 27 juin 2013, traduit du site des évêques catholiques américains :

 

 

 

"Aujourd’hui est un jour tragique pour le mariage dans notre pays. La Cour Suprême a commis une profonde injustice envers le peuple américain en démantelant en partie la loi fédérale sur la défense du mariage. La cour s’est trompée. Le gouvernement fédéral doit respecter cette vérité que le mariage est l’union d’un homme et d’une femme, même si des États ne le font pas. La protection de la liberté et de la justice exige que toutes les lois, fédérales ou des États, respectent la vérité y compris la vérité sur le mariage. Il est également malheureux que la Cour n’ait pas saisi l’occasion de confirmer la Proposition 8 californienne mais ait plutôt décidé de ne pas statuer sur cette affaire. Le bien commun de tous, et particulièrement de nos enfants, dépend d’une société qui s’efforce de maintenir la vérité sur le mariage. Le temps est désormais venu de redoubler nos efforts pour témoigner de cette vérité. Les décisions qui viennent d’être prises font partie d’un débat national de grande conséquence. L’avenir du mariage et le bien-être de notre société sont dans la balance. [...]"

Laissez un commentaire

Poursuite de la résistance en France contre le «mariage» gai : les veilleurs debout.

Comme nous vous le disions précédemment, il ne faut pas compter sur nos médias nationaux pour parler des défaites du «mariage» gai à travers le monde. Mais plutôt, comme aujourd'hui le fait l'article d'Yves Boisvert dans La Presse, à de la propagande de meneuses de claque comme disent nos confrères canadiens : «Yé yé yé le «mariage » gai est inévitable ».

En France, le gouvernement est exaspéré par une résistance ouverte de la population sur tout le territoire français, à sa redéfinition du mariage si douloureuse pour la famille et les enfants.

En voici un excellent exemple : après les veilleurs à la bougie, les veilleurs debout. Spontanément des personnes demeurent à un endroit fixe, dans les musées, devant une préfecture, priant en silence. Ils sont des veilleurs, ils demandent la libération du prisonnier politique Nicolas et l'abrogation de la redéfinition du mariage. Sur le site du Salon Beige du 27 juin 2013 (nous vous invitons à vous rendre sur ce site pour prendre connaissance du combat terrible que mène la population française, pour la défense des enfants, contre son gouvernement):

Témoignage d’un veilleur debout
 
Récit (je transforme exprès certains détails pour ne pas compromettre les policiers dont je vais parler)
 
Je passe le matin par la station Cité sur le chemin de mon travail. Je décide de faire une halte à Cité pour me tenir Debout devant le palais de justice. Au moins 6 camionnettes de police avec des poveliciers un peu partout.
 
J’arrive. Je reste debout sur le parvis (de l’autre côté de l’avenue), face à la grille du palais. J’observe la Sainte Chapelle et je me tourne dans sa direction . C’est idéal pour réciter sa prière du matin ! une dizaine pour la France, une pour le prisonnier Nicolas, invocation à St Louis, etc. il se trouvait avant moi également Debout, une petite jeune étudiante, un peu nerveuse d’être là toute seule, mais n’empêche qu’elle est venue seule, qu’elle est là et qu’elle y reste. Je suis 3 m derrière elle : elle me découvre et semble heureuse d’en voir un autre ! Elle vient me parler gentiment et me proposer des chouqettes. Je refuse poliment me disant que nous sommes observés par la police de partout et que mieux vaut peut-être pour elle comme pour moi montrer que nous ne nous connaissons pas.
 
En effet quelques minutes après arrive une équipe de policiers en tenue (5 ou 6). Un homme m’aborde :
 
Police :« Bonjour, vous attendez qq’un ? »
 
TR : « non. J’attends qq chose. »
 
P : « Ah, quoi ? »
 
TR : « j’attends la libération d’un camarade ».
 
P : « vous allez attendre longtemps alors ! Cela va être long. Quand partez-vous»
 
TR : « Cela sera peut-être long. On ne sait pas. Je partirai quand je le désirerai. Pour l’instant, je finis ma prière devant la Ste Chapelle et puis après j’irai travailler ».
 
Il s’en va.
 
Sont arrivés deux policiers en civil.
 
Le civil demande au policier en tenue : « ils sont où ? ils sont où ? c’est qui ? »
 
En effet à cette heure matinale, il y a pas mal de passage et déjà pas mal de touristes. « C’est elle et puis le monsieur là aussi ».
 
Le policier en civil parle à la jeune femme. Nous sommes à 3 m, avec le bruit de la circulation, je n’entends pas.
 
Puis l’homme en civil s’adresse à moi, tout en restant près de la jeune. Je lui fais comprendre que je n’entends pas ce qu’il me veut. Il parle plus fort : « venez près de moi, avec elle ! ».
 
TR : « mais monsieur, je ne vous connais pas, je ne la connais pas. »
 
Du coup, c’est lui qui est obligé de se déplacer et il vient devant moi me parler.
 
Je lui demander de se présenter. « police ». « Ah bon. Très bien ».
 
« monsieur, je vais vous demander de circuler. »
 
« ah bon, pourquoi ? »
 
« vous savez très bien ».
 
« ah non. Je ne sais pas ».
 
« vous n’êtes pas coopératif ».
 
« expliquez-vous  voyons ! »
 
« vous n’avez pas le droit de vous tenir ici, de manifester »
 
« pourquoi n’aurais-je pas le droit de me tenir debout ici ? et puis pour l’instant, je ne manifeste pas, je prie en silence »
 
« si vous manifestez, vous êtes deux et vous n’avez pas le droit. Vous partez ou sinon vous devrez partir dans un autre cadre »
 
« de quel cadre parlez-vous ? pourrirez-vous être plus clair ? »
 
« vraiment vous ne voulez pas être compréhensif ».
 
« je veux être compréhensif et comprendre : de quel cadre parlez-vous ? je suis debout et je n’ai pas le droit et je vais partir dans un autre cadre ? Allez-vous me faire repartir couché dans un cercueil ? »
 
Il s’énerve : «  écoutez, j’attends l’autorisaiton et vous verrez bien »
 
Je m’énerve : « vous êtes là pour appliquer la loi et vous travaillez en recevant des ordres, et non pour appliquer des désirs personnels à appliquer selon des autorisations. Je vous laisse faire votre travail et laissez-moi tranquille ».
 
Dépité, il s’en va et retourne vers la petite jeune, qui cherche à discuter avec lui pour le convaincre.
 
Le 2° policier en civil vient alors vers moi et de lui-même, sans que je lui dise rien, il soulage sa conscience, ce qui donne pêle-mêle :
 
« vous savez, moi je suis d’accord avec vous. Et puis je ne suis pas entré dans ce métier pour arrêter les gens qui vont travailler, mais pour arrêter les méchants. Et puis si le bon Dieu a créé l’homme et la femme, ce n’est pas pour rien. Mais on ne peut rien dire. Nos syndicats ne nous représentent pas. Je me pose vraiment des questions à rester dans ce métier. Je ne sais pas quoi faire. Je me pose des questions. Vous savez on est nombreux à se poser des questions. Moi j’obéis aux ordres, je suis un exécutant. Mais j’obéirai aux ordres qui ne sont pas à l’évidence illégitimes (NB : c’est la première fois que j’entends un policier parler de légitimité, là où ils ne parlent habituellement que de légalité)  et si on me demande de frapper des gens innocents dans la rue, je ne le ferai pas ! ».
 
Je lui parle en portant toujours le même discours « Monsieur, votre métier est beau et a du sens. La société vous a remis l’usage de la force pour assurer l’ordre contre le désordre. Vous avez le droit des protections et vous jouissez d’un privilège : le droit de réserve. C’est pour votre protection. En revanche, vous avez en contrepartie le devoir de conscience. Vous n’êtes ni une brute, ni un robot. Vous devez vous demander si ce qu’on vous fait faire n’est pas mal. Ne désespérez pas de tout : les choses ont un sens. La police a un sens, l’ordre a un sens, la justice a un sens. Il faut leur redonner un sens là où toutes ces notions sont à l’envers aujourd’hui».
 
« vous avez raison, vous avez raison. Je suis d’accord avec vous ».
 
Alors je décide, après cette bonne discussion qu’il est temps de rester sur ce bon échange et je repars à mon travail. Avant je repasse voir la petite jeune qui continuait de parler avec « son » policier.
 
« Mademoiselle, je vois que comme moi vous êtes un Homme debout. Je dois partir travailler mais bravo, bon courage »
 
Me tournant vers le policier en civil : « monsieur bonne journée à vous aussi et vous aussi je suis de tout cœur persuadé que vous pouvez être un Homme Debout »
 
Interloqué : : « mais je suis un homme et je suis debout ! »
 
Je réponds sur un ton chaleureux et non condescendant : « certes, mais je parle des Hommes Debout au sens moral. Bon courage et bonne journée Monsieur ».
 
Je sais qu’à tout moment la situation reste policière et donc pas conviviale, mais on se sépare sur un échange de grand sourire l’un et l’autre.
 
Je retournerai aux Hommes Debout, je ne sais pas encore quand ni où, mais on ne lâchera rien, on ne se couchera pas devant le mensonge et l’injustice sur la famille ! On en a fait le serment. 
 
Que cela soit dit à ceux qui épient nos messages et que cela soit rapporté à Valls et à Taubira !"
Laissez un commentaire

Le Gouverneur Rick Perry va de l'avant avec session extraordinaire pour faire passer une loi restreignant l'avortement

Sur le site du journal La Presse du 27 juin 2013:

 

(Wendy Davis a court-circuité le processus démocratique d'une assemblée qui a respecté son droit de parole... Mais elle n'est pas la seule à être déterminée.)

 

 

 

Wendy Davis, la sénatrice démocrate de l'État du Texas qui a fait un discours de 13 heures mardi soir pour empêcher l'adoption d'un projet de loi visant à restreindre de manière importante l'accès à l'avortement en sol texan, est rapidement devenue une véritable star politique. Mais le combat est loin d'être terminé.
(...)
Le gouverneur républicain du Texas, Rick Perry, a toutefois convoqué les sénateurs pour une autre séance extraordinaire le 1er juillet afin qu'ils puissent adopter la législation.
 
M. Perry peut exiger la tenue d'autant de séances extraordinaires de 30 jours qu'il le désire. (...)
Laissez un commentaire

Quelques précisions sur la décision de la Cour Suprême des États-Unis sur le « mariage » gai

Sur le blog d'Yves Daoudal du 26 juin 2013 :

 

 

 

La Cour suprême des Etats-Unis a invalidé la disposition de la loi fédérale de défense du mariage qui ne permet pas aux paires de même sexe légalement « mariées » de bénéficier des mêmes avantages que les couples mariés.
 
La décision est évidemment saluée comme une victoire du lobby, mais en fait elle est simplement logique, et elle était inévitable en droit : dans la mesure où certains Etats reconnaissent le « mariage » homosexuel, il est en effet contraire à l’égalité que, dans ces Etats, les « mariés » homosexuels n’aient pas les mêmes droits que les mariés « hétérosexuels ». Car c’est de cela qu’il s’agissait : le recours émanait d’une femme qui avait dû payer des droits colossaux pour « hériter » d’une femme avec laquelle elle était légalement « mariée ».
 
La Cour suprême devait aussi se prononcer sur la loi californienne interdisant le « mariage » homosexuel. Elle a décidé que les militants contre le « mariage » homosexuel qui avaient fait appel contre un jugement avalisant la loi n’avaient pas le droit de le faire. Ce qui rend donc de nouveau légal le « mariage » homosexuel en Californie. (...)
 
(...)
Laissez un commentaire

Belgique : les parents souffrants pourraient faire euthanasier leurs enfants...

Sur le site de Aleiteia du 24 juin 2013, traduit par Isabelle Cousturié à partir du site Sir du 18 juin 2013 (Italien) : 

(Robert Latimer, reconnu coupable du meurtre de sa fille handicapée en 2001 par la Cour Suprême du Canada, figure de proue des partisans du meurtre par « compassion »)

(...) « Forte du « Protocole de  Groeningen », qui permet depuis 2004 d’euthanasier un bébé porteur d’un handicap, la Royal Dutch Medical Association (Knmg), représentant les médecins aux Pays-Bas, a émis un avis intitulé « Les décisions médicales relatives à la vie des nouveau-nés présentant des anomalies graves », dans lequel est expliqué pourquoi il est acceptable, voire parfois nécessaire, de pratiquer l’euthanasie des enfants.

Dans ce document surprenant, l’association des médecins a rédigé un rapport sur les lignes directrices à suivre à l’égard des petits patients atteints de maladies incurables. Parmi les suggestions émises pour abréger la souffrance des enfants et de leurs familles, le recours à l’euthanasie est explicite, invoquant un argument objectivement paradoxal: la souffrance des parents peut être un motif pour euthanasier l’enfant. En effet, est-il dit entre autre, une injection létale de relaxant musculaire est possible sans poser de problème éthique lorsque « persiste une respiration haletante et que se prolonge une mort inévitable, en dépit d’une bonne préparation, provocant de fortes souffrances pour les parents ».
 
L’agonie est insupportable, mieux vaut faire mourir que faire souffrir. 

Reste une question sans réponse: de qui parlons-nous, quel est le sujet de la phrase? 
 
Certains textes ne sont pas de simples dissertations, mais des documents d’histoire. Il est fondamental de comprendre ce renversement des valeurs. Un être humain innocent peut être tué  pour la simple raison que son existence pourrait être douloureuse pour les autres. L’ineffable docteur Eduard Verhagen, un des auteurs du rapport  Knmg et l’architecte du  protocole Gronignen,  a expliqué à Volkskrant, un grand quotidien néerlandais, pourquoi l’angoisse des parents est importante: “ « Ces enfants sont gris et froids, leurs lèvres deviennent bleues et soudainement, en quelques minutes, ils prennent des respirations très profondes. Une situation très pénible à voir, et qui peut durer des heures, et parfois des jours ». La tâche donc des médecins est d’épargner aux parents l’”abomination” de voir leur propre enfant mourir péniblement, explique le docteur Verhagen. Cela fait partie d’un « soin palliatif » de qualité…
 
Or des années d’études et de pratiques médicales ont prouvé que, au contraire, les soins palliatifs sont tout autre chose.
Des adultes qui se disent raisonnables décident ainsi de la vie ou de la mort de personnes qui sont dans l’impossibilité d’exprimer leur désaccord. Aujourd’hui on parle d’enfants porteurs d’un handicap grave, demain ce pourrait être des adolescents cérébro-lésés, après-demain des personnes âgées atteintes de maladies neuro-dégénératives. 
 
Ce n’est plus une pente glissante mais un précipice !
 
 
Laissez un commentaire

Des enfants « transgenres »?

Sur le blog de Jeanne Smits du 26 juin 2013:

 

(Le jeune Coy Mathis)

 

Le garçon en question a six ans. Oui, six ans ! A Denver, Colorado, le petit Coy Mathis fréquente une école élémentaire depuis la rentrée 2011. En l'inscrivant, ses parents avaient demandé qu'il soit traité, comme il l'était déjà à la maison, en petite fille, expliquant qu'il est « transgenre » : jusqu'à l'hiver dernier, le petit Coy avait donc accès aux toilettes des filles, là où il y avait des toilettes séparées. Mais, sans que l'école rende la raison publique, cela lui a été interdit au retour des vacances. Il lui était proposé d'utiliser les toilettes des garçons, celles des professeurs ou celles de l'infirmière de l'école.
 
Colère et indignation des parents !
 
Sa maman, Kathryn Mathis, a souligné combien il était « dangereux » pour une petite fille de devoir utiliser les toilettes des garçons… Avec son époux, Jeremy, un ancien Marine, elle en a fait une affaire très médiatisée, accordant des interviews à la presse et apparaissant dans des talk-shows à la télévision.
 
Les Mathis, assistés du « Transgender Legal Defense and Education Fund », se sont aussitôt tournés vers la Division des droits civiques du Colorado – nous sommes alors en février. Le 18 juin, le directeur de cet organisme, Steven Chavez, explique que l'attitude de l'école rappelle la ségrégation qui avait cours avant le mouvement des droits civiques, cette ségrégation qui reposait sur le principe que les Noirs et les Blancs sont « séparés mais égaux ». Donc, les droits de Coy Mathis avaient été violés. Et son école y est qualifiée d'« hostile, discriminatoire et n'offrant pas un environnement sûr » en raison de son refus de laisser le garçonnet faire usage des toilettes des filles.
 
Il n'est peut-être pas nécessaire de préciser que c'est une première…
 
(...)
 
C'est à cinq mois que ses parents ont commencé à « s'apercevoir » que Coy se sentait fille – parce qu'il avait attrapé la couverture rose d'une de ses sœurs. Plus tard, il ne montrait guère d'intérêt pour les jouets traditionnellement « mâles » et avait plutôt tendance à graviter vers les jouets et les vêtements des filles. A quatre ans, il a expliqué à ses parents que quelque chose clochait dans son corps.
 
Déprimé quand on lui coupait les cheveux, il a commencé à refleurir, assurent les parents, lorsqu'ils ont commencé à le traiter comme une fille (ou plus exactement, sans doute, comme ses sœurs…), sur la recommandation d'un psychiatre qui l'a diagnostiqué « transgenre ». Tout le monde s'adresse à lui avec des pronoms féminins et il paraît que, revêtu de robes à froufrous, il (pardon, toute la presse américaine dit « elle ») a retrouvé le sourire. Sans compter que sa mère donne des interviews sur son cas en sa présence.
 
Que ce garçon soit victime d'un désordre, soit de lui-même, soit en raison des circonstances familiales, et même pour toute autre raison, paraît évident. Ce qui est notable, c'est le refus de vouloir essayer de traiter le désordre qu'on ne qualifie plus comme tel depuis que l'Association psychiatrique américaine l'a décidé. On a pourtant de nombreux exemples de thérapies réussies qui ont permis à un enfant biologiquement fille ou garçon de se sentir à l'aise dans sa propre identité.
 
LifeSite cite la vice-présidente de l'American College of Pediatricians qui, après avoir souligné que les enfants intègrent des messages émis par leurs parents même pendant la petite enfance et que si ces messages sont confus ou brouillés, ce qui peut se refléter dans l'affirmation qu'ils aimeraient faire partie de l'autre sexe. « Le sexe biologique n'est pas un désordre ; permettre à un enfant de désavouer son sexe biologique l'est bel et bien. Personne ne naît transgenre : cela a été établi grâce à des études sur les jumeaux », affirme-t-elle.
 
L'université John Hopkins a cessé de pratiquer des opérations de changement de sexe en constatant qu'elles n'entraînent aucune conséquence bénéfique, tandis que certaines personnes opérées finissent même par revenir à leur identité d'origine. Le responsable de ces opérations a abandonné en expliquant qu'« on ne donne pas de liposuccion à un anorexique ».
Laissez un commentaire

Une sénatrice américaine tente de bloquer un projet de loi visant à protéger les enfants à naître au Texas

Sur le site de La Presse du 26 juin 2013, Richard Hétu jubile:

 

(le gouverneur Rick Perry)

 

 

Wendy Davis a atteint son objectif : en prononçant un discours-fleuve de près de 13 heures, l’élue démocrate de 50 ans a réussi hier soir à bloquer un projet de loi qui aurait non seulement interdit les avortements après 20 semaines au Texas mais également forcé la plupart des cliniques d’avortement de l’État à fermer leurs portes.
 
Le projet de loi devait être adopté par le Sénat du Texas avant minuit pour pouvoir être ensuite envoyé au gouverneur Rick Perry, qui avait promis de le promulguer. À 3h01 ce matin, le lieutenant-gouverneur du Texas, David Dewhurst a annoncé que le texte ne serait pas envoyé au gouverneur parce que le vote l’approuvant par 19 voix contre 10 avait eu lieu après la fin de la session spéciale de la chambre haute du Texas.
(...)
«Une horde désordonnée, employant les tactiques d’Occupy Wall Street, a empêché le Sénat de protéger les bébés à naître», a dénoncé le lieutenant-gouverneur du Texas devant les journalistes. (...)
 
Les journalistes occidentaux sont peut-être trop « optimistes ». Yves Daoudal commente sur son blog du 26 juin 2013, via le Salon Beige:
 

Le Sénat du Texas devait voter mardi une proposition de loi de sénateurs républicains interdisant l’avortement après 20 semaines de grossesse et obligeant les avortoirs à être de vrais centres chirurgicaux aux normes.

C’était le dernier jour de la session. Alors une femme sénateur s’est lancée dans un discours fleuve de 11 heures destiné uniquement à empêcher le Sénat de pouvoir voter avant la fin de la session : le jour même à minuit.

Peu avant minuit, le vice-gouverneur a fait remarquer que le discours n’avait plus rien à voir avec la proposition de loi et a décidé qu’on devait passer au vote. Mais celui-ci s’est terminé après minuit…

Les partisans de la culture de mort (ceux qui trouvent normal de découper les bébés dans le ventre de leurs mères) crient victoire, après avoir été alertés par un tweet d’Obama en personne…

S’ils s’imaginent que le gouverneur Rick Perry va abandonner la partie, c’est qu’ils ne le connaissent pas. Non seulement la proposition de loi pourra revenir, mais le gouverneur peut imposer une session extraordinaire…

Laissez un commentaire

La redéfinition du mariage par le « mariage » gai n’est pas inévitable.

Sur le site de LifeSiteNews du 25 juin 2013,(traduction libre) cette anecdote:

 

(Un père, une mère, rien de meilleur pour les enfants!)

 

Il ya quelques semaines, la législature de l'État a abordé la question du mariage de même sexe. Le résultat a été considéré comme une fatalité. L'Illinois est l'état d'origine du président Obama, et son parti jouit d'une majorité aux commandes dans les deux chambres. Le mariage homosexuel a bénéficié du soutien à la fois du gouverneur et du maire de Chicago Rahm Emanuel. Le président avait même personnellement fait pression sur les législateurs de l'État.

Compte tenu de tout cela, le vote en faveur de gai « mariage » dans l'Illinois était inévitable, non?

Eh bien, personne n’avait  pris la peine de le dire aux pasteurs afro-américains de l'État. Comme Brian Brown, de l'Organisation nationale pour le mariage a écrit dans le National Review, les pasteurs « ont travaillé dur pour atteindre et convaincre les législateurs Africains-Américains de se tenir debout pour la vérité du mariage. »

Les pasteurs ont exigé que les législateurs reconnaissent que le mariage « est une institution créée par Dieu pour réunir l’homme et la femme au bénéfice des enfants qui ne peuvent être créés que par l'union d'un homme et d'une femme. »

Leurs efforts ont été récompensés : l’Illinois n'a pas succombé : ils ont vaincu l’« inévitable ». (…)

Si vous n'avez pas entendu parler de cette importante victoire, vous n'êtes pas le seul. (…) Non pas que le manque d'attention des médias soit une surprise, parce que sur cette question, je suis désolé de le dire, les médias traditionnels sont des meneuses de claque et des militants, et non des journalistes.

Et le journaliste de conclure par une étude du Pew Research Center démontrant combien les journalistes américains font la promotion du « mariage » gai, procurant 5 fois plus de nouvelles favorables à cette redéfinition du mariage que de nouvelles défavorables, ce qui ne correspond pas à la proportion pour et contre que l’on retrouve dans la population.

Il va de soi que la plupart des pays occidentaux, dont le Canada, n’échappent pas à cette règle.

Les Français sont en train de montrer au monde entier que le bon sens peut prévaloir. Qu’il suffit d’être aussi déterminés à défendre les valeurs humaines que les opposants peuvent l’être à vouloir instaurer une réingénierie déshumanisante de l’être humain.

Les valeurs des journalistes des médias traditionnels ne représentent pas l’opinion de la population en général, mais celle d’une population surveillée de près, censurée, devant présenter le « mariage » gai comme une avancée sociale. Sous peine de perdre son emploi comme c’est déjà arrivé au Canada.

Le « mariage » gai n’est pas inévitable, mais notre classe médiatique veut le laisser croire. C’est tout.

Laissez un commentaire