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Petit texte impertinent sur le « Mon corps m'appartient » et notions scientifiques sur l'embryon comme « personne »

Sur le site de bvoltaire.fr du 24 janvier 2014, ce texte très vrai fait avec un ton provocateur et décapant :

(Le slogan que l'on retrouve dans toutes les manifestations pro-choix est une belle illustration du déni devant la réalité de l'enfant à naître, une réalité trop difficile à supporter quand on l'a éliminé dans le sang...)

(Photo : Santiago Times sur flickr.com, licence creative commons)

Donc, tu veux garder « le contrôle de ton corps ». Mais, chérie, wake up ! Personne ne t’en a jamais empêché. J’sais pas, moi…tu veux t’arracher un globe at? Go for it ! T’as envie d’implants mammaires ? Be my guest ! T’en veux trois ? Pourquoi pas ?!

Mais le truc, vois-tu, c’est qu’à moins que tu aies deux cerveaux, quatre jambes, quatre bras, quatre poumons, et autant d’yeux, le corps qui se trouve dans le tien… ce n’est pas le tien. Et le corps des autres, ben là, tu vois, c’est pas touche ! Le petit cœur qui bat dans ton ventre, c’est celui d’un ou d’une autre, et donc, simplement, il ne rentre pas dans la case « disposer de mon propre corps ». Capici ?

Tiens, amuse-toi à faire une expérience : file à Bogota, avale un sac de cocaïne et présente-toi tout sourire à la douane à Roissy. Ensuite, une fois passé le scanner qui confirmera ce que tu auras ingurgité, essaie d’expliquer aux douaniers que « ce qui est en toi est toi » et que tu « disposes de ton propre corps comme tu l’entends ». Tu vas vite comprendre. (...)

Pour lire la suite, cliquez ici. La réaction de plusieurs « pro-choix » à la suite de ce texte est que la première cellule à la conception ne possède pas encore de tête ou de coeur,etc. À leur intention, nous leur transmettons ce texte scientifique du professeur Flore Alessandro, médecin légiste, sur l'évidence d'un être humain personnel, unique au monde, dès la conception (Identité et statut de l'embryon humain):

La conception humaine n'est plus un mystère aujourd'hui. Il y a des données et des acquis incontestables sur la question de la vie. Aucun savant digne de ce nom ne peut contester cette vérité.

Au moment de la fécondation, le spermatozoïde entre dans l'ovule. Les deux gamètes des deux parents forment une entité biologique appelée zygote. Le zygote porte en lui un nouveau projet programme individualisé qui est une nouvelle vie
individualisée.

Biologiquement parlant, le père et la mère participent avec 50% chacun pour la formation du nouveau-né. Chaque être humain a dans sa cellule 23 paires de chromosomes. Au cours de la fécondation, chaque parent donne la moitié pour recomposer les 23 paires des cellules du nouveau-né. (...)

Pour lire la suite de cet excellent résumé scientifique sur l'humanité et le statut de personne de la première cellule, cliquez ici.

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Aux États-Unis, un homme est condamné à 14 années de prison pour avoir donné une pilule abortive à sa copine, à son insu

Sur le site du Journal de Québec du 28 janvier 2014 :

(14 ans de prison? Probablement le temps nécessaire pour qu'un avorteur réalise que même si un un petit enfant ne peut parler et se défendre, cela ne donne pas le droit de le tuer...)

(Photo :  decade_null sur flickr.com, licence creative commons)

John Andrew Walden, 29 ans, a exprimé des remords pour avoir donné à sa nouvelle ex-copine, Remee Jo Lee, 27 ans, une pilule d’avortement au lieu d’un antibiotique l’an dernier pour ainsi tuer le bébé fœtus de 6 semaines. Le juge a déclaré lundi dernier que Welden « va en payer les conséquences. »

Il a présenté ses excuses lundi, en Floride, pour ses actions commises pendant qu’un juge de la cour fédérale lui donnait une peine d’emprisonnement de 13 ans et 8 mois, selon ce que qu’a rapporté le Tampa Tribune.

« Ce n’était pas seulement « une histoire » pour moi », a déclaré Lee au juge. « C’était la mort de mon enfant. » (...)

Voila une femme qui ne se raconte pas d'histoire de « tas de cellules » et de « crevettes » pour désigner celui qui était réellement, son enfant...

 

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Aux États-Unis, un homme est condamné à 14 années de prison pour avoir donné une pilule abortive à sa copine, à son insu

Sur le site du Journal de Québec du 28 janvier 2014 :

John Andrew Walden, 29 anJohn Andrew Walden, 29 ans, a exprimé des remords pour avoir donné à sa nouvelle ex-copine, Remee Jo Lee, 27 ans, une pilule d’avortement au lieu d’un antibiotique l’an dernier pour ainsi tuer le bébé fœtus de 6 semaines. Le juge a déclaré lundi dernier que Welden « va en payer les conséquences. »

Il a présenté ses excuses lundi, en Floride, pour ses actions commises pendant qu’un juge de la cour fédérale lui donnait une peine d’emprisonnement de 13 ans et 8 mois, selon ce que qu’a rapporté le Tampa Tribune.

« Ce n’était pas seulement « une histoire » pour moi », a déclaré Lee au juge. « C’était la mort de mon enfant. », a déclaré Lee au juge.  (...)

Voila une femme qui ne se raconte pas d'histoire de « tas de cellules » et de « crevettes » pour désigner celui qui était réellement, son enfant...

 

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Un député veut empêcher la censure par les partis politiques des projets de lois et motions d'initiatives parlementaires

Sur le site de Radio-Canada du 28 janvier 2014 :

(Le Premier Ministre Stephen Harper refuse constamment de cesser la censure de la problématique de l'avortement au parlement.)

(Photo : Remy Steinneger sur wikimedia.org, licence creative commons)

 

Le député de la circonscription de Saskatoon-Wanuskewin, en Saskatchewan, Maurice Vellacott, a annoncé le dépôt d'une motion visant à empêcher le gouvernement de faire taire ses députés en bloquant les projets de loi et motions d'initiative parlementaire.

Cette motion viendrait modifier le système actuel, en vertu duquel une poignée de députés membres d'un sous-comité sous domination conservatrice décide du choix des projets de loi d'initiative parlementaire qui seront soumis à un vote aux Communes.

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Très bon texte sur la déshumanisation du Québec

Sur le site de La Vie est Belle du 27 janvier 2014, un texte de Luc Phaneuf à lire :


(les nouvelles églises ouvertes tous les jours)


(Photo : Jean Gagnon sur wikimedia.org, licence creative commons)



Pardonnez ma franchise : le Québec me déprime. Comprenez-moi bien : je ne suis pas au bord de la dépression, loin s’en faut. Ma vie, globalement, va plutôt bien : la famille est en santé, la femme est heureuse – Happy wife happy life, affirme l’adage -, mon travail me passionne toujours autant, je déborde de projets sportifs et intellectuels, j’ai repris la guitare après une pause de 15 ans… Rien dans ma vie quotidienne ne me tire vers le bas, tout au contraire

Rien ? Non, pas tout à fait. Le problème, c’est, comment dire, le Big Picture, l’actualité, et je ne parle pas ici des problèmes en Syrie ou en Palestine. Non, ce qui m’irrite jusqu’à risquer de me faire perdre ma sérénité d’âme et d’humeur, ce sont nos affaires à nous, les Québécois, telles que colportées par l’actualité et ses débats.
(...)

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La Cour Suprême des États-Unis suspend l'Obamacare pour les organismes religieux

Sur le site de zenit.org du 27 janvier 2014 :

(Photo de trois des pires politiciens de l'histoire américaine par Barack Obama sur flickr.com, licence creative commons)

Les évêques des Etats-Unis saluent la décision de la Cour suprême de suspendre provisoirement la directive de santé dite « Obamacare » pour les organismes religieux.

Cette nouvelle directive de santé oblige les employeurs à fournir une couverture sociale à leurs employées, couvrant notamment la stérilisation, l’avortement et la contraception. La congrégation des Petites Sœurs des Pauvres de Denver a tenté un recours contre cette loi.
(...)

Le bras de fer entre les chrétiens américains et le président Obama se poursuit. Ce dernier a montré à maintes reprises sa volonté d'imposer le remboursement de l'avortement par les institutions religieuses et compagnies, mais la justice américaine vient contrecarrer sa volonté despotique. Personne ne devrait avoir à débourser pour payer un avortement. Ni l'État, ni personne...

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Les « pro-choix » américains heureux que l'on ait débranché une femme enceinte, laissant ainsi mourir son enfant

Sur le site du journal la Presse du 27 janvier 2014 :


(Manifestation « pro-choix » à Bruxelles. Le seul choix pour un « pro-choix », c'est d'éliminer un enfant...)


(Photo : Centre d'Action Laïque de la Province de Lièges, sur flickr.com, licence creative commons)



(...)un juge du Texas a ordonné vendredi à un hôpital de Fort Worth de débrancher Marlise Muñoz, cette femme en état de mort cérébrale mais maintenue en vie artificiellement depuis le 26 novembre parce qu'elle était enceinte.


Dimanche matin, vers 11h30, l'hôpital John Peter Smith (JPS) a décidé d'obéir à ce jugement plutôt que d'en appeler, mettant fin à une histoire à la fois tragique et macabre dont le retentissement a dépassé les frontières des États-Unis.


 (...)


Cette femme avait laissé des indications pour qu'il n'y ait pas d'acharnement thérapeutique, mais rien sur le fait qu'elle pourrait être enceinte. Les « pro-choix » dont Richard Hétu de la Presse, se réjouissent donc qu'on l'ait débranché, alors qu'elle ne souffrait en rien de sa grossesse. Il fallait absolument que cet enfant meure aussi...


Ce goût de tuer et de faire mourir que l'on retrouve chez les « pro-choix » est tout simplement dégoûtant, à faire vomir...

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« Je n’accepte aucune obligation ou interdiction concernant mes droits sexuels et reproductifs »

Des « pro-choix » européens paniquent devant la prise de conscience de plus en plus d'Européens des droits de l'enfant à naître. Ils ont alors décidé de concocter un texte qui illustre particulièrement bien l'égoïsme et l'irresponsabilité des positions pro-choix, à présenter au congrès des députés espagnols. Sur le site de nosostrasdicimos.org, en voici un extrait :


(Photo : congrès des députés espagnols par Luis Javier Moreno Martinez sur wikimedia.org, licence creative commons)



Parce que je décide

Parce que je décide à partir de l’autonomie morale, qui est la base de la dignité de toute personne, je n’accepte aucune obligation ou interdiction concernant mes droits sexuels et reproductifs , et en conséquence (aucune entrave) à ma totale réalisation en tant que personne. En tant qu’être humain autonome, je refuse d’être soumise à des traitements dégradants, à des ingérences arbitraires et à des tutelles coercitives dans ma décision d’être ou de ne pas être mère. (...)


On dirait une adolescente, ou plus exactement, une enfant bornée tapant du pied et rageant en exigeant son jouet à l'épicerie... Mais dans ce cas-ci, le jeu réclamé est celui de mettre à mort un enfant. Les «pro-choix» sont des inconscients. Mais ils sont de moins en moins nombreux à refuser de voir la réalité scientifique de l'enfant à naître.

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Appel des évêques catholiques du Québec à prier pour que les députés votent contre le projet de loi 52 (euthanasie)

Invitation spéciale à tous les catholiques du Québec à l’occasion de la Journée mondiale des malades, le mardi 11 février 2014

(Photo : Assembleetest sur wikimedia.org, licence creative commons)

Il y a maintenant plus de vingt ans que la journée du 11 février, fête liturgique de Notre-Dame de Lourdes, a été désignée par le pape Jean-Paul II comme Journée mondiale des malades. Au Québec, cette année, ce sera également le jour où l’Assemblée nationale reprendra ses travaux. Elle aura, à son programme de session, le projet de loi 52, qui rendrait possible l’euthanasie de personnes qui sont en fin de vie, sous l’appellation d’« aide médicale à mourir ».

Comme évêques catholiques du Québec, nous avons déjà exprimé notre ferme opposition à ce projet de loi. Nous voulons aujourd’hui inviter tous les catholiques à prier — et de façon toute spéciale en la Journée mondiale des malades, le 11 février —, pour que l’Esprit-Saint touche les coeurs et les consciences des députés qui seront bientôt appelés à voter sur ce projet de loi et pour que chacun et chacune d’entre eux sache l’accueillir au plus intime de son âme.

Plusieurs des saints et bienheureux qui ont vécu au Québec se sont distingués par leur dévouement auprès des malades: du bienheureux François de Laval, premier évêque de Québec, au saint Frère André, sans oublier sainte Marguerite d’Youville et la bienheureuse Catherine de Saint-Augustin, pour ne nommer qu’eux. Ces grands témoins de l’amour de Dieu ont su voir l’incomparable dignité de chaque personne, si fragile et diminuée qu’elle soit. Confions-nous à leur intercession en ce moment charnière de l’histoire de notre peuple, alors que nos élus ont à prendre une décision particulièrement lourde de conséquences.

Dans sa récente exhortation intitulée « La Joie de l’Évangile », le pape François a formulé l’appel suivant: « Nous tous, les chrétiens, petits mais forts dans l’amour de Dieu, comme saint François d’Assise, nous sommes appelés à prendre soin de la fragilité du peuple et du monde dans lequel nous vivons. » (no 216) Que le Seigneur nous donne force et courage pour nous faire proches des grands malades et des mourants et pour être à notre tour des témoins de l’amour de Dieu et de l’espérance en la vie éternelle.

Pierre-André Fournier
archevêque de Rimouski
président de l’Assemblée des évêques catholiques du Québec
27 janvier 2014

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Philippe Couillard votera pour la loi 52 permettant l'euthanasie au Québec

Le chef libéral déçoit. Alors que même le terme « fin de vie » n'a toujours pas été défini dans la loi, il approuve tout de même cette loi, premier pas vers une euthanasie sur demande comme dans les deux petits pays qui l'ont déjà légalisé. Sur le site du journal La Presse du 27 janvier 2014 :

(Philippe Couillard et Nathalie Normandeau, ancienne vice-première ministre du Québec)

(Photo : François Thivierge sur flickr.com, licence creative commons)

«J'ai pris la décision de voter en faveur du projet de loi» a déclaré lundi M. Couillard en point de presse. Auparavant le chef libéral avait soutenu avoir des réticences devant les intentions du gouvernement, mais avait tout de même approuvé le principe pour que le débat ait lieu à l'Assemblée nationale.

Rappelons que 25 députés libéraux avaient voté contre l'adoption de principe du projet de loi 52. Ils auront toujours la liberté de voter selon leur conscience. Il est toujours temps d'écrire, de rencontrer votre député ou de lui téléphoner.

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