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Des précisions sur le couple australien qui a abandonné l'enfant trisomique...

Sur le site du Journal de Montréal du 10 août 2014 :

(Photo : Pixabaysans copyright)

 

 

David Farnell, âgé de 56 ans, autrefois condamné pour des agressions sexuelles sur mineures et père biologique du bébé prénommé Gammy, a déclaré à la chaîne de télévision Channel Nine que lui-même et sa femme voulaient «le ramener avec eux.»

Le couple avait suscité un scandale mondial en laissant le petit garçon trisomique en Thaïlande à sa mère âgée de 21 ans, Pattaramon Chanbua, et en emmenant avec lui sa soeur jumelle, Pipah, en bonne santé.

On attend les articles enflammés des journalistes québécois sur ce gouvernement australien qui a permis à ce couple de récupérer des enfants... Rien? C'est vrai, on ne sait pas si cet homme qui a commis des abus sexuels est un croyant, donc, aucun intérêt...

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Un autre soin de santé

Par Paul-André Deschenes

(Photo : Wladislaw sur wikipédia.org, licence creative commons)

Le 20 décembre 2013, la Cour suprême du Canada a jugé inconstitutionnelle la loi canadienne qui interdit la prostitution parce qu'elle criminalise les prostituées.

Du jour au lendemain, c'est devenu bar ouvert au Canada et au Québec en particulier. Devant ce cadeau empoisonné de nos «savants juges», la prostitution a explosé comme jamais auparavant, pendant que le gouvernement fédéral se casse actuellement la tête pour arrêter le fléau.

Depuis ce jugement historique, les policiers ne font plus aucune arrestation pour ce délit, car c'est le vide juridique qui règne partout au Canada. Les réseaux de prostitution font fortune et le nombre de prostitués mâles et femelles a augmenté de façon exponentielle, surtout au Québec. À Montréal, on retrouve actuellement au-delà de 200 lieux de prostitution et dans le reste du Québec, c'est un autre 200 bordels de perdition qui ont pignon sur rue, et ce, même dans les plus petits villages de notre «belle» province en pleine décadence morale.

Un débat historique sur ce sujet fait présentement rage au pays. Faut-il légaliser «cette belle profession» ? Faut-il encadrer ce «beau métier»? Faut-il combattre la prostitution par de nouvelles lois que la Cour suprême ne pourrait plus invalider ?

Actuellement, on entend dans les médias un nombre incroyable de sornettes, de faussetés, d'opinions biaisées et tordues sur la prostitution. "La prostitution peut-être un très beau métier", titre le journal La Presse du 17 mai 2014 sous la plume d'un travailleur du sexe, qui est devenu millionnaire et qui se dit pleinement heureux de jouir lui-même en quantité industrielle et de faire jouir un très grand nombre de femmes en quête d'orgasmes. La Presse du 3 mai 2014 nous parle abondamment de prostituées femelles qui vantent et adorent leur métier en disant qu'elles ont l'esprit ouvert et qu'elles rendent un service essentiel aux hommes qui ont droit d'avoir des activités sexuelles. Dans La Presse du 14 juin 2014, la populaire chroniqueuse Lysiane Gagnon se prononce pour la légalisation de la prostitution, car c'est impossible de combattre le plus vieux métier du monde. Pour elle, ceux qui veulent combattre la prostitution sont de «pauvres bien-pensants puritains» ; cette activité sexuelle répondrait d'après elle à des besoins humains fondamentaux. La chronique de Michèle Ouimet dans La Presse du 12 juin 2014 va dans le même sens c'est-à-dire éviter «la rigidité morale» et permettre aux travailleurs et travailleuses du sexe d'exercer en toute liberté leur métier.

Il faut saluer ici le courage du gouvernement fédéral qui a déposé un projet de loi dont le but est de faire disparaître à plus ou moins long terme la prostitution en pénalisant les clients plutôt que les personnes qui se prostituent afin de tarir à la source cette activité diabolique. L'esprit du projet de loi est très clair : la prostitution est un MAL et elle doit être éradiquée le plus possible. Les gens qui s'y adonnent font un sale métier, même si les savants journalistes, éditorialistes et professeurs d'université de tout acabit disent le contraire. Pénaliser et criminaliser les clients, voilà la seule et unique façon de se débarrasser de cette honteuse et scabreuse  «profession».

Au Québec, le MAL est maintenant considéré comme quelque chose de très bien ! Voilà pourquoi un véritable tollé règne actuellement contre ce projet de loi du gouvernement Harper. Voilà pourquoi La Presse titre à la une le 18 juillet 2014 : "Les Québécois sont beaucoup plus permissifs que les Canadiens sur la prostitution". Notre société païenne ressemble de plus en plus à la Rome antique au niveau de la dégénérescence !  Quand j'ai entendu certains spécialistes de la CHOSE nous dire que la prostitution est «UN SOIN DE SANTÉ» indispensable  dans notre société moderne et que les prostituées sont d'excellentes thérapeutes, j'ai failli vomir. C'est incroyable d'être rendu là et d'enseigner de telles énormités. Après l'avortement et l'euthanasie, voilà que la prostitution doit être considérée comme un soin de santé. Quelle décadence incommensurable !!!

La prostitution, c'est l'œuvre du MALIN. C'est une attaque en règle contre le véritable amour humain. C'est un salissage effrayant de la sexualité. C'est une destruction sociale tous azimuts. C'est une antivaleur répugnante, dégradante et humiliante qui avilit la personne humaine à tous les niveaux. Aucune raison ne peut justifier cette activité honteuse. C'est un MAL innommable ! Et au diable la rectitude politique.

À l'époque dite de la grande noirceur, on parlait de Montréal, la ville aux cent clochers. Aujourd'hui, les clochers disparaissent à la vitesse TGV avec les nombreuses fermetures d'églises. Maintenant, on parle de Montréal, la ville aux deux cents bordels. Notre métropole a acquis la renommée mondiale d'être une ville grande ouverte où tout est permis et où le sexe occupe la première place.

Soyons sérieux ! La prostitution doit être combattue efficacement avec comme objectif de la faire disparaître. Une véritable  sexualité responsable ne s'achète pas. Elle se vit gratuitement dans un contexte d'un véritable amour humain. Les clients sont d'ignobles prédateurs pervers et les prostitués mâles et femelles qui vendent leur corps aux plus offrants sont eux et elles aussi profondément débauchés. Un bordel n'est-il pas une maison de débauche ?

Notre société hyper décadente ne semble pas vouloir se débarrasser de la prostitution. Contrairement aux autres provinces du Canada, c'est au Québec que la population approuve majoritairement la légalisation de la prostitution. C'est une véritable honte nationale. Tous les arguments sont bons pour vanter, tolérer et protéger le plus vieux métier du monde.

Devant tous ces mensonges éhontés, on peut se demander qui a intérêt à défendre la prostitution et à vouloir abuser de façon bestiale du corps humain de femmes et d'hommes qui n'ont plus aucun respect pour leur propre corps ? Au Québec, la prostitution est de plus en plus populaire. Les bordels poussent partout comme de vulgaires champignons. D'après les travailleurs et travailleuses du sexe, toutes les couches de la population sont représentées au niveau de cette perverse clientèle. On y retrouve des gens très instruits, des professionnels, des gens peu instruits, des politiciens, des artistes, des personnes riches, pauvres et millionnaires, des jeunes et des vieux, des supposés bons pères de famille, des célibataires et même des prêtres.

La prostitution, c'est une maladie honteuse qui se répand actuellement au Québec à la vitesse de l'éclair. Il y a une quantité incroyable de chimères qui sont actuellement véhiculées sur cette question pour éviter son abolition. Non, la prostitution n'est pas un beau métier, même si les associations de prostitués nous disent le contraire en revendiquant d'honorables conditions d'exercice de cette «profession» (syndicalisation, horaires de travail, congés et vacances payés, fonds de pension, assurance maladie, etc.).  La prostitution, c'est un déluge d'activités dégoûtantes dignes des plus dégueulasses films pornos.

Pendant que notre société malade crie haut et fort pour sa légalisation, le gouvernement fédéral, traité d'intégriste sur cette question, veut prendre tous les moyens pour la combattre et la faire disparaître.

Malheureusement, ce ne sera pas facile car plusieurs avocats nous annoncent déjà que le gouvernement fédéral va frapper un mur. En effet, si le projet de loi visant à criminaliser les clients est adopté au Parlement d'Ottawa, il y aura une contestation en règle jusqu'en Cour suprême du Canada. Les savants avocats des clients et des prostitués (es) vont invoquer la fameuse Charte des droits et libertés en soutenant que recourir aux services sexuels des prostitués (es) est un droit fondamental. Nous sommes rendus là dans notre beau pays, c'est-à-dire dans les bas fonds pestilentiels de l'immoralité la plus abjecte.

Le Christ a pardonné aux prostituées en leur disant : "Va et ne pèche plus". Elles ont bu de l'Eau Vive, se sont converties et ont changé de vie. Il n'a jamais approuvé cette «profession» et il n'a jamais encouragé les clients à utiliser les services des prostituées. Le Catéchisme de l'Église catholique dit textuellement au NO.2355 : "La prostitution porte atteinte à la dignité de la personne qui se prostitue, réduite au plaisir vénérien que l'on tire d'elle. Celui qui paie pèche gravement contre lui-même : il rompt la chasteté à laquelle l'engageait son Baptême et souille son corps, temple de l'Esprit Saint. La prostitution constitue un fléau social. Il touche habituellement des femmes, mais aussi des hommes, des enfants ou des adolescents (dans ces deux derniers cas, le péché se double d'un scandale). S'il est toujours gravement peccamineux de se livrer à la prostitution, la misère, le chantage et la pression sociale peuvent atténuer l'imputabilité de la faute."

La véritable grande noirceur (les ténèbres) nous la vivons actuellement au Québec. La dictature du consensus social pour nous faire gober les supposés bienfaits de la prostitution est inacceptable et irrecevable. Ce métier n'est surtout pas banal, ni normal. Il faut combattre de toutes ses forces ce mal, ce fléau et cette abomination,  même si on nous traite d'intégristes et d'arriérés. Faut-il se mettre à genoux devant les terribles pressions de l'intelligentsia athée du Québec qui a réussi à faire légaliser l'avortement et l'euthanasie, qui est sur le point de faire légaliser la prostitution et qui ambitionne de faire légaliser les drogues ?

Je termine avec cette Parole de St-Paul aux Romains : "Ne prenez pas pour modèle le monde, mais transformez-vous en renouvelant votre façon de penser pour savoir reconnaître quelle est la volonté de Dieu, c'est-à-dire ce qui est bien, ce qui est capable de lui plaire, ce qui est parfait". (Rom. 12,2)

             PAUVRE QUÉBEC, QU'AS-TU FAIT DE TON BAPTÊME ?

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Un manifestant pour les droits de l'enfant à naître bousculé à Charlottetown

Sur le site de Radio-Canada  du 8 août 2014 :

(Photo de Charlottetown de Martin Cathrae sur wikipédia.org, licence creative commons)

 

 

(...)Selon les autorités, un opposant à l'avortement aurait été bousculé durant la manifestation à l'Université de l'Île-du-Prince-Édouard, où se déroule le congrès.

(...)

On ignore encore si des accusations seront portées contre le présumé agresseur. Ce dernier doit comparaître en cour le 25 septembre.

Le congrès réunit 70 personnes pour discuter de « justice reproductive » selon Radio-Canada...

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Radio-Canada ne donne la parole qu'à des promoteurs de l'avortement et de l'homoparentalité

À l'émission « La période de question » de Radio-Canada du 8 août 2014, deux invités venaient parler des 25 ans de l'affaire Chantale Daigle : la présidente du conseil du Statut de la femme, Julie Miville-Dechêne, et un avorteur de métier de la clinique Fémina. Julie Miville-Dechêne sera également en entrevue sur les ondes de la radio d'État.

Même si les spectateurs peuvent poser des questions, ils doivent passer un premier filtrage au téléphone. S'ils réussissent à le passer et qu'ils posent leur question, le contrôle de la parole demeure à l'animatrice et aux deux invités qui ont ainsi toujours le dernier mot.

Il en était de même le 6 août où l'émission portait sur la propagande LGBT dans les garderies, propagande désirée par la Centrale des Syndicats du Québec. Deux invités en faveur de l'« homoparentalité » détenaient le pouvoir du dernier mot.

Il est important de savoir que dans ce domaine, Radio-Canada fait office de propagandiste.

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L'homoparentalité est un phénomène plus que marginal...

Sur le site de Statistiques Canada, vous pouvez retrouvez cette information :

(2 mamans sans papa n'est pas l'égalité des droits)

(Photo : Ericwaltr sur wikipédia.org, licence creative commons)

 

0,8 % — La proportion de tous les couples en 2011 formés par des couples de même sexe.

Parmi ces 0,8 %, une petite partie seulement voudra adopter un enfant. Comment expliquer la propagande que l'on voit à la CSQ, à Radio-Canada, dans nos médias, pour mettre toujours de l'avant « l'homoparentalité »?

Il faut rappeler également que l'« homoparentalité » n'est certainement pas appropriée pour élever un enfant.

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Dénonciation par les évêques argentins des équipes volantes d'avortement

Sur le blog de Jeanne Smits du 8 août 2014 :

(Mgr Hector Aguer, archevêque de La Plata, à Buenos Aires)

(Photo : wikimédia sans copyright)

L'archevêché de La Plata, à Buenos Aires, n'aura pas laissé passer beaucoup de temps avant de réagir fortement contre la décision du ministre de la Santé de la province de créer des équipes mobiles de réalisation d'avortements dépénalisés pour suppléer à la défaillance des médecins objecteurs de conscience.

(...) Les évêques ne s'arrêtent pas là : ils rappellent la « responsabilité des législateurs qui ont promu et approuvé des lois autorisant l'avortement et, dans la mesure où cela a dépendu d'eux, des administrateurs des établissements de santé utilisés pour pratiquer des avortements ». Et aussi la responsabilité générale « non moins grave de ceux qui ont favorisé la diffusion d'une mentalité de permissivité sexuelle et de dépréciation de la maternité, et de ceux qui auraient dû mettre en place – et qui ne l'ont pas fait – des politiques familiales et sociales fortes de soutien aux familles, spécialement les familles nombreuses ou celles qui éprouvent des difficultés économiques et éducatives particulières ».

Affirmant donc la particulière responsabilité des politiques et des gouvernants, et le devoir d'obéir à Dieu plutôt qu'aux hommes, ces évêques argentins souhaitent que « plus jamais un groupe d'êtres humains, spécialement s'ils exercent le pouvoir politique légitimement acquis, ne facilitent et n'exécutent l'élimination de la vie d'autres êtres humains ». (...)

C'est toute la société qui doit s'impliquer dans la lutte à l'avortement.

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Deux bonnes caricatures dans le Journal de Montréal sur la propagande LGBT de la CSQ dans les garderies...

Comme le dit un commentaire des lecteurs  : 

L’humour, dernier refuge du bon sens. (Georges Allaire)

À voir : -la caricature de ygreck

À voir : -la caricature de Guy Perkins

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« L’Onu ignore les enfants nés de viol en temps de guerre »

Sur le site de C-Fam du 1er août 2014, un article à lire en entier, dont voici un extrait :

(Rwanda : estimations de 2000 à 10 000 enfants nés d'un viol)

(Photo : cdc sur wikipédia.org, sans copyright)

Pendant que la violence sexuelle est soulevée à l’Onu, celle des enfants nés de la violence du viol est précipitamment oubliée.

Forgetting Children Born of War (L’oubli des enfants nés de la guerre) démontre que ces enfants sont ignorés de manière délibérée à cause des pressions des Etats et des organisations féministes, qui considèrent que leur importance est secondaire, ou même qu’ils sont, eux aussi, les agresseurs de ces femmes. L’auteur, R. Charli Carpenter, est professeur de relations internationales à l’University de Massachusetts à Amherst.

« Dispersés dans le monde entier, lamente-t-elle, les enfants des victimes de viol doivent se battre pour leur nourriture dans les camps de réfugiés… cherchent une famille dans les orphelinats, ont peur d’être abandonnés… cherchent leur mère et père biologiques au delà des océans… et attendent le jour où leur existence sera reconnue par les gouvernements.»

Le livre cherche à savoir pourquoi les organisations de défense des droits de l’homme n’ont pas réagi. La réponse réside dans l’approche adoptée sur la question de la violence sexuelle. Elle est exprimée en terme de violence ethnique, et les enfants sont décrits comme des agents de l’ennemi. Les féministes opposent les droits de ces enfants à ceux de leur mère.

Toute la bêtise de l'extrémisme féminisme se révèle dans la haine de ses enfants, coupables de mettre à mal une idéologie inhumaine...

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Une jeune candidate au poste de commissaire scolaire à Winnipeg prône l'abstinence sexuelle avant le mariage

Sur le site de Radio-Canada du 7 août 2014 :

(Drapeau de Winnipeg)

(Photo : Svgalbertian sur wikimédia sans copyright)

 

(...)Candace Maxymowich a provoqué une tempête sur Twitter quand elle a écrit que le meilleur type d'éducation sexuelle, selon elle, est l'abstinence.

Des dizaines de personnes ont aussitôt répondu qu'il s'agissait là d'une position rétrograde tandis que d'autres, au contraire, ont exprimé leur appui. (...)

Il faut appuyer ces candidats pour que jamais plus ils ne soient intimidés de défendre la vérité sur la sexualité. Au contraire, la force de cette vérité doit être partagée, surtout dans la construction des politiques familiales d'une cité, pour qu'elle puisse apporter la joie d'une sexualité jamais séparée de l'amour et de la responsabilité.

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L'organisme « Show the Truth » manifeste à Charlottetown près d'un congrès sur l'avortement

Sur le site de Radio-Canada du 7 août 2014 :

(Show the Truth montre à la fois des images d'enfants à naître tués et celles de survivants...)

 

 

Le feuillet et les pancartes des manifestants sont illustrés de photographies de fœtus avortés, selon le groupe.

La porte-parole Siobhan McLeod affirme que son groupe voulait être présent pour montrer aux gens « la réalité de l'avortement ».

Toute la malhonnêteté intellectuelle transparaît dans cette façon de présenter l'information. Personne ne peut contester que les photos sont celles d'enfants à naître avortés. Le terme « selon le groupe » veut nier l'évidence...

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